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Sainte Bernadette Soubirous : un message de conversion, de prière et
de pénitence
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Le 18 février 2023 -
(E.S.M.)
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Alors que le pape Benoît XVI était en voyage à Lourdes
en septembre 2008, il rappelait dans une homélie le
message de Bernadette, un message de conversion, de
prière et de pénitence, conformément à la parole de
Jésus.
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Sainte Bernadette Soubirous-
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Sainte Bernadette Soubirous : un message de conversion, de prière et de
pénitence
Le 18 février 2023 - E.
S. M. - C'est aujourd'hui la fête de sainte Bernadette
Soubirous (1844-1879), elle qui déclarait : " C'est parce que
j'étais la plus pauvre et la plus ignorante que la Sainte Vierge m'a
choisie ".
"Cette date à été choisie car c’est un 18 février que la Vierge
Marie lui dit : « Je ne vous promets de vous rendre heureuse en ce
monde, mais dans l’autre. » Bernadette avait 14 ans lorsqu’elle vit
pour la première fois la Vierge. Fille aînée d’une famille de
meunier que l’arrivée des moulins à vapeur jettera dans une extrême
pauvreté, Bernadette SOUBIROUS est accueillie en janvier 1858 à
l’Hospice de Lourdes dirigé par les Sœurs de la Charité de Nevers,
pour y apprendre à lire et à écrire afin de préparer sa première
communion. En février 1858, alors qu’elle ramassait du bois avec
deux autres petites filles, la Vierge Marie lui apparaît au creux du
rocher de Massabielle, près de Lourdes. Dix huit Apparitions auront
ainsi lieu entre février et juillet 1858. Chargée de transmettre le
message de la Vierge Marie, et non de le faire croire, Bernadette
résistera aux accusations multiples de ses contemporains. En juillet
1866, voulant réaliser son désir de vie religieuse, elle entre chez
les Sœurs de la Charité de Nevers à Saint-Gildard, Maison-Mère de la
Congrégation. Elle y mène une vie humble et cachée. Bien que de plus
en plus malade, elle remplit avec amour les tâches qui lui sont
confiées. Elle meurt le 16 avril 1879 à 35 ans.
Elle est béatifiée le 14 juin 1925 puis canonisée le 8 décembre
1933. Son corps retrouvé intact, repose depuis 1925, dans une châsse
en verre dans la Chapelle. Chaque année, venant du monde entier, des
milliers de pèlerins et de visiteurs, se rendent à Nevers pour
accueillir le message de Bernadette."
***
Le 18 novembre 1923 eut lieu dans la salle ducale au Palais du
Vatican la cérémonie de lecture solennelle du Décret sur l'héroïcité
des vertus de la Vénérable Bernadette Soubirous. Cette Cause «
intéresse l'univers catholique tout entier » à cause des rapports
qui la rattachent au grand fait de Lourdes, et dans une lettre à ses
diocésains Mgr. Chatelus, évêque de Nevers, déclare qu'elle est «
particulièrement chère au Pape [ancien pèlerin de Lourdes], qui en
possède tous les détails et en désire le succès ».
Sur cette question : « Est-il bien établi, dans le cas et pour
l'effet dont il s'agit, que les vertus théologales de Foi,
d'Espérance et de Charité envers Dieu et le prochain, ainsi que les
vertus cardinales de Prudence, de Justice, de Force et de Tempérance
et leurs annexes, ont été pratiquées à un degré héroïque ? »
Quand on parcourt la vie de la Vénérable Servante de Dieu Sœur
Marie-Bernard Soubirous - vie qui s'acheva dans le court espace de
trente-cinq ans, - il est impossible, si on examine avec soin et
jusque dans le détail la manière de vivre et d'agir de la Vénérable,
de n'y pas rencontrer quelques imperfections ou défauts, mêlés aux
actes des vertus chrétiennes. C'est pourquoi, afin d'être à même de
porter sur la question posée un jugement exact, deux points,
semble-t-il, sont à élucider et à résoudre. Premièrement : La preuve
de l'héroïcité des vertus pratiquées par Sœur Marie-Bernard
ressort-elle suffisamment et légitimement des faits ? Deuxièmement :
Cette preuve ne souffre-t-elle aucun préjudice de la présence
desdites imperfections ?
Enfance de Bernadette.
Pour reprendre les choses d'un peu plus haut dans l'histoire de
notre Vénérable, nous la voyons d'abord naître dans un humble
village de montagne, de parents pieux, et de modeste condition,
bientôt contraints de subir tous les inconvénients de la pauvreté.
L'enfant n'en fut naturellement pas exempte : de là cette santé
fragile dont elle eut à souffrir dès ses premières années.
