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19 Avril 2005
 

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FAMILLE

Les Pères synodaux ont perçu comme première tâche de l'Église-Famille de Dieu en Afrique la réhabilitation de la famille africaine dans sa dignité et sa vocation car elle est menacée par des idéologies dangereuses (l’idéologie du Genre). La grande estime de l'institution familiale est remarquable dans toutes cultures africaines et ce n'est pas sans raison que l'Église en Afrique se définit comme «Église-Famille de Dieu», terminologie consacrée par le précédent Synode mais qui gagne encore à être enrichie en donnant à la «Famille» une base anthropologique chrétienne solide, susceptible de mieux manifester son identité et l'ouvrir à la dimension de l'Église universelle.

Les Pères synodaux ont dénoncé clairement les idéologies et les programmes internationaux qui sont imposés à nos pays sous de fallacieuses raisons ou conditionnant l'aide au développement. Elles sont nocives pour la famille. Il faut former des personnes compétentes, capables d'informer convenablement les associations des familles catholiques et autres mouvements laïcs qui défendent le bien de la famille, et capables aussi d’en affronter le débat public (conférences, émissions radio...).

Introduire dans les séminaires, les noviciats et d'autres maisons de formation, des analyses socio-pastorales contextuelles dans le but de découvrir, de dénoncer et de prévenir tout risque et toute menace qui puissent peser sur l'institution « famille ».

Enfin, il y a urgence à redéfinir la famille comme «Église-domestique» et premier lieu d'éducation à l'amour, à la réconciliation, la justice et la paix. Les familles chrétiennes seront alors la base stable des Communautés Ecclésiales Vivantes qui seront alors des «communautés-Familles», véritables écoles d'évangélisation. La pastorale familiale doit intégrer ces éléments.

DIGNITÉ DE LA FEMME ET RÔLE AU SERVICE DE LA RÉCONCILIATION, DE LA JUSTICE ET DE LA PAI

La femme est au service de la vie et de l'humanisation des autres membres de la famille. Mais elle reste frustrée dans son épanouissement par la culture traditionnelle (mutilations génitales) et bafouée dans sa dignité par la modernité (pornographie, prostitution, viols et toutes sortes d'humiliations dans la société).

Les Pères synodaux ont entendu le cri des femmes parfois répercuté par certains d'entre eux... L'Église-Famille de Dieu est interpellée sur les graves injustices qui leur sont faites. Elles ont besoin d'être reconnues dans la société comme dans l'Église en tant que membres actifs engagés dans la vie de l'Église. Leur contribution au développement et à la sauvegarde de la famille humaine, même en temps de conflits, doit être reconnue et appréciée à sa juste valeur.

Comme mères, elles assurent la première éducation à l'enfant: amour et sociabilité. Comme épouses, elles sont les confidentes des maris... Les Pères synodaux sont appelés à prendre en considération et à penser aux femmes tout en soulignant leurs potentialités déjà démontrées dans la gestion de la vie familiale...elles sont sans aucun doute capables d’offrir plus à l'Église.

En conséquence, une évangélisation en profondeur de la culture traditionnelle aidera à les libérer de certaines conduites et coutumes contraires à l'Évangile et toujours en pratique dans bien des sociétés (polygamie, violences domestiques, discrimination dans l'héritage, mariage forcé... premières victimes du VIH/Sida...).

Leur épanouissement (amour, respect et reconnaissances de leurs droits...), rendra leur contribution plus effective et plus efficace, notamment dans la naissance et l'entretien d'une culture de la paix. Elles y sont disposées naturellement par leur génie propre et leurs dons de patience, de capacité d'accueil et d'écoute et d'éducatrice.

LE SECTEUR SOCIO-RELIGIEUX

La peur et les incertitudes caractérisent la vie de foi dans de beaucoup de populations africaines (méfiance, soupçon, auto-défense, agression, charlatanisme, divination, occultisme, syncrétisme...). Une analyse poussée montre que c'est le désir insatiable de posséder égoïstement qui est à la racine des grands drames que certaines régions d'Afrique ont connus. D'autre part, les sectes exercent un grand attrait sur les fidèles catholiques aux prises avec les problèmes sociaux et désireux de solutions rapides à leurs problèmes physiques ou psychiques. Les sectes profitent des faiblesses ou de l'ignorance des fidèles. Certains groupes attaquent l’Église par des pratiques occultes.

Les Pères synodaux ont été invités par certains d'entre eux à enseigner à nouveau les éléments essentiels de la foi chrétienne afin de permettre aux fidèles de mener une vie quotidienne en cohérence avec leur foi. Une spiritualité équilibrée peut aider les chrétiens à résister à la pression des sectes.

