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19 Avril 2005
 

Mgr Robert Le Gall, Président de la Commission épiscopale pour la Liturgie et la Pastorale sacramentelle

L'EUCHARISTIE POURQUOI ?  POUR QUOI ?

« C'est l'amour que je veux et non le sacrifice », dit le prophète Osée, tandis que le publicain de l'évangile répète : « Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis. » (Lc 18, 13) Nous entrons toujours dans la messe par la porte basse de la basilique de Bethléem, avec au coeur la prière du publicain. l'Eucharistie, ce n'est pas l'amour ou le sacrifice, mais l'amour et le sacrifice : l'amour qui est allé jusqu'au bout, jusqu'à la consommation du sacrifice.

En ces réflexions, nous avons à répondre à deux questions : l'Eucharistie, pourquoi ? et l'Eucharistie, pour quoi ? Il ne s'agit pas d'un jeu de mot facile, mais d'une façon de dire successivement ce qu'est l'Eucharistie au coeur de la vie ecclésiale et les diverses manières de la vivre ou d'en vivre.

1. l'Eucharistie, pourquoi ?

·Parce que Jésus à dit à ses Apôtres à la dernière Cène : « Ceci est mon corps, donné pour vous ; faites cela en mémoire de moi » (Lc 22, 19). Puis, à la fin du repas, il ajouta : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang ; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi » (1 Co 11, 25) ; saint Paul ajoute : « Chaque fois, en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne. » (11, 26). Au début du repas pascal, il avait dit à ses disciples : « J'ai désiré ardemment manger cette Pâque avec vous avant de souffrir. » (Lc 22, 15)

Chaque messe reprend ce qu'on appelle le Récit de l'Institution (de l'Eucharistie), qui se termine toujours par « l'ordre de réitération ». Le mémorial en Israël n'a pas une simple valeur de commémoration, mais bien d'actualisation pour la communauté de salut des hauts faits du Seigneur pour son peuple. En l'Eucharistie, où les sacrifices du pain azyme et de l'agneau pascal trouvent leur accomplissement, les oeuvres de Dieu atteignent leur sommet dans l'Heure de Jésus, qui est le « chef-d'oeuvre » de l'amour qui est allé jusqu'au bout .

Paul le note bien : « chaque fois », l'Eucharistie annonce aujourd'hui la Bonne nouvelle de la mort du Christ – qui n'a eu lieu qu'une fois (apax en grec : He 7, 27 ; 9, 12) dans le passé - par amour pour son Père et pour nous, pour anticiper son retour futur dans la gloire. Les trois dimensions de notre existence historique sont comme télescopées par la liturgie. Jésus avant sa mort nous donne le sacrement de son sacrifice rédempteur dans l'amour suprême : sacrifice non sanglant, une fois avant le sacrifice sanglant, et « chaque fois » depuis plus de 2000 ans. Chaque jour le sacrifice de la Croix est actualisé « pour la gloire de Dieu et le salut du monde », au bénéfice spécialement de la communauté ou de l'assemblée réunie autour de son Seigneur face au Père.

Sacrifice, car le corps et le sang de Jésus se trouvent séparés sur l'autel, ce qui est le signe de la mort vécue « une fois pour toutes », mais celui qui est présent substantiellement sous les apparences du pain et du vin consacrés par l'Esprit Saint, est le Christ tel qu'il est actuellement, C'est à dire assis à la droite du Père dans la Gloire. La séparation du corps et du sang est dans l'Ecriture et dans notre expérience l'évidence de la mort.

Ainsi expérimentons-nous sacramentellement, C'est à dire réellement dans les signes sacrés donnés par Dieu lui-même, la parole de Jésus au terme de l'Evangile selon saint Matthieu : « Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici que je suis avec vous pour toujours – tous les jours, dit le texte grec, jusqu'à la fin du monde. » (28, 18-20)

·Parce que Jésus a dit dans le Discours sur le Pain de vie en saint Jean : « Je suis le pain de vie … » (6, 48-58). Jésus demande que l'on mange sa chair « donnée pour la vie du monde » (51) et que l'on boive son sang pour avoir la vie éternelle, même si ces paroles paraissent insoutenables. Il va jusqu'à comparer étroitement le lien qui unit son Père et lui-même à celui qui l'unit à ceux qui mangent sa chair et boivent son sang (57) : paroles extrêmement réalistes, même si Jésus ajoute : « C'est l'Esprit qui vivifie, la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et elles sont vie. » (63)

