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19 Avril 2005
 

Les déçus ont parlé. Le Vatican répond

Le 18 avril 2011 - (E.S.M.) - Inos Biffi et Agostino Marchetto répondent dans "L'Osservatore Romano" aux traditionalistes Brunero Gherardini et Roberto de Mattei qui reprochent au pape actuel de ne pas avoir corrigé les "erreurs" du Concile Vatican II.

Les déçus ont parlé. Le Vatican répond  

par Sandro Magister

Le 18 avril 2011  - E. S. M. -  Deux des "grands déçus du pape Benoît" évoqués par www.chiesa dans un récent article ont été l’objet d’un traitement particulier de la part de "L'Osservatore Romano", leur dernier livre ayant fait, l’un après l’autre, l’objet d’un compte-rendu par des plumes autorisées.

Les "grands déçus" sont ces penseurs traditionalistes qui avaient mis initialement leurs espérances dans le pontificat de Joseph Ratzinger et dans son action de restauration, mais qui ont par la suite vu leurs attentes déçues. Et qui maintenant rendent public leur mécontentement.

Leur déception vient surtout de la manière dont le pape actuel interprète et applique le concile Vatican II.

Parce que, d’après ces penseurs, c’est là, dans ce concile, que se trouve la racine des maux présents de l’Église.

C’est ce qu’ils ont écrit et argumenté dans leurs derniers livres, en particulier le professeur Roberto de Mattei et le chanoine Brunero Gherardini, l'un du point de vue historique et l'autre du point de vue théologique.

L’article de www.chiesa cité plus haut donne une synthèse sommaire de leurs thèses :

Les grands déçus du pape Benoît XVI (8.4.2011)

L’un des motifs de déception du théologien Gherardini est le silence par lequel les autorités de l’Église ont réagi à l’un de ses précédents livres : "Le concile Vatican II. Un débat à ouvrir".

C’est si vrai que son dernier livre, paru cette année, exprime dès le titre sa déception : "Le concile Vatican II. Le débat manqué".

Cette fois-ci, toutefois, les choses se sont passées autrement. Le nouveau livre de Gherardini n’a pas été passé sous silence, il a fait l’objet d’un compte-rendu sur une page entière dans "L'Osservatore Romano" du 15 avril. L’article est d’un analyste de premier ordre, Inos Biffi, milanais, enseignant émérite aux facultés de théologie de Milan et de Lugano, qui est l’un des plus grands connaisseurs mondiaux de la théologie médiévale et première plume du journal du Saint-Siège en matière de théologie.

Inos Biffi adresse des critiques sévères aux thèses de Gherardini. Mais il en reconnaît également les mérites.

Lui-même ne manque pas de critiquer certains aspects du concile. Il le fait en s’appuyant sur une autorité de haut niveau, celle du cardinal Giacomo Biffi, avec qui il a en commun le nom de famille – sans aucun lien de parenté – mais surtout les idées.

Les critiques que les deux Biffi, Giacomo et Inos, adressent à l’événement conciliaire portent sur sa nature "pastorale", sur la renonciation à la condamnation des erreurs et sur les équivoques de ce que l’on appelle l’"aggiornamento".

Mais, à leur avis, les documents produits par Vatican II sont en tout cas "non coupables" des déviations ultérieures. En cela leur opinion diverge nettement de celle de Gherardini et des autres traditionalistes.

Le professeur Roberto de Mattei, auteur d’une histoire du concile Vatican II qui en montre le caractère de rupture avec la tradition, a également été l’objet d’un compte-rendu dans "L'Osservatore Romano" du 14 avril, rédigé par une autre plume de premier plan : l'archevêque Agostino Marchetto. Celui-ci, ancien secrétaire du conseil pontifical pour la pastorale des migrants, critique avec vigueur, depuis des années, l’histoire de Vatican II la plus lue au monde, celle qui est due à l’"école de Bologne", fondée par Giuseppe Dossetti et Giuseppe Alberigo, et qui interprète, elle aussi, le concile comme une "rupture" avec la tradition et comme un "nouveau début", mais dans un esprit opposé à celui des traditionalistes.

Et voici maintenant un extrait du compte-rendu du livre de Gherardini qui a été publié dans "L'Osservatore Romano" du 15 avril :

RELECTURES CONCILIAIRES

par Inos Biffi

Il est certainement possible, et même souhaitable, de faire une lecture critique du concile Vatican II, avec pour objectifs une analyse exhaustive de ses sources, selon leurs différentes natures, une reconstitution historique complète de sa préparation et de son déroulement et, en dernier lieu, l’interprétation de son contenu doctrinal, évalué en fonction des critères méthodologiques habituels de la théologie. Ce troisième objectif n’est pas facile à atteindre, en raison du genre littéraire auquel appartiennent les textes conciliaires, qui sont très développés et ressemblent à des traités de théologie, contrairement à l’enseignement synthétique qui caractérisait les actes des précédents conciles.