Dans le domaine des injustices graves subies (conflits armés, violences...) les Pères synodaux ont écouté des témoignages émouvants de personnes qui ont fait l'expérience du pardon; Il en résulte que Justice – Pardon – Vérité sont inséparables. Ce qui a été brisé ne peut se reconstruire que si le mal est reconnu et avoué. Le pardon demandé et accordé après aveu libère la victime et le bourreau et établit une nouvelle relation plus forte. Cette force d'aimer et de pardonner est un don de Dieu (cf. le témoignage entendu en salle).

Les fidèles apprendront à fonder leurs relations et leurs conduites sur :
- l'assurance que donne le Christ de sa présence permanente dans leur cœur: « Je suis avec vous jusqu'à la fin des temps » (Mt 28, 20),
- la vie en abondance que Lui seul peut donner en sacrifiant la sienne (cf. Jn 17, 2-3)
- la paix que Lui seul peut donner non pas à la manière du monde (cf. Jn 14, 27); et
- la justice du Christ qui dépasse toute justice humaine (cf. Mt 5, 38).

Les sacrements, et en particulier l'Eucharistie et la réconciliation, constituent la source inépuisable de forces pour bâtir l'Église-Famille de Dieu. Dieu est la source unique de la vie, «Christ,...Premier-né d'entre les morts nous a réconciliés avec Dieu par son sang sur la croix...» (Col 1, 15ss). Nous sommes liés par un lien de sang avec le Christ qui nous introduit en la grande fratrie dont il est l'aîné.

Il est urgent de convaincre les fidèles du Christ que les liens fraternels établis par le Christ par l'eau du baptême et par son sang sont plus forts que les liens du sang. Il est l'aîné d'une multitude de frères établissant ainsi une «con-filiation» qui restaure la dignité de l'homme africain, le réconcilie avec lui-même et les autres, le guérit personnellement, socialement, culturellement, politiquement et économiquement.

En conséquence, il faut reconnaître et respecter la dignité et le caractère sacré de chaque personne, sans considération de son identité et de sa situation. Cela requiert la solidarité, le partage, le respect d'autrui, l’hospitalité, et de se rassembler et de se réconcilier pour une justice restauratrice...

L'Eucharistie comme source et sommet de la vie chrétienne devrait être le lieu de la meilleure expression de la réconciliation, et de la paix (cf. Prière eucharistique III). Le même Corps du Christ nous rassasie et le même Sang du Christ coule dans nos veines.

Une catéchèse d'approfondissement des sacrements peut aider les fidèles à vivre l'Eucharistie avec plus de profondeur et de profit car dans bien de communautés, la «messe» reste une parenthèse dans la journée ou la semaine: l'Eucharistie n'a pas encore investi la vie et l'agir quotidien de beaucoup de fidèles...à preuve le temps d'échange de paix qui passe inaperçu ou dénaturé. L'Eucharistie est l'occasion d'envoyer chaque participant membre avec une mission particulière de réconciliation et de guérison, de justice et de paix pour son entourage.

La double dimension personnelle et communautaire de la célébration du sacrement de la réconciliation doit être fortement soulignée. La célébration communautaire de la réconciliation est dans certains cas bien indiquée pour panser et guérir de blessures des sociétés et des familles déchirées par des situations de violences, de conflits et de guerres. Le péché a une dimension sociale, la réconciliation doit engager aussi toute la communauté.

LA MISSION PROPHÉTIQUE DE L'ÉGLISE-FAMILLE DE DIEU EN AFRIQUE

L'Église-Famille de Dieu, par sa nature, sa doctrine sociale cohérente, sa répartition géographique et son souci de l'unique bien de l'homme est mieux placée que toute autre organisation pour faire face aux défis de réconciliation, de justice et de paix en Afrique.

Les Pères synodaux ont reconnu la grande nécessité d'une présence active de l'Église dans les instances de décisions au niveau national, régional ou continental où se traitent les questions touchant le développement humain (socio-économique), l'établissement de bonnes relations entre les groupes en conflits(médiation) et le rétablissement de relations pouvant garantir un avenir de paix.

Pour parler de réconciliation, de justice et de paix, et garantir un engagement plus sensible et plus coordonné, il est nécessaire que les évêques parlent d'une même voix au sein de leur Conférence épiscopale (nationale, régionale ou continentale) Il faut créer une synergie entre toutes les institutions ecclésiales (S.C.E.A.M., CO.S.M.A.M., associations et organisations laïques continentales) pour cerner ensemble tous les différents aspects de la vie et des engagements de l'Église au service de la réconciliation, de la justice et de la paix.

Des instances spécialisées (observatoires) sont à créer, si c'est nécessaire, pour faire face aux nouveaux défis, pour développer des actions ou suivre l'évolution de certaines situations ou questions telles que les influences extérieures, la cupidité, l'ethnicisme..., qui sont toutes des causes potentielles de conflits ethniques. Toutes les racines des conflits dans les sociétés africaines doivent être affrontées sans peur ou complaisance et doivent faire objet de plans d'action pastorale continentale ou de directives pastorales précises.

