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19 Avril 2005
 

Benoît XVI et le célibat des prêtres

Le 20 janvier 2025 - E.S.M. - Nous poursuivons la lecture d'un entretien de Peter Seewald avec le Cardinal Ratzinger/Benoît XVI sur le thème du célibat des prêtres. Ce n'est certainement pas un dogme. C'est une habitude de vie, développe le Saint-Père. Benoît XVI maintient fermement  sa position : le célibat des prêtres doit être maintenu.

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Benoît XVI et le célibat des prêtres

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       - Appartenir à l'Église a t'il encore un sens ?
       - Le bien de l'Église est plus important que ses biens
       - Les leitmotivs de la critique
           - 1) Les leitmotivs de la critique
           - 2) Le dogme de l'infaillibilité
           - 3) Mauvaise Nouvelle au lieu de Bonne Nouvelle
           - 4) Nous sommes le peuple de Dieu
           - 5) Autorité sacrée et amour fraternel

     

6) Le célibat

Etrangement, rien ne met les gens en rage comme la question du célibat. Bien qu'elle ne concerne en réalité qu'une minuscule partie du peuple de l'Église. Pourquoi le célibat des prêtres est-il obligatoire ?
    À l'origine, il y a une parole du Christ. Il y a, est-il dit, ceux qui renoncent au mariage au nom du royaume des cieux et qui de toute leur existence témoignent du royaume des cieux. L'Église est arrivée très tôt à la conviction qu'être prêtre signifie donner ce témoignage. Elle pouvait aussi, objectivement, se référer à un parallèle analogue dans l'Ancien Testament. Israël entre dans son pays. Les onze tribus se voient remettre chacune sa terre, son territoire. Seule la tribu de Lévi, la tribu des prêtres, ne reçoit pas de terre ; son héritage est Dieu seul. Cela signifie pratiquement que ses membres ne vivent que des offrandes du culte, et non, comme les autres tribus, de l'exploitation d'une terre. Le point essentiel est ceci : ils n'ont pas de biens propres. Dans le Psaume 16, il est dit : Tu es ma part d'héritage et ma coupe, c'est toi qui es mon lot, Dieu est mon bien. Cette image, dans l'Ancien Testament, de la tribu des prêtres sans terre et qui vit pour ainsi dire de Dieu — et ainsi témoigne réellement de Lui — a été plus tard interprétée ainsi, en référence à la parole de Jésus :
Le pays de la vie du prêtre, c'est Dieu.
    Si nous avons tant de difficulté aujourd'hui à comprendre cette sorte de renoncement, c'est parce que notre relation avec le mariage et les enfants a radicalement changé. Mourir sans enfants signifiait autrefois avoir vécu inutilement : la trace de ma vie se perd, et je suis tout à fait mort. S'il existe des enfants de moi, je continue à vivre en eux, c'est une sorte d'immortalité que j'obtiens grâce à ma descendance. Aussi, la première condition pour vivre vraiment, c'est d'avoir une descendance et de rester ainsi sur la terre des vivants.
    Le renoncement au mariage et à la famille doit donc être compris de ce point de vue : je renonce à ce qui est humainement non seulement le plus normal, mais aussi le plus important. Je renonce à fournir de la vie à l'arbre de vie, à avoir ma propre terre de vie, et je crois que mon pays est réellement Dieu - et ainsi je rends crédible aux autres l'existence du royaume de Dieu. Je rends ainsi témoignage non seulement par des paroles, mais par ce mode de vie spécifique, pour Jésus-Christ, pour l'Évangile, et c'est de cette manière que je mets ma vie à Sa disposition.
    Le célibat a donc en même temps un sens christologique et apostolique. Il ne s'agit pas seulement d'économiser du temps — j'ai un peu plus de temps à ma disposition parce que je ne suis pas père de famille —, cela serait une vue trop primitive et trop pragmatique. Il s'agit vraiment d'une existence qui mise tout sur la carte de Dieu et abandonne ce qui seul rend en principe une existence adulte et lui donne de l'avenir.

D'autre part, il ne s'agit pas ici d'un dogme. Pourra-t-on un jour revoir la question, entamer des négociations qui pourraient aboutir à une liberté de choix entre une forme de vie célibataire ou non ?
    Non, ce n'est certainement pas un dogme. C'est une habitude de vie, qui s'est formée très tôt dans l'Église pour des motifs fondés, tirés de la Bible. De nouvelles recherches montrent que le célibat remonte encore bien plus loin que les sources juridiques connues ne le disent, jusqu'au IIe siècle. En Orient aussi, il était bien plus largement répandu que nous ne pouvions le savoir jusqu'à présent. La vie monacale a toujours été, dans les Églises orientales, la couche porteuse du sacerdoce et de la hiérarchie. Là aussi, le célibat a donc une très grande importance.
    Ce n'est pas un dogme. C'est une forme de vie qui s'est développée dans l'Église et qui naturellement entraîne toujours avec elle un risque de chute. Quand l'exigence est aussi haute, il y a des chutes. Ce qui révolte aujourd'hui les gens contre le célibat, je crois, c'est de voir que tant de prêtres ne l'admettent pas en eux-mêmes, le vivent hypocritement, ou mal, ou pas du tout, ou au milieu de grands tourments, et disent...

