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19 Avril 2005
 

Rencontre de Georg Gänswein avec le cardinal Ratzinger la foi chrétienne sous le bras

Le 09 mai 2023 - E.S.M. - Nous continuons la lecture du livre de Mgr Georg Gänswein et découvrons page après page comment ce lien d'amitié et de confiance est né et s'est consolidé année après année entre le cardinal devenu pape Benoît XVI et Georg Gänswein.

Benoît XVI et Mgr Gänswein- Pour agrandir l'image ► Cliquer

Rencontre de Georg Gänswein avec le cardinal Ratzinger la foi chrétienne sous le bras

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Le 09 mai 2023 - E.S.M. - Comme d'innombrables autres personnes, j'ai dû ma première « rencontre » avec Ratzinger à son livre La foi chrétienne hier et aujourd'hui. Il l'avait écrit en 1968, mais je n'en ai pris connaissance qu'en 1974, alors que j'allais avoir 18 ans. C'est mon curé qui m'a suggéré de le lire pour m'éclairer, à un moment où je commençais à envisager d'entrer au séminaire, mais où j'étais encore plongé dans ma vie tranquille à Riedern-am-Wald, petite ville de quelques centaines d'habitants du sud-ouest de l'Allemagne.

     Mon père, Albert, était forgeron et ma mère, Gertrud, femme au foyer; j'étais l'aîné de cinq enfants (avec deux frères et deux sœurs). Je ne connaissais pas grand-chose du monde et, à l'adolescence, j'aimais être un peu rebelle, avec de longs cheveux bouclés et un air anticonformiste. J'écoutais du rock, des Beatles à Pink Floyd en passant par Cat Stevens, mais aussi de la musique populaire, et je jouais de la clarinette dans l'orchestre du village. Avec Ratzinger, nous en parlions parfois, et moi, en l'entendant au piano, je lui confirmais qu'il avait bien fait de ne jamais cesser de pratiquer : pour ma part, ayant abandonné la clarinette en entrant au séminaire, il m'avait été impossible de le reprendre par la suite, à la fois parce que j'étais devenu « rouillé » et parce que la clarinette nécessitait au moins un petit groupe pour jouer. Dans mes rêves de jeunesse, je me voyais devenir agent de change et gagner beaucoup d'argent. Entre-temps, je suis allé au lycée, j'ai gagné un peu d'argent de poche en distribuant le courrier à vélo et j'ai fait beaucoup de sport: du ski, du football et plus tard du tennis.

     Pour ne pas décevoir le curé, j'ai commencé à lire le livre de Ratzinger. Et le défi passionnant que le professeur d'université de Tùbingen, alors âgé de 4l ans, avait lancé dans la préface, expliquant l'intention de ce texte, m'a fasciné : « Comprendre la foi d'une manière nouvelle, comme une possibilité d'humanité authentique dans notre monde d'aujourd'hui, en l'interprétant, sans dégrader sa valeur dans un bavardage qui ne masque qu'avec difficulté un vide spirituel total. »

     La lecture de ces pages n'a pas été facile pour moi, je me suis néanmoins rendu compte qu'elles traitaient de questions importantes et délicates, à commencer par la situation de l'homme face au problème de Dieu. Cependant, certaines des explications que Ratzinger a insérées ici et là — comme le Hans insensé qui échange ses biens en aggravant toujours ses pertes, ou le clown qui tente en vain de donner l'alarme pour un incendie - m'ont fait comprendre que l'auteur de ce volume était une personne d'esprit, également capable de rendre accessible la réflexion sur les questions fondamentales de la foi.

     Après avoir réussi mon examen de fin d'études secondaires, m'interrogeant sur la voie à suivre à l'université, j'ai pensé à étudier la théologie et la philosophie à Fribourg-en-Brisgau. À la même époque, j'ai décidé d'entrer au séminaire diocésain et j'ai retrouvé La foi chrétienne comme manuel obligatoire : chaque semaine, nous devions lire un certain nombre de pages, puis il y avait un dialogue entre les professeurs et les étudiants. Cette fois, j'ai beaucoup mieux compris la richesse de ce texte et, à partir de là, la perspective présentée par Ratzinger est devenue pour moi une boussole doctrinale.

     Je l'ai lu une troisième fois, peu avant mon ordination sacerdotale, alors que je travaillais dans une paroisse et qu'avec les fidèles nous approfondissions les affirmations du Credo, en utilisant précisément le schéma de La foi chrétienne. Puis à nouveau en 1999, au cours d'une semaine d'exercices spirituels, je l'ai relu, et cette fois, comme je travaillais dans la Congrégation depuis quelques années et le fréquentais quotidiennement, la voix du cardinal a résonné dans mon esprit comme s'il prononçait ces mots. Par rapport à mes lectures précédentes, le contexte différent et ma plus grande maturité ont fait que ces réflexions m'ont parlé d'une manière directe et personnelle, avec une vigueur plus nourrissante pour ma vie spirituelle.