Les évêques d’Afrique ont également grand intérêt à renforcer leur présence dans les organisations continentales (U.A) en harmonie avec l'action du Saint-Siège (diplomatie vaticane) afin de stimuler, d'encourager et de garantir les initiatives tendant à promouvoir la réconciliation, la justice et la paix.

La tragédie de la pandémie du VIH/Sida n'a pas été perdu de vue par les Pères synodaux. Ils encouragent tous ceux qui déploient des efforts pour soigner, pour donner l'espérance aux personnes infectées afin de résister aux tentations du désespoir. La mission de l'Église-Famille de Dieu en Afrique de faire vivre les fidèles de l'Évangile du Christ l'engage dans la lutte pour réduire la stigmatisation sociale des personnes infectées par le VIH/Sida, tout comme pour remplacer la violence par l'établissement de ponts de réconciliation, de justice et de paix, pour interpeller les pouvoirs publics, pour parler au nom des «sans-voix». Un appel a été adressé pour une plus grande synergie et solidarité afin que les malades en Afrique reçoivent les mêmes traitements que ceux d'Europe.

Dans la lutte pour la préservation des vies humaines et pour assurer plus de paix entre les hommes, plusieurs voix se sont levées pour demander la fermeture des usines qui fabriquent des armes et alimentent les conflits en Afrique. Après les conflits d'espaces vitaux et d'exploitations minières, c'est la guerre de l'eau qui se profile à l'horizon. Il faut donc rester vigilants sur la dégradation de l'environnement et ses conséquences sur le changement climatique.

Les Pères synodaux sont conscients que les causes des conflits armés en Afrique ne sont pas que le fait de tribalisme mais aussi de la convoitise des multinationales et de leur désir d'appropriation exclusive des gisements stratégiques (pétrole, uranium, coltan...) qui engendrent les conflits. Ils encouragent la mise en place de cadres juridiques internationaux afin de garantir un contrôle des multinationales et des industries extractives transnationales.

LAÏCS

Les conflits en Afrique ne sont pas sans nous renvoyer à l'Histoire récente (danger de l'exacerbation des nationalismes et concept de race qui sont anti-chrétiens). Les chrétiens sont nombreux dans l'administration publique, dans la vie politique et dans des instances de décisions (parlement). Mais malgré cela des lois contraires à la morale chrétienne sont votées notamment dans la sphère familiale. Il y'a donc nécessité de former les hommes politiques chrétiens et leur assurer une formation chrétienne solide (Bible, Théologie morale, Doctrine sociale de l'Église, Histoire de l'Église...) et des instruments juridiques pour défendre les valeurs chrétiennes (la famille en particulier) et ainsi contribuer positivement à l'élaboration des textes législatifs respectueux de la morale chrétienne. Les Pères synodaux ont reconnu qu'il ne suffit pas de former des fidèles laïcs au leadership politique dans nos pays mais il faut aussi les accompagner dans leurs engagements....pour en faire des agents de changement dans la société (bonne gestion des familles et des responsabilités sociales et sociétés politique).

Des mouvements d'apostolat des laïcs peuvent être mis à contribution pour le service de la réconciliation, de la justice et de la paix. L'Église à travers ses institutions spécialisées peut s'engager aussi avec la société civile et avec des ONG sérieuses, ainsi que d'autres confessions religieuses, pour faire front commun dans la lutte pour la promotion intégrale des droits humains.

MÉDIAS

La couverture des conflits africains et leur instrumentalisation par les médias constituent un défi pour l'Église-Famille de Dieu en Afrique. Les Pères synodaux ont été informés des efforts de beaucoup de diocèses de se doter de radios diocésaines. Elles permettent de promouvoir l'idéal de la fraternité et de la cohabitation pacifique, de la réconciliation, de la justice et de la paix auprès des populations. La puissance des média peut servir aussi à la diffusion de la Bonne Nouvelle dans un continent qui reste encore largement de tradition et de culture orale.

Une bonne formation technique et religieuse des communicateurs catholiques (doctrine sociale de l'Église en particulier) est prioritaire. En même temps il est nécessaire de former les pasteurs eux-mêmes et les agents pastoraux au langage et au bon usage des média. Les fidèles laïcs en général apprendront à exercer le discernement et l'esprit critique face aux idéologies que véhiculent ces media.

Une attention particulière est à porter aux jeunes. Ils sont les premières victimes des effets dévastateurs de la mondialisation sur les mœurs et le système des valeurs. D'où le nécessité d'une éducation intégrante et intégrale et à tous les niveaux (enfance, jeunes et adultes) à la pratique des valeurs sociales indispensables pour une convivialité harmonieuse: la promotion de la vie humaine, l'unité du genre humain et l'égale dignité des personnes, le respect du bien commun et le droit de tous d'en jouir.