Néanmoins, à peine son âge le lui permet-elle, qu'elle n'hésite pas
à entrer en service et à garder les troupeaux pour subvenir selon
son pouvoir aux besoins de sa famille et venir en aide à ses
parents.
On comprend qu'au milieu des occupations de la vie des champs la
jeune fille n'eut guère le moyen de corriger ce que pouvait avoir
d'un peu rude sa nature d'enfant de la montagne. Cependant, sans
avoir reçu aucune éducation humaine, elle faisait de surprenants
progrès dans la pratique de toutes les vertus domestiques et
surpassait les jeunes filles de son âge et de sa condition par son
ardeur pour la piété et son zèle à apprendre la doctrine chrétienne,
l'Oraison dominicale, la Salutation angélique, le Symbole et les
autres prières. C'était un bonheur et un charme de la voir et de lui
parler ; son visage, sa conversation, toute sa démarche respiraient
cette candeur d'âme naïve, fruit de la simplicité et de l'innocence,
et toute entière fondée sur l'humilité. C'est pourquoi Dieu, «
qui choisit ce qui est faible en ce monde pour confondre ce qui est
fort
» (I Cor, I 27), a élu cette jeune enfant pauvre, cachée et
inconnue du monde, pour être l'instrument de sa toute-puissance dans
l'incomparable prodige qui s'accomplit à Lourdes, près la grotte de
Massabielle, et jeta un si vif éclat sur le milieu du XIX° siècle.
La Voyante de Massabielle.
Cette jeune enfant, dont il a été question jusqu'ici, et dont nous
venons d'esquisser le portrait physique et moral, se reconnaît
aisément, et le nom si populaire de Bernadette se présente de
lui-même à l'esprit. C'est Bernadette, en effet, qui, par un
privilège de la divine bonté, fut favorisée, en l'an 1858, des
apparitions réitérées de la Bienheureuse Vierge Marie : apparitions
par lesquelles fut confirmé le dogme catholique de
l'Immaculée-Conception de cette même Bienheureuse Vierge, défini et
promulgué, quatre ans auparavant, par le pape Pie IX, de sainte
mémoire[3]. Du 11 février 1858, en effet, jusqu'au 16 juillet de
cette même année, plusieurs apparitions eurent lieu, durant
lesquelles la Bienheureuse Vierge Marie se montra à Bernadette,
l'entretint souvent et, avec la plus grande bienveillance, l'exhorta
à prier pour les pécheurs, à baiser la terre, à faire pénitence, et
lui ordonna de faire savoir aux prêtres qu'elle voulait qu'on lui
élevât en cet endroit un sanctuaire, où l'on viendrait lui adresser
des supplications solennelles. Elle lui enjoignit en outre de boire
de l'eau d'une fontaine encore cachée sous terre, mais prête à
jaillir, et de s'y laver. Il y eut d'autres faits, que nous
omettons. Celui-ci toutefois ne saurait être passé sous silence :
comme Bernadette insistait pour savoir le nom de celle qu'elle avait
été jugée digne de contempler si souvent, la Bienheureuse Vierge
Marie, joignant les mains à la hauteur de la poitrine, et élevant
les yeux au ciel, répondit : « Je suis l'Immaculée Conception.
» Or, ceci se passait le 25 mars, jour de la fête de l'Annonciation
de la Bienheureuse Vierge Marie, dans lequel l'Eglise honore
également le mystère de l'Incarnation. Cette coïncidence souligne
ainsi avec autant d'opportunité que d'éloquence le lien étroit qui
existe entre la Maternité divine et l'Immaculée Conception.
L'épreuve
Il serait trop long de rapporter ici tout ce que Bernadette eut à
souffrir pour défendre la réalité de ces apparitions surnaturelles.
Cette réalité fut reconnue d'abord par l'évêque de Tarbes[4], après
une enquête juridique, puis confirmée d'une manière éclatante par
les célèbres miracles qui suivirent bientôt. Il arriva ce qu'on
pouvait prévoir ; le nom et l'histoire du sanctuaire de Lourdes
devinrent irrévocablement associés au nom et au souvenir de
Bernadette. On comprend aisément que la voyante allait se trouver
alors exposée à une forte tentation, et ses vertus subir une
redoutable épreuve, surtout son esprit de pauvreté et son humilité.
Mais rassurons-nous. Admirons plutôt ce souci constant qu'elle a de
se dérober à la curiosité des pèlerins, qui rivalisaient d'adresse
pour la voir, la visiter, la combler de cadeaux, et de fuir les
louanges et les applaudissements des hommes.
