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19 Avril 2005
 

 

L’héritage de Jean-Paul II : La souffrance aussi, une force contre le mal

 

 Jean-Paul II "chaire de souffrance et de silence"

«Le pouvoir qui met une limite au mal, c’est la miséricorde de Dieu», disait le pape Wojtyla », a rappelé Benoît XVI, dans son discours à la curie romaine : il soulignait comment la souffrance peut devenir ainsi une « force contre le mal ».

 

L’héritage de Jean-Paul II : La souffrance aussi, une force contre le mal
Discours du pape à la curie romaine - commentaires: (2/5)

Benoît XVI a souligné comme premier événement qui a marqué l’Eglise en 2005 la mort du pape Jean-Paul II et la « leçon » qu’il a donnée depuis sa « chaire de souffrance et de silence », alors qu’il était privé de la parole, les derniers jours de sa vie ici-bas.

C’est de son « expérience » et non de la théologie et de la philosophie que le défunt pape a tiré cet enseignement sur la souffrance, disait-il : « Son interprétation de la souffrance qui n'est pas une théorie théologique ou philosophique mais le fruit longuement mûri d'un long parcours personnel de souffrance, vécu grâce au soutien de la foi dans le Crucifié ».

Jean-Paul II s’est posé la question du mal, et du « mal érigé en système », un « mal aux proportions gigantesques » qui s’est déchaîné pendant le XXe siècle.

Or, « « le pouvoir qui met une limite au mal, c’est la miséricorde de Dieu », disait le pape Wojtyla », continuait Benoît XVI : « L’agneau est plus fort que le dragon ».

Benoît XVI soulignait également la force de la souffrance offerte en union avec le Christ, tout en rappelant qu’il faut combattre la souffrance et l’injustice.

« La limite du pouvoir du mal, disait-il, la puissance qui, en définitive, le vainc, est la souffrance de Dieu, la souffrance du Fils de Dieu sur la Croix. La souffrance de Dieu crucifié n’est pas seulement une forme de souffrance à côté des autres (…). En souffrant pour nous tous, le Christ a conféré un sens nouveau à la souffrance, il l’a introduite dans une nouvelle dimension, un nouvel ordre : celui de l’amour (…). La Passion du Christ sur la Croix a donné un sens radicalement nouveau à la souffrance, l’a transformée de l’intérieur. C’est la souffrance qui brûle et consume le mal par la flamme de l’amour (…) ».

Le pape rappelait à la fois que l’on doit « tout faire pour atténuer la souffrance et empêcher l'injustice qui fait souffrir les innocents », et en même temps faire en sorte que « tous les hommes puissent comprendre le sens de la souffrance, et accepter la leur en l'unissant à celle du Christ ».

« En se fondant sur l'amour rédempteur, notre souffrance devient une force contre le mal dans le monde » : le pape Benoît XVI voit là une « leçon » donnée par la mort de Jean-Paul II.

Le pape concluait avec cette espérance: « Toute souffrance humaine, toute douleur, toute infirmité renferme une promesse de salut ».

 

ZF05122202

Souvenir d’élection : « Jamais je n’aurais pu imaginer … »
Discours du pape à la curie romaine - commentaires:

 

« Jamais je n’aurais imaginé que cela pourrait faire partie de ma vocation », a confié Benoît XVI en évoquant devant la curie son élection du 19 avril dernier, en la chapelle Sixtine.

A la fin de son discours de Noël à la curie sur l’état de l’Eglise, le pape Benoît XVI a évoqué son état d’âme au moment de son élection.

« Je dois peut-être encore faire mémoire du 19 avril de cette année, où le collège cardinalice, non sans une grande peur de ma part, m’a élu successeur du pape Jean-Paul II, en tant que Successeur de Pierre au siège de l’évêque de Rome », annonçait le pape.

« Une telle tâche, ajoutait-il, était tout à fait en dehors de ce que j’aurais jamais pu imaginer comme étant ma vocation. Ainsi, c’est seulement avec un grand acte de confiance en Dieu que j’ai pu dire dans l’obéissance mon « oui » à ce choix ».

Le pape demandait la prière de ses collaborateurs en disant : « Comme alors, je vous demande aujourd’hui aussi votre prière sur la force et le soutien de laquelle je compte ».

Et il les remerciait du soutien déjà reçu en disant : « En même temps, je désire remercier de tout cœur en ce moment tous ceux qui m’ont accueilli et m’accueillent encore avec tellement de confiance, de bonté et de compréhension, en m’accompagnant chaque jour de leur prière ».

 

ZF05122205 

 

Le Discours:             Allocution du pape Benoît XVI, analyse 2005, orientations 2006. Texte intégral

                                   Discours de Benoît XVI à la Curie Romaine, 22.12.2005

Commentaires 1/5:   L’arme de Dieu, c’est sa bonté,  23.12.2005

Commentaires 2/5:   L’héritage de Jean-Paul II : La souffrance aussi, une force contre le mal

Commentaires 3/5:   Benoît XVI dresse le bilan de l'Eglise catholique pour l'année 2005

Commentaires 4/5:   Discours de Benoît XVI sur l’état de l’Eglise , 23.12.2005  

 

  Eucharistie, Sacrement de la Miséricorde. 26.12.2005 - BENOIT XVI - JEAN-PAUL II

 

 

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