... que cela casse l'homme...

    Plus une époque est pauvre en matière de foi, plus les chutes sont fréquentes. Ainsi, le célibat perd de sa crédibilité, et ce qu'il veut vraiment dire n'apparaît plus. Mais il faut comprendre que dans les époques où le célibat est en crise, le mariage l'est également. Car aujourd'hui nous ne sommes pas confrontés aux seules ruptures du célibat, le mariage lui-même, comme base de notre société, est de plus en plus fragile. Dans les législations des États occidentaux, nous voyons qu'il est de plus en plus placé sur le même niveau que d'autres modes de vie et de plus en plus souvent dissous devant les tribunaux. La difficulté de vivre vraiment le mariage n'est pas moindre, en fin de compte. Pratiquement parlant, tout ce que nous obtiendrions après l'abolition du célibat, ce serait une autre sorte de problématique, celle du divorce des prêtres. L'Église protestante ne l'ignore pas. Cela montre naturellement que les formes hautes de l'existence humaine portent en elles-mêmes le grand risque qui les menace.
En conclusion, nous ne devrions pas dire maintenant que nous n'en pouvons plus, mais qu'il nous faut réapprendre à croire davantage. Et choisir avec plus de soin encore les candidats au sacerdoce. Le sacerdoce ne doit être assumé que librement, il ne s'agit pas de dire : Eh bien, je voudrais devenir prêtre, je m'arrangerai de ça comme du reste. Ou de dire : Allons, les filles ne m'intéressent pas tellement, je m'en sortirai bien. Ce n'est pas une base de départ. Le candidat au sacerdoce doit reconnaître que la foi est la force de sa vie et doit savoir qu'il ne pourra assumer ce mode de vie que dans la foi. Alors le célibat peut aussi devenir un témoignage, dire à nouveau quelque chose aux hommes et leur rendre le courage de se marier. Les deux institutions sont étroitement liées. Si l'une des deux fidélités n'est plus possible, l'autre n'est plus là ; c'est l'une des fidélités qui porte l'autre.

Est-ce juste une supposition, quand vous dites qu'il y a un rapport entre la crise du célibat et la crise du mariage ?
     Cela paraît tout à fait flagrant. Dans les deux cas, il s'agit d'une décision de vie définitive, qui concerne le centre de ma propre personnalité : puis-je dès maintenant, disons, à vingt-cinq ans, disposer de ma vie entière ? L'homme est-il capable d'une telle chose ? Est-il possible de supporter cela et de s'épanouir comme être vivant et de mûrir — ou ne dois-je pas plutôt me garder constamment ouvert à d'autres possibilités ? Au fond, la question se présente ainsi : l'homme a-t-il la possibilité de fixer définitivement le domaine central de son existence ? Peut-il, en décidant de sa manière de vivre, assumer un lien définitif ? À cela je répondrai deux choses : il ne le peut que s'il est réellement et solidement ancré dans la foi ; et deuxièmement, c'est seulement ainsi qu'il arrive à la plénitude de l'amour humain et de la maturité humaine. Tout ce qui reste inférieur au mariage monogame est trop peu pour l'être humain.

Mais si le nombre de ruptures du célibat est exact, il y a longtemps que le célibat n'existe plus de facto. Je vous le demande encore une fois : ce problème peut-il faire l'objet de négociations qui aboutiraient à une liberté de choix ?
    Le choix doit de toute façon être libre. Avant l'ordination, on doit même affirmer sous serment qu'on le veut et fait librement. Voilà pourquoi j'ai toujours un sentiment pénible quand on vient dire ensuite que c'était un célibat obligatoire, et qu'il nous a été imposé. C'est en contradiction avec la parole qui a été donnée au départ. Dans la formation des prêtres, il faut veiller impérativement à ce que cette parole soit prise au sérieux. C'est le premier point. Le second, c'est que là où la foi vit et dans la mesure où une Église vit la foi, cette force-là existe.
    Je crois que l'on n'améliorera rien au fond en renonçant à cette condition, mais que l'on ne fera que masquer une crise. Naturellement, c'est une tragédie pour une Église quand beaucoup de prêtres mènent plus ou moins une double vie. Ce n'est malheureusement pas la première fois. A la fin du Moyen Âge, nous avons eu une situation semblable, ce fut l'une des causes de la Réforme. C'est un processus tragique, sur lequel on doit réfléchir, au nom aussi des hommes qui en souffrent réellement. Mais je crois, et d'après le résultat du dernier synode épiscopal c'est la conviction de la grande majorité des évêques, que la véritable question est la crise de la foi. En cédant sur ce point, nous n'aurions pas des prêtres plus nombreux et meilleurs, mais nous masquerions cette crise et nous obtiendrions malhonnêtement des solutions par un moyen illusoire.