·Parce que dans la « Prière sacerdotale du Christ », qui est comme la Préface de sa Passion, de son sacrifice, Jésus dit à son Père : « Consacre-les par la vérité : ta parole est vérité. De même que tu m'as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux je me consacre moi-même, afin qu'ils soient eux aussi , consacrés par la vérité. » (Jn 17, 17-19) Parce que la Croix, comme l'Eucharistie, nous mènent à l'unité du Père et du Fils et du Saint-Esprit : « Que tous, ils soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu'ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, pour qu'ils soient un comme nous sommes un : moi en eux, et toi en moi. Que leur unité soit parfaite ; ainsi, le monde saura que tu m'as envoyé, et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. » (21-23)

·Parce que l'Eucharistie est l'oeuvre de l'Esprit, appelé sur les dons, lui qui opère la présence du Christ en son sacrifice dans l'Eucharistie. Les deux épiclèses soulignent son rôle dans la « confection » du Corps du Christ d'une part, et, d'autre part, dans l'édification de l'édification de l'Eglise, Corps mystique du Christ et Temple de l'Esprit, selon l'enseignement de saint Paul.

Les Latins précisent que la consécration ou transsubstantiation a lieu au moment du Récit de l'Institution ; les Orientaux ont une vue plus large, car pour eux, c'est toute la Prière eucharistique qui est consécratoire, et particulièrement la première épiclèse.

·Pour être fidèle à l'ordre de réitération du Christ et à l'action de l'Esprit Saint, l'Eglise fait l'Eucharistie, mais C'est aussi l'Eucharistie qui fait l'Eglise, selon l'enseignement de Jean-Paul II dans sa Lettre encyclique intitulée pour cela même Ecclesia de Eucharistia. l'Eucharistie construit dans le temps et dans l'espace le Corps total du Christ, qui est son Eglise.

·Pour se nourrir aux deux tables ou à la double table de la Parole de Dieu et du Pain eucharistique, selon la grande tradition de l'Eglise . Vers 150, dans son Apologie à l'Empereur, saint Justin écrit ceci : « Le jour qu'on appelle jour du Seigneur, tous, qu'ils habitent dans les villes ou dans les campagnes, se rassemblent en un même lieu. On lit alors les Mémoires des Apôtres – quelques lignes auparavant il précise : qu'on appelle Evangiles, ce qui est la première mention de ce terme en ce sens – ou les Ecrits des prophètes, aussi longtemps que le temps le permet. Quand le lecteur a terminé, celui qui préside prend la parole et exhorte à imiter ces beaux enseignements. Nous nous levons ensuite et nous prions à haute voix.

« Puis, lorsque la prière est terminée, on apporte du pain, du vin et de l'eau. Celui qui préside fait alors des prières et des actions de grâce, autant qu'il peut. Et tout le peuple répond par l'acclamation : Amen ! On distribue et on partage alors les eucharisties à chacun, et on envoie des diacres en porter à ceux qui sont absents.

« Ceux qui sont dans l'abondance et qui le désirent, donnent comme ils l'entendent, chacun ce qu'il veut. On recueille ces dons et on les remet à celui qui préside. C'est lui qui assiste les orphelins et les veuves, ceux qui sont dans le besoin par suite de maladie ou pour toute autre cause, les prisonniers, les étrangers de passage ; en un mot, il secourt tous ceux qui sont dans le besoin.

« C'est le jour du soleil que nous nous réunissons tous, parce que C'est le premier jour où Dieu, transformant les ténèbres et la matière, a créé le monde, et aussi parce que ce fut en ce même jour que Jésus Christ, notre Sauveur, est ressuscité des morts. Il fut crucifié en effet la veille du jour de Saturne, et le lendemain de ce jour, C'est-à-dire, le jour du soleil, il apparut à ses Apôtres et à ses disciples, et leur enseigna cette doctrine que nous avons soumis à votre examen. »

·Parce que l'Eucharistie est « source et sommet de la vie et de la mission de l'Eglise » (thème du Synode des Evêques d'octobre 2005 qui doit conclure l'Année de l'Eucharistie) , tout son mystère part de l'Eucharistie et aboutit à l'Eucharistie. Elle nous envoie en mission et nous pousse à nous engager au service de Dieu et du prochain, selon l'enseignement du Saint-Père pour l'Année de l'Eucharistie .

