Le Pape Benoît XVI et sa sensibilité
envers la communication |
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Le 23 juin 2009 -
(E.S.M.)
- Comme le montre le thème du Message du Pape Benoît XVI pour la
Journée Mondiale des Communications Sociales de cette année
2008, « Nouvelles technologies, nouvelles relations.
Promouvoir une culture du respect, du dialogue, de l’amitié
», l’Eglise met toute son attention aussi sur les possibilités
de communication des nouvelles technologies, et Internet parmi
elles.
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Le Pape Benoît XVI et sa sensibilité
envers la communication
Le 23 juin 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
- A une époque où les innovations technologiques occupent – et envahissent
presque tout – une grande partie de la communication et de la vie
quotidienne -, la Radio peut apparaître comme un moyen de communication
vieux et démodé. Rien n’est plus erroné. En effet, la Radio, précisément,
est parvenue en des temps récents à prendre une nouvelle vie et une nouvelle
sève grâce à l’utilisation d’Internet. C’est donc un moyen de communication
qui est toujours utilisé dans le Nord, mais aussi dans le Sud du monde,
grâce au fait qu’il est un instrument utilisable simplement sans qu’il soit
besoin de faire trop de dépenses, et d’avoir trop d’appareils
technologiques.
C’est un « mass medium », la Radio, fondamental, parce qu’elle
véhicule ses messages en se fondant exclusivement sur l’utilisation de la
parole, et sur son pouvoir évocateur et éducatif. En outre, on écoute la
Radio tout en faisant d’autres choses ; elle est utilisable aussi par ceux
qui sont malades, qui ne sont pas particulièrement instruits, elle entre
directement dans les maisons, dans les bureaux, dans les voitures. C’est un
instrument « pauvre », mais qui a de grandes possibilités : pour la
seule Italie, on compte 38 millions d’auditeurs, sur une population de 55
millions environs d’habitants.
La Radio est seulement un des nombreux moyens de communication, privilégié,
tout comme le papier imprimé, que l’Eglise utilise pour communiquer le
Message par excellence, le Message chrétien. Comme le montre le thème du
Message du Pape Benoît XVI pour la Journée Mondiale des Communications
Sociales de cette année 2008, « Nouvelles technologies, nouvelles
relations. Promouvoir une culture du respect, du dialogue, de l’amitié
», l’Eglise met toute son attention aussi sur les possibilités de
communication des nouvelles technologies, et Internet parmi elles. Le
Message le plus important de l’histoire a été annoncé dès ses débuts par la
parole, et Jésus peut se définir comme un excellent maître de communication.
Pour cette raison, le milieu de la communication doit être un domaine
d’intérêt et de mission pour le chrétien moderne, intelligent dans
l’utilisation au, mieux des moyens (« media »)
que lui offre la réalité.
Le Magistère des Papes et la Communication
La communication de l’Eglise, dans le passé, et surtout dans notre siècle,
avec l’avènement de la Radio et de la Télévision, a été confiée en grande
partie aux communications des Pontifes : depuis les Lettres, en passant par
les Messages, les Encycliques, et jusqu’à l’Angélus, et les nombreux
Messages adressées en des occasions particulières. L’Eglise a toujours été
extrêmement compréhensive et attentive pour accueillir et pour s’approcher
des moyens de communication, même si, souvent, comme dans le cas de
Télévision d’abord, et à présent des nouvelles technologies, elle doit en
apprendre les propriétés et les problèmes. A chaque époque, l’Eglise a su
utiliser tout ce qui pouvait être utile à la diffusion du Message chrétien :
il suffit de penser au rapport avec l’imprimerie, qui a rendu possible la
diffusion de la Bible, même si ce n’était pas une période simple du point de
vue religieux.
Durant notre siècle, plusieurs Pontifes ont donné un grand élan à la
communication de l’Eglise, en apportant des nouveautés significatives et
durables. A la fin du 19° siècle, en 1898, il y eut les premières images
cinématographiques d’un Pape, Léon XIII, repris alors qu’il se promenait
dans les jardins du Vatican. Important aussi l’exemple du Pape Pie XI qui,
le 12 février 1931, inaugura Radio Vatican, fondée par Guglielmo Marconi.