Il s’agit, en réalité, d’un travail qui a déjà été entrepris, avec de vastes perspectives, mais qui a été analysé négativement, non sans raison, à cause des idéologies de signe opposé qui l’ont guidé et qui ont conduit à une même conclusion : celle d’un Vatican II "révolutionnaire", qui aurait représenté une rupture avec la Tradition, soit en raison d’un aggiornamento de rupture lancé par un Jean XXIII qui aurait été conciliaire dès le sein maternel, soit en raison d’un retour du "modernisme" dû au manque de vigilance des papes qui ont succédé à Pie X.

Que cette conclusion soit peu plausible, cela devrait déjà apparaître dans le fait que les documents conciliaires ont été approuvés et promulgués par le successeur de Pierre et par le collège épiscopal réuni en concile, en communion avec lui. L’hypothèse selon laquelle ils auraient proposé un corps de doctrine en désaccord avec la Tradition aboutirait inévitablement à affirmer que, dans l’Église, le Magistère s’est rompu et la sûreté de la foi s’est perdue.

D’autre part, les deux résultats évoqués ci-dessus sont inévitables lorsque ce qui est à la base de la relecture, plus ou moins consciemment, ce n’est pas l’intention de repérer et d’examiner les données, mais la volonté de prouver une thèse.

*

Au contraire, une fois éliminés les présupposés qui pourraient en compromettre une compréhension objective, il est certainement légitime et même opportun de réexaminer le concile et d’en relever, à différents niveaux, les limites ou ce qui paraît constituer des limites.

Je pense aux réflexions, synthétiques mais pénétrantes, du cardinal Giacomo Biffi dans ses "Mémoires et digressions d’un Italien cardinal" (Sienne, Cantagalli, 2010). Celui-ci considère, par exemple, que l’expression de Jean XXIII "rénovation interne de l’Église" est plus pertinente que le terme "aggiornamento", qui fut également employé par le pape Jean. Ce dernier terme, qui a connu "un succès immérité", incluait – en dépit de l’intention du pape – l'idée que l’Église "se proposait de chercher à se conformer le mieux possible non pas au dessein éternel du Père et à son salut, mais 'à la journée', c’est-à-dire à l’histoire temporelle et terrestre".

Le même cardinal ne manque pas d’exprimer ses réserves concernant l’aspiration de Jean XXIII à s’abstenir de condamner, pour recourir à la "médecine de la miséricorde", évitant ainsi de "formuler des enseignements définitifs et contraignants pour tous" selon l’intention déclarée de tendre à un "concile pastoral", suscitant la satisfaction de tous "dans et hors de la salle du Vatican". [...]

*

En ce qui concerne "Gaudium et spes" Giacomo Biffi rappelle trois opinions faisant autorité.

La première est celle d’Hubert Jedin, qui disait que "cette constitution fut saluée avec enthousiasme, mais son histoire ultérieure a déjà montré que sa signification et son importance avaient alors été largement surévaluées et que l’on n’avait pas compris à quel point ce 'monde' que l’on voulait gagner au Christ avait pénétré profondément dans l’Église".

La seconde opinion est celle d’un théologien protestant que Giacomo Biffi apprécie beaucoup, Karl Barth, selon qui le concept de "monde" dans "Gaudium et spes" n’était pas celui du Nouveau Testament. Giacomo Biffi considère que cette opinion est "peut-être trop sévère si elle est appliquée au document lui-même", mais qu’elle est "irréprochable si on l’étend à une bonne partie de la mentalité de l’après-concile".

La troisième opinion évoquée est celle du cardinal Giovanni Colombo, "aiguë et libre comme toujours", selon laquelle : "Tous les mots de ce texte sont justes ; ce sont les accents qui sont erronés", et "malheureusement – c’est encore Biffi qui parle – l’après-concile a été influencé et envoûté plus par les accents que par les mots".

*

Les "Mémoires et digressions d’un Italien cardinal" s’arrêtent en particulier sur la constitution liturgique "Sacrosanctum concilium".

Lorsqu’elle a été publiée, se souvient le cardinal Biffi, "je me suis beaucoup réjoui. Tout le mouvement liturgique le plus intelligent et le plus équilibré – que j’avais suivi avec passion au cours des années précédentes – y trouvait son meilleur accueil et son couronnement. C’est de là qu’est partie la réforme, providentielle et impossible à arrêter, que nous avions tant souhaitée". Indubitablement, "c’est [aussi] de là que la plus déconcertante cuistrerie ecclésiastique est partie, arbitrairement, pour ses spectaculaires aberrations. Mais cette constitution n’en est pas coupable ".