·Parce que l'Eucharistie est « action de grâce » : La messe au fil de ses rites voit revenir souvent cette mention de l'« eucharistie » : nous sommes faits pour recevoir et rendre la grâce, selon la structure fondamentale de toute vie spirituelle .

·Parce que, selon la parole des martyrs d'Abytène rapportée par Tertullien, Sine Dominico esse non possumus, « nous ne pouvons pas vivre sans dimanche ».( SANS LE DIMANCHE, NOUS CHRÉTIENS, NOUS NE POUVONS PAS VIVRE )

2. l'Eucharistie, pour quoi ?

·Pour situer dans sa plénitude toute la vie des chrétiens, liée à celle de leur Seigneur : baptême, confirmation, ordination, mariage, profession religieuse, sépultures, dédicace des églises, etc, ce qui est le cadre normal de la vie en Eglise.

·En fait, aujourd'hui, les fidèles ne sont pas toujours préparés au sens et à la portée de l'Eucharistie, pour Aller au coeur de la foi. Non seulement les prêtres manquent pour la messe aujourd'hui, mais les gens ne sont pas prêts pour l'Eucharistie (mariages ou funérailles). Il faut « repartir du Christ » pour les conduire à son Eucharistie, par la catéchèse depuis l'éveil à la foi jusqu'à la préparation aux sacrements. l'Eucharistie n'étant guère perçue comme la source, il faut y mener comme au sommet, si l'on peut dire.

·Peut-être a-t-on naguère trop multiplié ou banalisé les messes. Le manque de prêtre va nous obliger à célébrer, non en remplacement de la messe, mais en l'attente de l'Eucharistie ou dans le rayonnement de l'Eucharistie.

· Les assemblées dominicales en l'absence de prêtre (A.D.A.P., on comprend aussi en l'attente de prêtre). De plus en plus, les évêques demandent que l'on n'y distribue pas systématiquement la communion, pour que ces célébrations ne soient pas comprises comme un ersatz de la messe ; certains évêques vont jusqu'à l'interdire. l'assemblée dominicale a sa raison d'être dans les paroisses, quand il ne peut y avoir de messe, car « là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d'eux », a dit Jésus (Mt 18, 20) : ceci exprime et nourrit la communauté locale.

·La liturgie des Heures : Laudes ou Vêpres, peut être prévue comme célébration dominicale pour honorer le Jour du Seigneur, quand on ne peut aller à une messe, ou même quand on a participé à une messe.

·l'adoration du Saint Sacrement, selon le Rituel du culte de l'Eucharistie en dehors de la messe, à condition que cette célébration soit reliée d'une manière ou d'une autre au sacrifice eucharistique, à la Parole de Dieu, aux ministres ordonnés et à la communauté. En effet, ce qu'on appelle la « présence réelle » vénérée par excellence dans l'Eucharistie, n'est pas dissociable des autres formes de présence énoncées par le Concile .

·Il est bon de porter la communion aux malades ou aux personnes âgées, mais il convient de veiller à la manière dont on le fait : un mouchoir ne suffit pas, ni une petite boîte en carton ; une custode se trouve facilement. La coutume, comme à la cathédrale, de placer cette custode sur l'autel avant la messe est bonne. On ne doit pas garder le Saint-Sacrement des heures entières dans un sac à main ou dans un tiroir d'armoire : il faut le porter sans tarder avec respect et discrétion à ceux qui l'ont demandé ou à qui on l'a proposé.

Il convient aussi de garder le respect dans la façon de communier, et ne pas prendre l'hostie comme avec un bec de perroquet : on reçoit l'Eucharistie, on ne la prend pas ; les fidèles ne communient qu'après la communion des prêtres. « Fais de ta paume un trône pour le Roi des cieux qui vient chez toi », disaient les Pères de l'Eglise.

·Pour aller rejoindre les autres dans leur vie et leur porter la Bonne Nouvelle, et C'est pourquoi adoration et engagement sont complémentaires, selon l'enseignement du Saint-Père , dans la ligne de notre projet missionnaire diocésain de proximité, tel que la prochaine démarche synodale va pouvoir le préciser.