Aujourd’hui encore, Radio Vatican est la Station de Radio du Saint-Siège ;
la Radio a pour tâche d’être un instrument de communication et
d’évangélisation, par la diffusion des messages du Souverain Pontife, par
les informations sur le Saint-Siège et sur la vie de l’Eglise Catholique
dans le monde, en aidant les fidèles dans les problèmes que présente la
situation actuelle, en les éclairant avec les Enseignements et avec le
Magistère de l’Eglise.
Le 2 avril 1964, avec la Lettre Apostolique Motu Proprio « In fructibus
multis », le Pape Paul VI créa la Commission Pontificale pour les
Communications Sociales. De cette manière, le Saint-Père donnait une suite à
tout ce qui ressortait du Concile Vatican II, et à l’intuition de son
Prédécesseur Jean XXIII qui, en 1959, avec le Motu Proprio « Boni Pastoris »
avait donné une forme nouvelle à la Commission permanente, en faisant
devenir la Commission Pontificale pour le Cinéma, la Radio et la Télévision,
un Bureau stable auprès du Saint-Siège. Pendant le Concile, cette Commission
prit le nom de Commission Pontificale pour les Communications Sociales, et,
aujourd’hui encore – le nom est à présent Conseil Pontifical – c’est
l’organisme du Saint-Siège auquel est confiée la tâche de « soutenir de
manière adéquate l’action de l’Eglise et des fidèles dans les nombreuses
formes de la communication, en suivant les quotidiens catholiques, les
publications périodiques, les stations de Radio et de Télévision ».
Jean Paul II, cela ne fait pas de doute, a été un Pape extrêmement
communicatif : en lui, tout a été communication, à partir de ses voyages, en
passant par les Journées Mondiales de la Jeunesse, jusqu’aux moments de sa
maladie et de mort. Le Pontificat de Jean Paul II s’est déroulé durant la
période de développement le plus grand des moyens de communication, et le
Pape a bien compris l’importance de ces moyens, et la possibilité d’en faire
un usage positif : sous son Pontificat, en 1983, fut créé le Centre de
Télévision du Vatican (CTV), devenu ensuite en
1996, un organisme directement rattaché au, Saint-Siège, avec pour but de
présenter le Magistère de Pierre par les images. Pendant le Pontificat de
Jean Paul, le « Vatican Information Service » (VIS)
fut créé en 1991 : c’est un système, interne à la Salle de Presse
du Saint-Siège, qui fournit, du lundi au vendredi, pendant toute l’année, et
en quatre langues (italien français, anglais et espagnol),
des informations sur les activités du Pape et de la Curie Romaine.
Le Pontificat du Pape Benoît XVI en est encore à ses débuts, mais
l’attention pour la communication est très évidente ; en particulier
l’accord avec « Youtube », grâce auquel les activités du Saint-Père
pourront être suivies dans ce qui est connu comme le « site des vidéos »,
utilisé par ce que le Pape lui-même a appelé la « digital generation
» ; c’est un canal qui contient des « videonews » sur les activités
du Pape et sur les événements du Vatican, mis à jour quotidiennement, et
disponible en italien, anglais, allemand et espagnol. En outre, dans son
Message pour la Journée Mondiale des Communications Sociales de 2009, le
Pape Benoît XVI a montré une nouvelle fois sa sensibilité envers la
communication, en s’adressant en particulier aux jeunes catholiques, «
pour les inviter à apporter dans le monde numérique le témoignage de leur
foi ». Le Saint-Père leur déclare : « Au début de l'Église, les
Apôtres et leurs disciples ont répandu la Bonne Nouvelle de Jésus dans le
monde gréco-romain : comme alors, pour être fructueuse, l’Évangélisation
requérait la compréhension attentive de la culture et des coutumes des
peuples païens afin d'en toucher les esprits et les cœurs, de même, à
présent, l'annonce du Christ dans le monde des nouvelles technologies
suppose une connaissance approfondie pour une utilisation cohérente et
adéquate. C’est à vous, jeunes, qui vous trouvez presque spontanément en
syntonie avec ces nouveaux moyens de communication, qu’incombe, en
particulier, la tâche de l’Évangélisation de ce ‘continent digital’ ».