La Sœur Marie-Bernard
C'est encore dans cette louable intention que Bernadette se retira
dans l'hospice que les si dévouées Sœurs de la Charité et de
l'Instruction chrétienne de Nevers[5] dirigeaient à Lourdes, et que,
après quelques années passées dans cet établissement, instruite et
formée par les Sœurs, elle sollicita et obtint d'être admise dans
leur Congrégation. Elle se rendit donc à la maison-mère de la
Congrégation, à Nevers, et, après son temps de probation, y prononça
ses voeux ; son nom de Bernadette fut changé en celui de Sœur
Marie-Bernard. C'est en s'acquittant avec une sainte ardeur de
toutes les charges et obligations propres à son nouvel état que Sœur
Marie-Bernard devint le modèle des soeurs de Nevers, ses compagnes,
dans l'intimité desquelles elle passa les treize dernières années de
sa vie.
Conclusion : l'héroïcité des vertus de
Bernadette.
Nous avons là, comme en un germe fécond, tous les éléments d'une
réponse motivée à la double question posée. Le zèle ardent et
inlassable, en effet, avec lequel Sœur Marie-Bernard n'a cessé de
tendre à la perfection dans tous ses actes ; la victoire éclatante
qu'avec le secours de la grâce divine elle a remportée sur
elle-même, tant par le soin vigilant qu'elle mit à se préserver de
la vaine gloire, à laquelle l'exposait la grande notoriété de son
nom, que par le courage joyeux et ardent avec lequel elle s'efforça
de réprimer et d'adoucir sa rudesse native ; son entrée dans l'état
religieux, où elle progressa chaque jour en perfection : tout cela
nous fournit manifestement la démonstration nécessaire et désirée de
l'héroïcité des vertus de Sœur Marie-Bernard.
Les légères imperfections ne nuisent pas à
cette héroïcité.
Et la valeur de cette démonstration n'est en aucune façon infirmée
par ce fait qu'elle n'est pas parvenue à ce résultat du premier
coup, que dans le chemin de la perfection, où elle s'était
résolument engagée, elle a pu laisser parfois paraître quelques
imperfections ou défauts ; car, selon la sentence bien connue de
saint Grégoire le Grand, et qui trouve ici son application, «
lorsque nous nous détournons de l'amour de cette vie corruptible,
c'est " comme pas à pas " que notre cœur s'achemine vers les
réalités invisibles. Partis des régions inférieures, nous
n'atteignons jamais le sommet " du premier coup " ; car, dans
sa poursuite de la perfection, notre âme, en perpétuelle ascension,
ne parvient au but que lentement et " par degrés ».
La Cause de Bernadette intéresse tout
l'univers catholique.
Aussi le jugement de cette Cause de choix fut-il des plus faciles à
porter, même en appliquant les règles les plus rigoureuses. Son
heureuse issue réjouira à juste titre à la fois le diocèse de
Nevers, qui vit les dernières années de Sœur Marie-Bernard et garde
ses restes sacrés, et le diocèse de Tarbes et Lourdes, qui la vit
naître, et où elle passa son enfance et sa jeunesse, jusqu'à l'âge
de vingt-deux ans. Mais cette Cause ne saurait rester renfermée dans
ces étroites limites. Elle intéresse l'univers catholique tout
entier. Partout où règne et fleurit le culte de la Vierge Immaculée
de Lourdes, les fidèles accueilleront avec la plus grande joie la
nouvelle de la promulgation du présent Décret apostolique, qui
termine l'enquête commencée il y a deux ans sur l'héroïcité des
vertus de Sœur Marie-Bernard.
Ses étapes.
Les deux Congrégations antepréparatoire et préparatoire, furent en
effet suivies de la Congrégation générale, qui se réunit le 7 août
dernier, en présence de Notre Très Saint Père le Pape Pie XI. Dans
cette Congrégation, S. Em. le cardinal Antoine Vico, préfet de la
Sacrée Congrégation des Rites, en lieu et place du Révérendissime
rapporteur[6] le cardinal Nicolas Marini, d'illustre mémoire, décédé
quelques jours auparavant, soumit à la discussion le Doute suivant :
« Est-il bien établi, dans le cas et pour l'effet dont il s'agit,
que la Vénérable Servante de Dieu Sœur Marie-Bernard a pratiqué à un
degré héroïque les vertus théologales de Foi, d'Espérance et de
Charité envers Dieu et le prochain, ainsi que les vertus cardinales
de Prudence, de Justice, de Force et de Tempérance, et leurs annexes
? » Leurs Eminences les Cardinaux et les pères consulteurs
donnèrent chacun à leur tour leur avis.
Notre Très Saint Père le Pape, après avoir entendu avec joie et pesé
avec attention ces avis, se réserva le soin de prononcer lui-même le
jugement suprême. Puis il exhorta tous les assistants à implorer, en
attendant, avec lui, la lumière divine par de ferventes prières.
