Le pape termine son voyage apostolique à travers l'Asie et l'Océanie
avec une déclaration qui contredit de nombreux aspects de la foi
catholique
Le 13 septembre 2024 -
E.S.M.
- Jusqu'au dernier jour, le voyage du pape
en Indonésie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, au Timor
oriental et à Singapour s'est déroulé sans incident.
Tout a été très mesuré et sans entrer dans de grandes
flaques d'eau... jusqu'au dernier jour où François s'est
abandonné à improviser et on sait déjà que, chaque fois
qu'il met ses papiers de côté, c'est de la chair à
canon.
Le pape François -
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Le pape François termine son voyage apostolique à travers l'Asie et
l'Océanie avec une déclaration qui contredit de nombreux aspects de la foi
catholique
Le 13 septembre 2024 -
E.S.M. -
Jusqu'au dernier jour, le voyage du pape en Indonésie, en
Papouasie-Nouvelle-Guinée, au Timor oriental et à Singapour s'est
déroulé sans incident. Tout a été très mesuré et sans entrer dans de
grandes flaques d'eau... jusqu'au dernier jour où François s'est
abandonné à improviser et on sait déjà que, chaque fois qu'il met
ses papiers de côté, c'est de la chair à canon.
Le Pape a encore une fois fait une déclaration syncrétiste qui, pour
certains, figure déjà dans le « top 3 » des plus grandes erreurs du
pontificat de François.
Le Pontife a participé à Singapour, à une rencontre interreligieuse
avec des jeunes de diverses religions. "L'une des choses qui m'a
le plus impressionné chez vous les jeunes, c'est votre capacité de
dialogue interreligieux", leur a dit l'évêque de Rome. C'est à
ce moment que François assure à ces jeunes que « toutes les
religions sont un chemin pour atteindre Dieu ». Loin de
s'arrêter là, le Pape a poursuivi cette déclaration syncrétiste pour
assurer que les religions sont des « langages différents »
pour atteindre Dieu puisque « Dieu est Dieu et est Dieu pour tous
et nous sommes tous enfants de Dieu », a ajouté le Pape.
Le Pape a répété une fois de plus qu’il n’y a qu’un seul Dieu pour
tous et que les religions sont simplement des chemins différents
pour atteindre Dieu. Avec ces déclarations, le Pape place la
religion catholique au même niveau que, par exemple, l'hindouisme ou
le bouddhisme, car ce sont des « langues différentes » pour
atteindre Dieu.
La contradiction du pape avec la doctrine
catholique
Ces déclarations du pape François ne passeront pas inaperçues auprès
de nombreux catholiques qui ont écouté avec perplexité le fait que
le Souverain Pontife ait assimilé la religion catholique aux autres
religions, la proposant comme une autre voie - tout comme les
religions - pour atteindre Dieu. .
La réalité est que cette déclaration syncrétiste du Pape est très
dangereuse car elle n’est pas vraie. Il suffirait de remonter à
la source par excellence, qui est l'Évangile, pour se rendre compte
du sérieux de ces déclarations du Pape. " Je suis le chemin, la
vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me
connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous
le connaissez, et vous l'avez vu ", dit le Seigneur dans
l'Évangile (Jean 14:7).
En outre, la longue tradition de l’Église et du Magistère montre
clairement qu’il n’y a qu’une seule vraie religion, même si le Pape
tente de semer la confusion dans l’intérêt de sauvegarder le
dialogue interreligieux. Si nous regardons l'ancien symbole d'Athanas,
nous pouvons lire que « Quiconque veut être sauvé, doit avant
tout professer la foi catholique », et jusqu'à présent cette
doctrine n'a pas changé.
Cette déclaration papale contredit également l'un des points clés de
la Constitution apostolique
Lumen Gentium du Concile Vatican II, qui dit au point 14 : "
C’est vers les fidèles catholiques que le saint Concile tourne en
premier lieu sa pensée. Appuyé sur la Sainte Écriture et sur la
Tradition, il enseigne que cette Église en marche sur la terre est
nécessaire au salut. Seul, en effet, le Christ est médiateur et voie
de salut : or, il nous devient présent en son Corps qui est l’Église
; et en nous enseignant expressément la nécessité de la foi et du
baptême (cf. Mc 16, 16 ; Jn 3, 5), c’est la nécessité de l’Église
elle-même, dans laquelle les hommes entrent par la porte du baptême,
qu’il nous a confirmée en même temps. C’est pourquoi ceux qui
refuseraient soit d’entrer dans l’Église catholique, soit d’y
persévérer, alors qu’ils la sauraient fondée de Dieu par Jésus
Christ comme nécessaire, ceux-là ne pourraient pas être sauvés. "
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