J'en reviens à ma question : croyez-vous qu'un jour peut-être des prêtres pourront décider librement entre une vie célibataire et une vie non célibataire ?
    J'avais déjà compris. Je devais toutefois faire clairement entendre qu'en tout cas le serment prononcé avant l'ordination empêche qu'il y ait des célibataires forcés. On n'est admis au sacerdoce que si on le veut de son plein gré. Et naturellement une autre question se pose alors : à quel point sacerdoce et célibat sont-ils liés ? Vouloir les dissocier, n'est-ce pas avoir une vue moins haute du sacerdoce ? Je crois que l'on ne peut pas tout bonnement renvoyer aux exemples des Églises orthodoxes et du protestantisme. La chrétienté protestante a une tout autre conception du sacerdoce : c'est une fonction, c'est un service qui émane de la communauté, mais ce n'est pas un sacrement au sens propre, pas un sacerdoce en ce sens particulier. Dans les Églises orthodoxes, il existe une forme pleine du sacerdoce, ce sont les prêtres moines qui seuls peuvent devenir évêques. À côté, il y a les « prêtres laïques », qui, s'ils veulent se marier, doivent le faire avant l'ordination. Ils ne font presque pas de pastorat, mais sont simplement les serviteurs du culte. C'est donc là aussi une conception un peu différente du sacerdoce. Nous, au contraire, nous sommes d'avis que celui qui est prêtre doit l'être comme l'est un évêque, et que ce genre de division ne peut exister.
   Il ne faut cependant pas considérer comme tout à fait absolue une habitude de vie de l'Église, si profondément ancrée et fondée soit-elle. Il est certain que l'Église devra toujours se poser la question, elle vient de le faire lors de deux synodes. Mais je pense, d'après toute l'histoire de la chrétienté occidentale et aussi d'après la vision intérieure qui préside à l'ensemble, que l'Église n'aurait pas grand-chose à gagner en s'orientant vers cette dissociation ; elle perdra beaucoup si elle le fait.

On peut donc dire que vous ne croyez pas qu'il y aura un jour des prêtres mariés dans l'Eglise catholique ?
    En tout cas pas dans un temps prévisible. Pour être tout à fait honnête, je dois dire que nous avons des prêtres mariés, qui se sont convertis et sont venus a nous de l'Église anglicane ou de différentes communautés protestantes. C'est donc possible dans des situations exceptionnelles, mais ce sont précisément des situations exceptionnelles. Et je pense que dans l'avenir cela restera aussi des situations exceptionnelles.

Le célibat ne devrait-il pas être aboli pour la seule raison, déjà, que sans cela l'Église n'aura plus de prêtres ?
Je ne crois pas que l'argument soit vraiment fondé. La question du renouvellement des prêtres a plusieurs aspects. Elle est d'abord en relation avec le nombre d'enfants. Si aujourd'hui la moyenne du nombre d'enfants est de 1,5, la question des vocations possibles se pose tout autrement qu'en des temps où les familles étaient nettement plus nombreuses. Et les familles d'aujourd'hui ont des projets bien différents. Nous constatons que les principaux obstacles au métier de prêtre viennent souvent des parents. Ils nourrissent de tout autres espoirs pour leurs enfants. C'est le premier point. Le second point, c'est que le nombre de chrétiens actifs est beaucoup plus réduit et donc que le groupe où le choix pourrait se faire est devenu plus petit. Relativement au nombre d'enfants et au nombre des membres vraiment croyants de l'Eglise, le renouvellement des prêtres n'a sans doute pas faibli. Il faut donc tenir compte de cette proportion. La première question à poser est celle-ci : y a-t-il des croyants ? Et ensuite seulement vient la seconde question : donnent-ils des prêtres ?

7) La contraception

Monsieur le cardinal, bien des gens ne comprennent pas l'attitude de l'Église par rapport à la contraception. Comprenez-vous qu'ils ne comprennent pas ?