Lorsqu'il eut décidé de manifester son intention, il désigna ce jour
du XXVI° dimanche après la Pentecôte. C'est pourquoi, après avoir
célébré avec une grande dévotion les Saints Mystères, il manda au
Vatican S. Em. le cardinal Vico, évêque de Porto et de Sainte-Rufine,
préfet de la Sacrée Congrégation des Rites et rapporteur de la
Cause, le R. P. Ange Mariani, promoteur général de la Foi, et
moi-même, secrétaire soussigné ; puis en leur présence il fit
solennellement cette déclaration : « Il est bien établi, dans le
cas et pour l'effet dont il s'agit, que la Vénérable Servante de
Dieu Sœur Marie-Bernard a pratiqué, à un degré héroïque, les vertus
théologales de Foi, d'Espérance et de Charité envers Dieu et le
prochain, ainsi que les vertus cardinales de Prudence, de Justice,
de Force et de Tempérance, et leurs annexes. »
Il ordonna en conséquence que ce Décret fût proclamé et enregisté
dans les Actes de la Sacrée Congrégation des Rites, le quatorzième
jour des Calendes de décembre de l'année MDCCCCXXIII[7]
+ A. card. VICO,év. de Porto et Ste-Rufine,
préf. de la S. C. des Rites.
ALEXANDRE VERDRE, Secrétaire.
[1]En
vertu de l'ancien Droit, elle a été proclamée Vénérable quand fut
signé par Pie X le Décret sur l'introduction de la cause de
béatification (13 août 1913).
[2]Décret
concernant les diocèses de Nevers ou celui de Tarbes et Lourdes,
pour la Cause de Béatification et de Canonisation de la Vénérable
Servante de Dieu Sœur Marie-Bernard Soubirous, de la Congrégation
des Sœurs de la Charité et de l'Instruction chrétienne de Nevers (Acta
Apostolicae Sedis, I. 12-23, pp. 592-596).
[3]« Nous
déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que
la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier
instant de sa conception, par une grâce et une faveur singulière du
Dieu Tout-Puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du
genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché
originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu'ainsi
elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles.
C'est pourquoi, s'il en était, ce qu'à Dieu ne plaise, qui eussent
la présomption d'avoir des sentiments contraires à ce que nous
venons de définir, qu'ils sachent très clairement qu'ils se
condamnent eux-mêmes par leur propre jugement, qu'ils ont fait
naufrage dans la foi et se sont séparés de l'unité de l'Eglise, et
que, de plus, par le même fait, ils encourent les peines portées par
le droit s'ils osent manifester par parole, par écrit ou par quelque
signe extérieur, ce qu'ils pensent intérieurement » (Pie IX :
Bulle « Ineffabilis Deus », 8 décembre 1854).
[4]Mgr.
Bertrand-Sévère Laurence. Né le 7 septembre 1790, à Oroix
(Hautes-Pyrénées), commença ses études avec le curé de Juncalas où
il était apprenti-barbier, et les termina au séminaire
d’Aire-sur-l’Adour où il sera professeur. Ordonné prêtre le 29 avril
1821, par l’évêque de Bayonne, il fonde et dirige le séminaire de
Saint-Pé-de-Bigorre (9 août 1822). Vicaire général de l’évêque de
Tarbes (1833), il est aussi supérieur du grand séminaire. Nommé
évêque de Tarbes le 31 décembre 1844), il meurt à Rome le 30 janvier
1870.
[5]Congrégation
religieuse fondée en 1680 à Saint-Saulge, en Nivernais, par le
bénédictin Jean-Baptiste de Laveyne et l’oratorien Charles Bolacre,
pourservir et médicamenter les pauvres, enseigner et catéchiser
les petites filles, orner les églises. Les premières
religieuses, réunies par Marie-Scholastique de Marchangy (morte en
1729), furent formées à l’hôpital de Nevers et émirent leur
profession en 1683. La maison mère fut transférée à Nevers (1685) et
la première règle fut approuvée, en 1700, par Mgr. Vallot.
Réorganisé après la Révolution, l’Institut se développa au XIX°
siècle où il reçut son décret définitif d’approbation (20 août
1870).
[6]Il
s'agit du cardinal ponent, c’est-à-dire du juge dont la fonction est
d’être, azuprès de ses collègues, le rapporteur de la cause à juger
et le rédacteur de la sentence finale.
[7]Le XXVI° dim. après la Pentecôte est le 18 (et non 11)
nov. , le 14° (et non 19°) jour des Calendes de décembre (et non de
novembre).
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Sources : belgicatho-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 18.02.2023
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