Cela commence par la famille et se poursuit dans les établissements et les écoles catholiques qui restent les meilleurs lieux d'éducation aux valeurs de la vie chrétienne notamment la culture de la tolérance, la convivialité, le service des autres, la réconciliation, la justice et de la paix.

CLERGÉ

La formation des séminaristes doit être soignée et une bonne harmonisation entre la philosophie et la théologie permettra de répondre judicieusement aux interrogations du monde. Il est nécessaire de rédiger une ratio nationalis institutionis sacerdotalis pour favoriser le discernement, la formation spirituelle et affective adaptée aux circonstances et aux personnes...). Le discernement rigoureux et une formation spirituelle et affective adaptée aux situations qui feront d'eux des personnes solidement ancrés dans leurs cultures et fidèles à l'enseignement de l'Église. Le souci de formateurs compétents et bien formés doit être prioritaire. L'implication de la famille et de la communauté chrétienne dans un témoignage de fidélité dans la pratique des conseils évangéliques les aidera à fonder leur vie sur la seule appartenance au Christ.

VIE CONSACRÉE

La vie consacrée est en croissance rapide dans l'Église-Famille de Dieu en Afrique. Comme pour le clergé et les vocations sacerdotales, on constate des carences en matière de discernement et de formateurs(ices). Les Pères synodaux sont appelés à aider la vie consacrée pour se maintenir dans sa mission prophétique en l'appuyant dans la réalisation de sa mission ad Gentes et à l'encourager par un témoignage de communion. Ils ont été informés des pratiques des jeunes filles africaines envoyées en Europe pour se former à la vie religieuse... parfois cela se termine mal; certaines refusent de rentrer et finissent en péril. Une parole est attendue de leur part sur le sujet.
La COSMAM devient une réalité sur le continent et constitue une structure d'encadrement de la vie consacrée en Afrique et un cadre de dialogue avec les évêques du continent (S.C.E.A.M.).

UNE SEULE ÉGLISE-FAMILLE DE DIEU À PLUSIEURS VISAGES

L'Église-Famille de Dieu au nord ou sud du Sahara a la même mission de service. Elle n'est pas encore tout à fait intégrée dans l'Église-Famille de Dieu en Afrique. C'est une Église «Carrefour» mais qui a la vocation de devenir une «Église de la Pentecôte» car elle devient une Église multiculturelle de la part de la présence importante des étudiants sud sahariens. Ceux-ci apprennent à vivre leur foi dans un contexte nouveau et font courageusement face à leur avenir sans se décourager malgré certaines injustices.

Malgré son statut de minorité chrétienne en milieu musulman, elle entretient un rapport de dialogue avec l'Islam et est engagée dans différents services de la société: social, culturel et éducatif. Les évêques Pères synodaux issus de ces Églises ont appelé leurs pairs à aller à la rencontre et au dialogue des autres religions, sans complexe, à dépasser les peurs et le poids du passé (rapport entre monde arabe et Afrique noire) et à établir des relations de partenariat avec les musulmans de bonne volonté et ainsi réduire les tensions.
Ils souhaitent :
comme minorité chrétienne en milieu islamique, être associés au Synode des Évêques de 2010 (Moyen-Orient)
- l'organisation d'un colloque continental de partage et d'échange d'expériences des variétés des situations des rapports avec l'Islam (de Tunis à Johannesburg)
- Faire mémoire: saints, bienheureux et martyrs de l'Église-Famille de Dieu en Afrique.
Outre les saints et les bienheureux de l'Afrique que le Saint-Père ne manque aucune occasion de nous rappeler, les Pères synodaux ont évoqué la mémoire des évêques, des prêtres, des religieuses et religieux, des laïcs des séminaristes qui sont restés en tenue de service, jusqu'au don de leurs vies comme le Christ.

D'autres personnes que nous connaissons ont péri tragiquement dans le service du bien commun. Il est nécessaire de faire mémoire d'eux aussi avec les membres de l’Église. Tous ces héros du service et de la réconciliation méritent d'être présentés aux jeunes comme des modèles.

L’attention de la Communauté internationale doit se concentrer sur les injustices et les violences perpétrées tous les jours en Afrique en l’invitant à une solidarité plus étroite.
La Communauté internationale a besoin d’être encouragée à s’engager dans la reconstruction des pays ravagés par la guerre.

Lire la conclusion Rapport après le débat général par le card.Turkson
 

 

Sources : www.vatican.va -  E.S.M.
© Copyright 2009 - Libreria Editrice Vaticana
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 13.10.2009 - T/Synode Afrique

 

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