Entretien avec Son Excellence Mgr Claudio Celli,
Président du Conseil Pontifical pour les Communications Sociales
Depuis
YouTube, il y a une approche différente de
l’Eglise Catholique vers les nouvelles technologies : quels sont les
avantages réels que les nouvelles technologies peuvent apporter à la
diffusion du Message Evangélique ?
Je crois que le Saint-Siège, et en particulier le Message du Saint-Père, ont
montré la conscience du caractère positif des nouvelles technologies. Nous
sommes tous conscients aussi des limites, des ambiguïtés des nouvelles
technologies, mais cela n’enlève rien au jugement sur le caractère positif
de Saint-Siège. Et cela implique le lien « nouvelles technologies, nouvelles
relations » : aujourd’hui, de nouveaux instruments permettent de dépasser
les barrières géographiques, offrent des possibilités, jamais imaginées
jusque là, de connaissance et de relation. Cela aide à une vision du monde
que je définirais « chrétienne », parce que, en éliminant des
barrières déterminées qui continuent à exister, on perçoit vraiment que l’on
appartient à une même famille. Les nouvelles technologies offrent donc de
grandes possibilités : le problème, c’est de faire que ces possibilités
soient au service des valeurs humaines et des contenus humains. Pour cela,
la deuxième partie du Message du Pape invite à promouvoir une culture du
dialogue, du respect et de l’amitié.
En outre, les technologies ont en elles des aspects techniques, mais elles
doivent avoir aussi une âme, qui lui vient des valeurs, et avant tout du
dialogue et du respect pour l’autre. La grande invitation du Pape, c’est de
promouvoir une culture nouvelle, et l’Eglise voit avec intérêt ces
possibilités, et elle cherche à les aider le plus possible. Il faut
souligner le fait que les moyens de communication apportent une grande aide,
mais ne remplacent pas la communauté. Les moyens de communication peuvent
créer des contacts, de la sympathie, une écoute qui peut aider à un chemin
de connaissance. Mais c’est la communauté qui aide à trouver les vraies
valeurs ; la technologie doit être reliée à une communauté qui accueille
celui qui veut faire un certain type de chemin. Les moyens de communication
ne peuvent remplacer une communauté vivante et agissante. La vie chrétienne
n’est pas une idéologie qui s’apprend, mais un style de vie ; et c’est la
communauté chrétienne qui aide à faire en sorte que le message puisse être
expliqué dans une vie toujours plus riche.
Récemment, vous êtes allé en Côte-d’Ivoire : de
vieilles ou de nouvelles technologies pour la Mission ? Et comment s’élimine
le « digital divide », et comment aide-t-on la possibilité d’accès
aux moyens de communication ?
La rencontre avec les Evêques en Côte-d’Ivoire, et les deux rencontres
suivantes avec les Evêques du Nigéria, ont été une occasion aussi pour
parler des communications sociales et des nouvelles technologies. Le Nigéria
a une population de plus de cent millions d’habitants, et quatre millions
environ fréquentent Internet. Cela veut dire que les jeunes du monde
africain, eux aussi, et surtout ceux qui ont une culture supérieure,
s’ouvrent aux nouvelles technologies ; la jeunesse nouvelle, en particulier
ceux qui entrent dans les Universités, sont insérés dans les problèmes de
l’utilisation des nouvelles technologies. Et si, d’un côté, il ne faut pas
abandonner les anciens moyens de communication, comme par exemple le papier
imprimé (il suffit de penser aux petites publications des
Diocèses, qui permettent aux communautés d’avoir leur expression, et de
rester en contact avec les Evêques), ou la Radio – même si, en
Afrique, où il existe environ deux cents Radios Catholiques, la situation
est problématique de ce point de vue – se pose le problème des nouveaux
moyens.