     Au fond, chaque étape correspondait à une contextualisation de plus en plus précise de la question fondamentale proposée par Ratzinger : « Quel sens et quelle portée a aujourd'hui la profession de foi chrétienne "Je crois", dans les conditions de notre existence actuelle et dans la situation que nous vivons dans le présent par rapport à la réalité en général ? » J'ai été constamment interpellé par sa certitude que « tout être humain doit, d'une manière ou d'une autre, prendre position sur les convictions fondamentales, et personne ne peut le faire autrement que sous la forme d'une foi ». Et j'ai été rassuré et encouragé par son explication selon laquelle « croire de manière chrétienne signifie s'abandonner avec confiance au sens qui me soutient et qui soutient le monde ; cela signifie l'accepter comme la fondation solide sur laquelle je peux me tenir sans crainte. La foi chrétienne est la rencontre avec l'homme-Jésus, et dans cette rencontre, elle perçoit le sens du monde en tant que personne ».

     Le 31 mai 1984, en la solennité de l'Ascension du Seigneur, j'ai été ordonné prêtre par l'archevêque de mon diocèse de Fribourg-en-Brisgau, Oskar Saier, et quelques mois plus tard, j'ai lu la traduction allemande du dialogue entre Ratzinger et l'écrivain Vittorio Messori, publié en italien sous le titre Entretien sur la foi. J'ai été frappé par la liberté avec laquelle le préfet parlait de tant de sujets, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'Église, allant même jusqu'à critiquer certaines dérives après le concile Vatican II, notamment dans les domaines de la liturgie et de la pastorale.

     Je me souviens que lorsque j'ai acheté le livre, je l'ai emporté avec moi lors de mon excursion habituelle dans la Forêt-Noire, le mardi, jour où je n'avais pas d'obligations d'enseignement à l'école et où le curé me dispensait du service paroissial. Je prenais un sandwich et quelque chose à boire et je m'installais dans un endroit agréable dans les bois : cette fois-là, je suis rentré très tard au presbytère parce que j'avais été absorbé par ma lecture jusqu'à ce que la nuit tombe, tant j'étais passionné par ces pages.

     Après deux ans en tant que vicaire, j'ai été envoyé à Munich pour étudier le droit canonique à l'université Ludwig-Maximilian. Au début, ce sujet ne me passionnait pas du tout, mais j'ai peu à peu mieux compris son sens et sa finalité, si bien qu'après avoir obtenu ma licence et mon doctorat, je suis retourné dans le diocèse en 1993, à la demande de Mgr Saier, comme assistant personnel et avec le poste de vicaire à la cathédrale.

     En automne 1994, j'ai été informé que le nonce en Allemagne avait demandé à mon archevêque de m'envoyer à Rome pour collaborer à la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, car on avait besoin d'un expert en droit canonique. Mgr Saier n'était pas du tout content de me laisser partir et a essayé de résister. Mais l'insistance du Vatican était motivée par deux arguments précis : d'abord, on faisait remarquer que l'archidiocèse de Fribourg, le plus important d'Allemagne en termes de nombre de baptisés après Cologne, n'avait jamais fourni de prêtre aux bureaux du Saint-Siège ; ensuite, s'adressant plus personnellement à Mgr Saier (qui avait exprimé quelques réserves à l'égard de la Curie vaticane), on faisait remarquer qu'on ne pouvait pas critiquer le centralisme romain si l'on n'était pas ensuite disposé à proposer des personnes aptes à en améliorer la qualité.

     En fait, il s'agissait d'un avis largement répandue dans mon pays, puisque le cardinal Ratzinger lui-même, dans son livre-interview avec Vittorio Messori, avait déclaré sans ambage : « De mon Allemagne, j'ai souvent regardé l'appareil romain avec scepticisme, peut-être avec méfiance et impatience. En arrivant ici, je me suis rendu compte que cette Curie est bien supérieure à sa réputation. La grande majorité est composée de personnes qui y travaillent dans un véritable esprit de service. Il ne peut en être autrement, étant donné les salaires modestes qui seraient considérés comme le seuil de pauvreté ici. Et aussi du fait que le travail de la plupart d'entre eux est très peu gratifiant, se déroulant en coulisses, dans l'anonymat, préparant des documents ou des discours qui seront attribués à d'autres personnes au sommet de la structure. »