Oui, on peut très bien le comprendre, c'est vraiment compliqué. Avec les difficultés du monde actuel, où le nombre des enfants ne peut plus être très élevé à cause des conditions de logement et pour tant d'autres raisons encore, c'est très facile à comprendre. On devrait moins s'attacher à la casuistique des cas particuliers, et regarder les grandes intentions qui sont celles de l'Église.
    Je crois qu'il s'agit là de trois options essentielles. La première, fondamentale, c'est d'adopter une attitude positive envers la place de l'enfant dans l'humanité. Il y a dans ce domaine un étrange changement. Tandis que dans les sociétés simples, jusqu'au cœur du XIXe siècle, avoir beaucoup d'enfants était considéré comme la bénédiction par excellence, on n'est pas loin aujourd'hui de voir dans les enfants une menace. Ils prennent notre place dans l'avenir, pensons-nous, ils mettent en danger notre propre espace de vie, etc. L'attitude de l'Église est inspirée tout d'abord par l'intention d'en revenir au point de vue originel, le vrai, c'est-à-dire que l'enfant, le nouvel être humain, est une bénédiction. Que c'est précisément en donnant la vie que nous la recevons nous-mêmes, et que cette façon de sortir de soi et d'accepter la bénédiction de la création est fondamentalement bonne pour l'être humain.
    La seconde option, d'autant plus nécessaire qu'aujourd'hui sexualité et procréation sont séparées à un point inconnu jusqu'alors, est de ne pas perdre de vue leur relation essentielle.

Entre-temps, même des représentants de la génération de 68, qui ont fait cette expérience, se livrent à d'étranges déclarations. « Avec la pilule », proclame par exemple Rainer Langhans, qui autrefois recherchait dans sa communauté la « sexualité orgasmique », « la sexualité a été isolée de son élément spirituel et a envoyé les gens dans une impasse ». Langhans se plaint qu'il n'y ait maintenant «  pas de don, pas de dévouement ». Le « sommet » de la sexualité, affirme-t-il, c'est d'« être des parents », il appelle cela « la collaboration au plan divin ».
    On tend de plus en plus à considérer que ce sont deux réalités totalement séparées. Nous trouvons chez Huxley, dans son célèbre roman de science-fiction Le Meilleur des mondes, une vision très fondée et très claire, dans son tragique humain, d'un monde à venir où la sexualité est totalement séparée de la procréation. Là, les enfants sont réglementairement planifiés et fabriqués dans des laboratoires. C'est une caricature voulue, mais, comme toutes les caricatures, elle dénonce quelque chose : l'idée que précisément l'enfant doit être planifié et fabriqué, qu'il est soumis au contrôle de la raison. Et ainsi l'homme se détruit lui-même. Les enfants deviennent des produits où l'on veut se représenter soi-même, on leur vole de fait leur projet de vie. Naturellement, la relation de la femme et de l'homme se perd aussi ; nous voyons comment cette situation évolue.
    Le problème de la contraception est l'une de ces options fondamentales que l'Eglise veut voir choisir par l'homme. La troisième option, dans ce domaine, c'est de ne pas prétendre régler de grands problèmes moraux par le simple moyen des techniques, de la chimie mais de chercher à les résoudre moralement, par un mode de vie. C'est, je crois — même indépendamment de la contraception —, l'un des grands dangers qui nous menacent : vouloir maîtriser notre condition humaine par la technique, oublier qu'il y a des problèmes inhérents à l'être humain qui ne peuvent être résolus par la technique, mais qui exigent un style de vie et certaines décisions essentielles. Je dirais que, dans le problème de la contraception, on devrait regarder davantage  les options fondamentales choisies par l'Église dans le combat qu'elle livre pour l'être humain. Et mettre l'être humain en évidence, c'est le sens des objections élevées par l'Eglise. Elle n'est peut-être pas toujours heureuse dans ses formulations, mais de grandes directions célestes de l'existence humaine y sont en jeu.

Reste la question de savoir si l'on doit faire à quelqu'un, à un couple marié par exemple, qui a déjà plusieurs enfants, le reproche de ne pas avoir une attitude positive envers les enfants.
    Non, sûrement pas. Et cela ne doit pas non plus avoir lieu.

Ces gens ne doivent-ils pas quand même avoir l'idée qu'ils vivent dans une sorte de péché, s'ils...
     Je dirais que ce sont des questions qui doivent être discutées avec le directeur de conscience, avec le prêtre, mais on ne peut pas les considérer dans l'abstrait.

 A suivre ...
     

       8) L'avortement

      9) Les divorcés remariés
    10) L'ordination des femmes

 

 

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Sources :Texte original des pensées du Cardinal J. Ratzinger -  E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 20.01.2025

 

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