Les anciens moyens de communication sont utiles là où il n’y a pas d’énergie
électrique, là où existe le « digital divide », phénomène pour lequel
de vastes secteurs de l’humanité sont laissés en dehors de l’accès aux
nouvelles technologies, et qui est étroitement lié au développement : la
globalisation est telle aussi par sa grande contribution offerte par les
technologies de l’information ; en être en dehors, veut dire être coupés de
toute possibilité de développement social et économique ; c’est pourquoi le
Pape est très attentif à ce problème et en a parlé dans son Message.
Actuellement, de vastes secteurs de l’humanité, les jeunes surtout, sont
coupés de l’accès à l’ordinateur, à Internet, aux téléphones portables. Il y
a un chemin qu’il faut aider, comprendre et soutenir. Un des problèmes que
nous étudions actuellement, est celui de la « banque des programmes »
: souvent, en effet, les moyens de communication ont les équipes
technologiques, mais ils n’ont pas la capacité de produire des programmes
valables et adaptés.
Quand on parle de nouvelles technologies, il est
facile d’évoquer le binôme relatif aux jeunes : quelle est leur contribution
à l’Eglise du Troisième Millénaire ?
Le Message du Pape de 2009 s’est adressé pour la première fois à la «
digital generation », en raison aussi du fait que la majorité de ceux
qui, par exemple, fréquentent Youtube, sont des jeunes de 25 à 35 ans. A
l’occasion du lancement de l’accord avec Youtube, un journaliste m’a demandé
si, de cette manière, le Pape ne s’abaissait pas lui-même de trop. Ma
réponse fut simple : avant tout, le Fils de Dieu lui-même s’est abaissé, en
se faisant homme au milieu de nous, et cela, c’est l’Eglise. En deuxième
lieu, le Pape désire être présent là où se trouvent les hommes, dans cet
aréopage moderne ; pour cela, les jeunes peuvent vraiment apporte une
contribution à cette réalité, une contribution qui soit être accueillie et
comprise. L’Eglise ne peut réduire sa mission uniquement à cela ; mais je
crois qu’elle doit utiliser tout ce que la technologie met à sa disposition
; l’Eglise sait en outre qu’elle est une communauté vivante, et que
n’importe quel message, même annoncé avec les technologies les plus
différentes et les plus modernes, doit trouver accueil dans une communauté
vivante et agissante.
Comment est-il possible de faire la Mission, par la
communication, la où les moyens de communication n’existent pas?
Dans ces Pays, c’est surtout les Radios catholiques qui apportent des
contribution de double nature : la première est la formation pour un
développement humain intégral ; l’Eglise, dans son message d’évangélisation,
a comme but aussi de former les hommes : c’est donc un message qui comprend
également une dimension humaine. L’autre contribution est l’annonce de
l’Evangile. Notre but aujourd’hui est de préparer des personnes qui sachent
être attentives aux nouvelles technologies, et qui sachent transmettre, par
ces nouvelles technologies, la vérité du message évangélique. Les moyens de
communication, comme le déclare aussi le Saint-Père dans son Message, ne
sont plus des seulement des instruments, mais, dans les communications
modernes, ils créent une culture nouvelle ; et, l’intérêt de l’Eglise est
d’être présente dans cette nouvelle culture, interactive, et
multi-médiatique. Notre problème consiste à préparer des personnes qui
soient, au sein de cette nouvelle culture, des instruments des valeurs
humaines et évangéliques, et qui puissent imprégner, comme un levain fécond,
cette nouvelle réalité humaine dans laquelle nous vivons.
Au mois de juin 2008 s’est tenu le Congrès des Radios
Catholiques: quels points de réflexion et de travail ont été dégagés à cette
occasion ? Qu’est-ce qui fait de la Radio un instrument aussi adapté à la
Mission ?