     Le 7 janvier 1995, je me suis donc présenté au cardinal préfet Antonio Maria Javierre Ortas, qui m'a affecté à la section disciplinaire, qui s'occupait à l'époque, entre autres, de la laïcisation des prêtres qui avaient demandé une dispense du célibat et des cas de mariages consacrés mais non consommés. Pour moi, ce n'était pas une tâche particulièrement enthousiasmante, car je devais principalement m'occuper chaque jour de documenter les affaires de personnes qui se trouvaient à un moment de leur vie très délicat, déçues de leur vocation et incertaines de l'avenir. Toutefois, j'ai été rassuré de savoir que l'engagement était limité à trois ans, délai que Saier était prêt à accorder avant de me faire revenir dans son diocèse. ( - 102)

Une prolongation illimitée

     À l'époque, je séjournais au Vatican, dans le collège teutonique situé entre la salle Paul-VI et le côté gauche de la basilique vaticane. La messe quotidienne dans l'église adjacente de l'archiconfrérie de Notre-Dame était à 7 heures et, chaque jeudi matin, le cardinal Ratzinger venait la célébrer et restait ensuite pour le petit-déjeuner. Lorsque je lui ai été présenté, j'ai eu l'occasion de lui dire que j'avais étudié à Munich et que j'avais également été assistant pastoral dans la paroisse Saint-Pierre, la plus ancienne de la ville, qu'il connaissait évidemment bien. Au fil des semaines, les conversations sont devenues plus ciblées : il s'est enquis de mon travail dans le domaine du culte divin et m'a demandé plus de détails sur les études que j'avais réalisées.

     Vers la mi-septembre 1995, en me saluant à la fin d'une de ces messes matinales, Ratzinger m'a dit de venir le voir à la congrégation, car il voulait me parler. Je ne savais pas quoi penser, j'ai donc appelé son secrétaire, Mgr Josef Clemens, pour prendre rendez-vous et — puisque nous nous étions déjà rencontrés - je lui ai demandé amicalement s'il connaissait la raison de cette convocation, mais il n'en avait aucune idée. Lorsque je suis entré dans le bureau du préfet, j'étais un peu nerveux, car je craignais de me voir reprocher quelque chose : au contraire, il m'a accueilli très cordialement et m'a expliqué qu'un collaborateur germanophone allait bientôt revenir dans son diocèse et qu'il avait donc besoin d'un remplaçant. Mon parcours d'études était adapté, alors il m'a demandé si j'étais prêt à déménager.

     J'ai bien sûr exprimé mon enthousiasme, mais j'ai également précisé que tout devait être convenu avec le préfet du Culte Divin et mon archevêque. Ratzinger s'est entretenu personnellement avec Javierre Ortas, tandis que j'ai écrit à Saier, qui a répondu qu'il ne pouvait pas s'opposer à une demande du préfet de la Doctrine de la Foi, tout en confirmant cependant le mandat de trois ans. Ainsi, en mars 1996, j'ai été transféré à l'ancien Saint-Office et j'ai été affecté à la section doctrinale, celle qui s'occupe des questions relatives à la promotion et à la protection de la doctrine de la foi et des mœurs.

     Je me suis immédiatement senti à l'aise, car tant la collaboration entre les différents collègues que les relations avec les supérieurs étaient excellentes. Ma tâche spécifique consistait à aider à préparer les projets de réponses de la congrégation aux nombreuses demandes d'éclaircissements provenant du monde entier, ainsi que les documents d'autres organes du Vatican dans lesquels la doctrine de la foi était impliquée.

     En 1997, m'est parvenue une autre proposition inattendue, qui m'a rempli de joie. Mgr Juan Ignacio Arrieta, alors doyen de la faculté de droit canonique de l'université pontificale de la Sainte-Croix, m'a proposé un poste d'enseignant. Nous avions fait plus ample connaissance grâce au travail à la congrégation, car nous lui demandions souvent son avis sur certaines des questions juridiques que nous traitions. Je me suis évidemment immédiatement tourné vers le cardinal Ratzinger pour obtenir son consentement : il m'a seulement demandé si je pensais pouvoir accomplir cette tâche de manière adéquate, sans prendre du temps sur la Doctrine de la Foi, et à ma réponse affirmative, il m'a simplement répondu : « Très bien, alors. »

     Une fois écoulé le mandat de trois ans qui était prévu, mon archevêque, qui était en confiance avec Ratzinger, m'a informé que, si une prolongation de cinq ans du mandat était demandée, la permission serait accordée. Lorsqu'il a expiré en mars 2001, le préfet a exprimé ses remerciements dans une lettre officielle pour l'autorisation précédente et a demandé à Saier un nouveau renouvellement de cinq ans, renouvellement qu'il a obtenu. C'est ainsi que, en 2003, j'ai pu prendre la suite de Mgr Clemens comme secrétaire particulier du préfet. Puis, avant que cette prolongation ne prenne fin en mars 2006, le cardinal est devenu pape, et pour l'archevêque, il n'était plus question de faire des difficultés...