3. En conclusion

D'autres questions peuvent se poser à nous après nos Pourquoi et Pour quoi.

l'Eucharistie par qui ? Il faut rappeler l'articulation entre le sacerdoce commun des fidèles et le sacerdoce ministériel, tel que la Constitution sur l'Eglise l'a enseignée : « Le sacerdoce commun des fidèles et le sacerdoce ministériel ou hiérarchique, tout en différant entre eux selon leur essence et non pas seulement selon leur degré, sont cependant ordonnés l'un à l'aute ; l'un et l'autre, en effet, participent, chacun selon son mode propre, de l'unique sacerdoce du Christ. Celui qui a reçu le sacerdoce ministériel forme et dirige, en vertu du pouvoir sacré dont il jouit, le peuple sacerdotal, célèbre le sacrifice eucharistique en la personne du Christ et l'offre à Dieu au nom de tout le peuple ; les fidèles, pour leur part, en vertu de leur sacerdoce royal, concourent à l'offrande de l'Eucharistie et exercent ce sacerdoce par la réception de sacrements, par la prière et l'action de grâce, par le témoignage d'une vie sainte, par l'abnégation et par une charité active. » Pour le Cérémonial des Evêques, le type de la célébration eucharistique est celle que célèbre l'évêque entouré de son presbytérium et des diacres au milieu de l'assemblée des fidèles en sa cathédrale, célébration appelée « messe stationale ». l'Eucharistie est toujours célébrée en communion avec le pape et l'évêque du lieu. Les prêtres célèbrent la messe là où ils sont envoyés, au nom de l'évêque. Leur diminution et leur vieillissement posent la question de leur renouvellement, notamment l'urgence de l'éveil à la foi dès l'enfance pour que d'un terreau profond renaissent les vocations et qu'on les soutiennent .

l'Eucharistie comment ? Il faut toujours revenir à l'expression employée par la Constitution sur la liturgique, qui parle de « noble simplicité » pour montrer dans quel sens doit aller « l'art de célébrer » .

Synaxe, synode, symphonie, syntonie : tous ces mots comprennent le préfixe sun (« avec » en grec). Saint Ignace d'Antioche a su en exprimer le mystère et l'efficacité, comme dans la Lettre aux Ephésiens : « Il convient de marcher d'accord avec la pensée de votre évêque, ce que d'ailleurs vous faites. Votre presbytérium justement réputé, digne de Dieu, est accordé à l'évêque comme les cordes à la cithare ; ainsi, dans l'accord de vos sentiments et l'harmonie de votre charité, vous chantez Jésus Christ. Que chacun de vous, vous deveniez un choeur, afin que dans l'harmonie de votre accord, prenant le ton de Dieu dans l'unité, vous chantiez d'une seule voix par Jésus Christ un hymne au Père, afin qu'il vous écoute et qu'il vous reconnaisse, par vos bonnes oeuvres, comme les membres de son Fils. Il est donc utile pour vous d'être dans une inséparable unité, afin de participer toujours à Dieu. »

A Mende, le samedi 5 mars 2005

+ fr. Robert Le Gall - Evêque de Mende
Président de la Commission épiscopale pour la Liturgie et la Pastorale sacramentelle

 

Cf. Lettre apostolique Mane nobiscum Domine, n. 21-22.
2 Ibid., n. 12, 13 ; cf. Constitution sur la sainte Liturgie Sacrosanctum Concilium, n. 56.
3 Dans l'Eucharistie, de Jésus aux chrétiens d'aujourd'hui, Droguet et Ardant, 1981, p. 71-72.
4 Cf. Constitution sur la sainte Liturgie Sacrosanctum Concilium, 1963, n. 10
5 Cf. Mane nobiscum Domine, n. 24, 27, 28.
6 Ibid., n. 25.
7 Cf. notre travail l'Eucharistie : trouver grâce et rendre grâce, à paraître dans Documents Episcopat.
8 Pour tout cela, voir le Catéchisme de l'Eglise catholique, 1992, n. 1322-1419.
9 Sacrosanctum Concilium, n. 7 ; Mane nobiscum Domine, n. 18 ; Ecclesia de Eucharistia, n. 15 (par antonomase).
10 Mane nobiscum Domine, n. 27, 28.
11 Constitution dogmatique sur l'Eglise Lumen gentium, n. 10.
12 Sacrosanctum Concilium, n. 34 ; cf. 122, 123 (noblesse et beauté)
13 Voir les Guides « Célébrer » du C.N.P.L. avec ses deux tomes de l'art de célébrer, Cerf, Paris, 2003 ; ce fut aussi un des thèmes travaillés à la Plenaria de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements à Rome du 1 au 4 mars 2004, repris par le Saint-Père dans la lettre qu'il nous a écrite.
14 Dans Cerf, Sources chrétiennes, 1945, P. Th. CAMELOT, o. p., p. 51-53.

 

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