Dans le moment actuel, il y a une redécouverte de la Radio, parce qu’elle
est plus adaptable au cheminement de l’homme ; on ne peut nier qu’elle
s’adapte mieux, du point de vue formel, au mouvement de la vie de l’homme
d’aujourd’hui ; on ne peut nier que la Radio doive avoir plusieurs
fonctions, comme le rappelait le titre du Congrès centré sur « Identité
et Mission » : d’un côté, il y a l’identité d’une Radio Catholique qui
doit être annonciatrice de l’Evangile ; mais elle doit être ouverte au
dialogue, ne pas parler seulement aux catholiques, mais à tout homme,
surtout dans le moment actuel où l’homme expérimente ce qu’est la solitude
et est à la recherche de son identité. La fonction de la Radio ne doit pas
être seulement dans un but de dévotion, qui est certes une caractéristique
positive, mais elle doit avoir aussi la capacité de dialogue avec ceux qui
sont loin, avec ceux qui ne partagent pas ou qui ne connaissent pas
l’Evangile. Pour cela, chaque Radio Catholique a une dimension possédant son
propre caractère missionnaire ; elle doit être une communauté qui accueille
ceux qui, par la Radio, découvrent les valeurs chrétiennes et le Christ
lui-même ; les Radios Catholiques doivent avoir une dimension ouverte au
dialogue, elles doivent devenir dialogue de vie avec les personnes qu’elles
accueillent, jusqu’à partager les joies, les peines, les luttes des
personnes. C’est là que se place la voie pour une Radio Catholique
aujourd’hui.
Le jour de la fête de Saint François de Sales, Patron
des journalistes, vous avez souhaité que les journalistes soient des
messagers de la vérité: quelles caractéristiques doit posséder un bon
communicateur? Comment arrive-t-on à la vérité ?
Le
Message pour la Journée Mondiale des Communications Sociales de l’an
passé est éloquent: le Pape Benoît XVI y parle des moyens de communication
de masse qui sont à un tournant, entre protagonisme et vérité, recherche de
la vérité. Je crois que non seulement les journalistes, mais que tout homme
devrait exprimer dans sa vie sa forte recherche de la vérité. Et cette
recherche de la vérité doit être partagée avec les autres ; cela vaut pour
tout homme, et plus spécialement pour les journalistes, pour lesquels c’est
un service : les grands journalistes qui ont marqué les moments de
l’histoire de chaque Pays, n’ont pas fait du commérage, mais ils ont cherché
la vérité, quelle qu’elle soit, et ils ont payé personnellement pour cette
vérité. Il faut découvrir alors ce qu’est la Vérité : la recherche de
l’homme n’est pas n’importe vérité, c’est une seule Vérité, la Vérité sur
l’homme, sur son destin, sur sa signification, sur la vie de tous les jours.
Cette recherche passionnée pour la vérité devrait être la caractéristique du
vrai journaliste ; en outre, la mission fascinante, prenant et passionnante
c’est de partager cette Vérité avec les autres, même s’il y a différents
secteurs de la société qui n’aiment pas entendre la Vérité.
Qu’attendez-vous après la célébration de la Journée
des Communications Sociales ?
Les Journées des Communications Sociales veulent attirer l’attention de tous
ceux qui travaillent dans le secteur sur des valeurs déterminées. Un premier
résultat, nous l’avons déjà obtenu : parce que le Message est adressé
principalement aux jeunes, nous avons fait entrer les jeunes dans la
diffusion du Message. Cent mille jeune environ ont transmis à leurs amis,
par Internet, le Message du Pape. Comme le dit le Seigneur Jésus, c’est à
nous de semer, et ensuite, il faut laisser la croissance au Bon Dieu, et
c’est Lui qui veillera à ce que ce Message fermente, transforme, anime la
présence de l’Eglise et des hommes de bonne volonté dans ce secteur.
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Sources : www.vatican.va
-
E.S.M.l
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Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 23.06.09 -
T/Eglise |