     En tant que secrétaire de Ratzinger, j'ai cessé d'effectuer le travail de bureau que j'accomplissais auparavant, car suivre la correspondance dense et les rendez-vous du préfet était très exigeant. Dès le début, il m'a accordé une confiance totale pour ouvrir le courrier et gérer son agenda, dont j'avais un double, que nous vérifiions constamment pour organiser les jours suivants. Lorsqu'il ne s'agissait pas de lettres aux sujets délicats, que je lui transmettais alors directement, j'essayais de rédiger une réponse ou de confier le sujet à un collaborateur plus spécialisé, afin de lui soumettre un projet sur lequel il pourrait travailler. En revanche, pour chaque demande d'entretien, je préparais un mémo pour lui dire quel en était le sujet, et s'il s'agissait d'une affaire institutionnelle ou personnelle.

     À l'époque, je vivais à Sainte-Marthe et, parfois, le cardinal venait déjeuner avec moi au réfectoire. En plus de la Doctrine de la Foi, les voyages pour des événements officiels, les conférences et les célébrations liturgiques pour lesquelles j'étais également son maître de cérémonie, nous ont permis de nous côtoyer d'avantage. Notre amitié a grandi progressivement et pour lui, j'ai été « don Giorgio » (ou plutôt « don Ciorcio », avec son intonation allemande typique) jusqu'à la fin, même s'il n'a jamais voulu s'adresser à moi en me tutoyant : même pendant sa période de pape émérite, il a continué à s'adresser à moi et aux Memores avec le vouvoiement, selon une forme de respect qui l'a toujours caractérisé.

     Je dois avouer que j'ai ressenti une forte émotion lorsqu'il a récupéré et m'a fait lire le texte de l'homélie qu'il avait prononcée en tant que diacre le dimanche 23 avril 1950 à la messe des enfants de Freising, homélie centrée précisément sur mon saint patron (nom que je partageais avec son frère) : « Le dragon est le terrible cauchemar de toute l'humanité, c'est le monstre devant lequel nous tremblons, c'est la formidable force du mal que nous appelons le diable. Celui qui possède la cuirasse et l'épée n'a rien à craindre, car les armes de Dieu sont plus fortes que le dragon. Saint Georges n'est pas là pour que nous l'admirions, mais pour nous faire comprendre ce que nous devons faire. Il nous dit qu'il y a un dragon et il nous dit que nous sommes tous appelés à devenir ceux qui tuent le dragon. »

     En général, Ratzinger arrivait avec ponctualité à la congrégation à 9 heures, après avoir célébré la messe chez lui et récité le bréviaire, et avec une idée précise des questions à traiter au cours de la journée, ayant étudié l'après-midi précédent la documentation que je lui avais fournie. Lorsqu'il arrivait, nous avions l'habitude de plaisanter sur son état d'esprit, en l'évaluant avec une « note » qui paraphrasait cinq appréciations académiques : summa cum laude, magna cum laude, cum laude, sufficit, pour arriver à non sufficit, quand tout allait mal... Le dernier cas était assez rare, mais déjà le sufficit exprimait la demande implicite que je ne lui soumette pas de problèmes exigeants et substantiellement désagréables. La note était également liée à la qualité de son sommeil de la veille, car il a toujours très mal dormi. Le pape François lui a dit un jour qu'il ne dormait que six heures, mais comme une pierre. Et Benoît XVI de répondre avec un sourire triste : « C'est un cadeau que votre prédécesseur n'a malheureusement pas eu ! » ( 102 - 106)

Extraits de "Rien que la vérité" de Mgr Gänswein (à suivre ...)

- Mgr Gänswein : Jean-Paul II était un saint (33 - 37)
- Ratzinger comme un chef d'orchestre de Jean Paul II (47 -54)
- Benoît XVI : la campagne électorale à l'envers (55-69)
- Benoît XVI : Des racines en Bavière (93 - 97)
- La foi chrétienne sous le bras ( 102 - 106)
- Mgr Gänswein au quotidien avec Benoît XVI (106 - 110)
  Mgr Gänswein : Dans l'appartement du pape (115 - 119)
- Mgr Georg Gänswein : Rien d'autre que la vérité - ma vie aux côtés de Benoît XVI - Postface (341 - 344)
 

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Sources :  Rien d'autre que la vérité - édition Artège -  E.S.M.
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Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.)
09.05.2023

 

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