Giacomo Biffi continue en mettant en lumière les réformes opportunes visant à rendre effectivement possible une "participation pieuse et active des fidèles" à la célébration. C’est pourquoi "un retour total et parfait aux formes qui, avant le concile, étaient normales pour les célébrations moins solennelles serait en opposition explicite avec l’enseignement et avec la volonté de Vatican II".

Ensuite le cardinal ne manque pas de faire remarquer que, si "le concile n’avait ni voulu ni prévu que le latin disparaisse totalement de nos célébrations", déjà dans les "Praenotanda" du nouveau missel réformé "le Saint-Siège en était arrivé à une permission générale". [...] D’après le cardinal, "une autorisation seulement partielle, avec comme résultat une 'liturgie bilingue', ne pouvait pas se maintenir longtemps ; il est donc justifié que l’on ait outrepassé l’enseignement du concile".

*

Je pense que le théologien Brunero Gherardini n’approuve pas du tout cette appréciation de la constitution "Sacrosanctum concilium". Il lance contre cette dernière plusieurs accusations - selon moi, elles ne sont pas fondées et on ne peut pas les partager - dans son livre "Le Concile Vatican II. Le débat manqué" (Turin, Lindau, 2011). Ce qui est inacceptable, c’est surtout la non-distinction entre, d’une part, l’enseignement du concile et les interventions d’application lancées et dirigées ultérieurement par des personnes autorisées et, de l’autre, les choix arbitraires inconsidérés de l’après-concile, dont pourtant – comme le fait remarquer le cardinal Giacomo Biffi – la "constitution n’est pas coupable".

Ce que l’on peut tout à fait partager, c’est ce qu’a dit Gherardini à propos des "absurdités anti-liturgiques réalisées au nom de Vatican II" et à propos de la "déplorable situation d’anarchie liturgique que tout le monde peut constater". Mais je ne crois pas que l’on puisse en attribuer la responsabilité directe ou indirecte au concile lui-même.

En vérité Gherardini admet lui aussi la validité et la précision des principes de réforme énoncés par "Sacrosanctum concilium", qui "dans leur ensemble et chacun en lui-même, sont d’une clarté parfaite, d’une ponctualité opportune et d’un prudent équilibre". Mais cela ne l’empêche pas, à la fin, d’accuser cette même constitution d’être la cause des désastreuses dérives qui se sont produites et en particulier de l’anthropocentrisme et de l’horizontalisme liturgique, dont elle contenait les germes et la tendance.

D’ailleurs, d’après Gherardini, l’anthropocentrisme, le naturalisme et l’horizontalisme avaient été "les notes dominantes", de l’"imprudent mouvement liturgique" représenté, par exemple, par Beauduin, Parsch et Casel, objectivement coupables, malgré la rectitude de leurs intentions, "d’avoir, au moins en partie, inversé la marche du mouvement liturgique, en centrant celui-ci sur l’homme".

Une affirmation de ce genre ne me paraît vraiment soutenable ni en ce qui concerne Casel, qui pensait, en accord avec la conception des Pères de l’Église, que la liturgie représente l’œuvre du salut sous forme sacramentelle, ni en ce qui concerne Beauduin, qui s’employait à rendre la communauté chrétienne activement priante, ni en ce qui concerne Parsch, à qui revient le mérite d’avoir initié le plus possible le peuple à la compréhension de la liturgie. À moins de considérer que le travail pastoral qui consiste à favoriser la participation de plus en plus active des fidèles à l’action liturgique est un signe d’anthropocentrisme et d’horizontalisme. [...]

Gherardini est persuadé que Vatican II, parlant, à propos de la liturgie, d’"une partie immuable parce que d’institution divine, et de parties sujettes au changement", a fait "de toute innovation un jeu pour enfants". Mais ni les papes ni les organismes compétents du Siège Apostolique ne me paraissent s’être comportés comme des enfants et avoir admis, en application du concile, "n’importe quelle" innovation, même si les auteurs des "spectaculaires aberrations", selon l’expression du cardinal Biffi, ont été – et sont – plus nuisibles que les enfants.

Il peut être pertinent de noter que Pie XII affirme dans son encyclique "Mediator Dei" (1947) : "La sainte liturgie est formée d’éléments humains et d’éléments divins : ces derniers, ayant été institués par le Divin Rédempteur, ne peuvent évidemment pas être changés par les hommes ; les premiers, au contraire, peuvent subir diverses modifications, approuvées par la sainte hiérarchie aidée par le Saint-Esprit, en fonction des exigences des temps, des choses et des âmes".

Gherardini est-il vraiment sûr que, après la promulgation de "Sacrosanctum concilium", à l’époque des différentes réformes, le Saint-Esprit ait sommeillé ou soit parti en vacances, laissant la sainte hiérarchie, représentée par Paul VI ou par Jean-Paul II, complètement privée de son aide et en proie à leur "désir de nouveautés"? [...]

Je ne vois vraiment pas comment ceux qui désiraient des nouveautés auraient été aidés par "l’enseignement conciliaire", par son langage et par les "portes qu’il entrouvrait". On en arrive à affirmer que "oui, la porte est vraiment ouverte" et que "si quelqu’un est passé par cette porte pour introduire une liturgie subversive de sa nature même et de ses finalités principales, en dernière analyse le responsable est bien le texte conciliaire", les responsables sont les pères conciliaires avec "cet esprit d’ouverture dans lequel le concile lui-même les avait noyés". [...]

*

Gherardini accorde une attention particulière à la question du latin liturgique. La valeur de celui-ci est effectivement incontestable et actuelle. Il ne faut pas non plus taire les résultats médiocres et parfois les erreurs – quelques-unes sont de nature théologique – de certaines versions en italien, relevées à juste titre par Gherardini. Voilà pourquoi, comme l’écrit le cardinal Biffi, il faut rappeler avec vigueur "la possibilité de célébrer, les dimanches et jours de fête, au moins dans les cathédrales, une eucharistie latine solennelle, bien évidemment selon le missel de Paul VI".

Mais je me demande s’il n’est pas fortement exagéré de considérer, comme le fait Gherardini, qu’"en remplaçant le latin par la langue vulgaire" on "a voulu privilégier l’homme, non pas en l’élevant grâce au rite sacré jusqu’au niveau du divin, mais en abaissant le rite jusqu’au niveau de l’homme et de sa condition historiquement limitée", comme si, dans la liturgie, c’était la langue et non la grâce qui élevait "au niveau du divin", ou comme si celui-ci était abaissé lorsque les fidèles comprennent immédiatement les textes lus dans leur langue habituelle. [...] Il devrait être clair que le "mystère" chrétien est bien autre chose que les "arcanes" profanes. [...]

En ce qui concerne l’introduction de la langue vulgaire, les grands accusés sont les papes. Lors de l’ouverture de Vatican II – affirme Gherardini – "tout ce qui était ou semblait être une exigence de l’homme a été pris en charge par les hommes de l’après-concile, papes compris". Ceux-ci se trouvent ainsi comparés aux inconscients qui, se réclamant indûment du concile, en ont au contraire trahi et renversé les sains principes et les judicieuses directives.

Quant aux papes, ce sont Paul VI, complice de l’adoption de la langue vulgaire par "sympathie pour l’homme", et Jean-Paul II, qui eut pour l’homme, pendant un quart de siècle, "une véritable dévotion" : l’un et l’autre sont restés, de toute façon, comme "à regarder les étoiles". On est toujours dans la ligne de la thèse préconçue et inacceptable qui oriente et conditionne toute la reconstitution entortillée et infructueuse de Gherardini.

Toutefois il me semble qu’ici l’on dépasse même les limites du bon goût. Et, dans ce cas, il serait parfaitement inutile de faire simplement remarquer que la liturgie n’existe pas pour que Dieu se rende un culte à lui-même, mais pour que l’homme puisse le louer et le glorifier dans les rites sacrés célébrés "de manière active et en pleine conscience", et recevoir ainsi la grâce du salut.

Et, de fait, les réformes conciliaires n’ont pas eu d’autre but ; si elles ont eu des limites, que l’on peut et doit corriger, elles ont surtout apporté d’immenses bienfaits. Il est peut-être opportun de débattre de Vatican II : mais débattre est une chose et dénigrer en est une autre.

*

Le journal du Saint-Siège qui a publié les deux comptes-rendus L'Osservatore Romano

Les deux articles de www.chiesa à propos de l'autobiographie du cardinal Giacomo Biffi, avec des morceaux choisis de ses jugements relatifs au concile Vatican II et à l’après-concile :
Les embarrassants mémoires du cardinal Biffi (16.11.2010)

"Ce que j'ai dit au futur pape" avant le dernier conclave (26.10.2007)

PENDANT CE TEMPS, LES ERREURS DU NOUVEAU CATÉCHISME DES JEUNES...

Le 13 avril a eu lieu la présentation officielle, au Vatican, du nouveau Catéchisme des jeunes, "YouCat", pour lequel on prévoit une diffusion à grand tirage, surtout en vue des prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse.

Mais des erreurs ou des passages critiquables ont été détectés aussi bien dans l'édition originale en allemand que dans certaines traductions, à propos de questions qui ne sont pas secondaires : l'euthanasie, les moyens anticonceptionnels et la valeur salvatrice des religions non chrétiennes.

Des informations sont été données à propos de ces erreurs par "Settimo Cielo", le blog qui complète www.chiesa pour les lecteurs de langue italienne.

 Traduction française par Charles de Pechpeyrou, Paris, France.


 

Source: Sandro Magister
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 18.04.2011 - T/International

 

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