Ci-dessus moteur de recherche


ACCUEIL

BENOÎT XVI

CHRIST MISERICORDIEUX

L'EVANGILE DU JOUR

LA FAMILLE

TEXTES DU VATICAN

JEAN PAUL II

FARNESE LOUIS-CHARLES

ACTUALITE DE L'EGLISE

CATECHESES

LITURGIE

LES JEUNES

FIDELES LAICS

JOUR DU SEIGNEUR

SERVANTS DE MESSE

SPIRITUALITE

THEOLOGIE

VOCATIONS

VOYAGE APOSTOLIQUE

GALERIE PHOTOS

TV VATICAN

MEDITATIONS

QUI SOMMES NOUS

NOUS CONTACTER
 
BIBLIOTHEQUE
.
STATISTIQUES
 
Ouverture du site
19 Avril 2005
 

Benoît XVI recevra les représentants du Chemin néocatéchuménal

 

Le 10 janvier 2009  - (E.S.M.) - Aujourd'hui 10 janvier dans la basilique Saint-Pierre du Vatican, le pape Benoît XVI rencontrera quelque 25.000 représentants du chemin néocatéchuménal.

Le pape Benoît XVI entouré de membres du Chemin néocathécumenal, dont M. Kiko Argüello- Pour agrandir l'image Clique

Benoît XVI recevra les représentants du Chemin néocatéchuménal

Le chemin néocatéchuménal: 40 ans d'histoire

Le 10 janvier 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Aujourd'hui à 17h, dans la basilique Saint-Pierre du Vatican, le pape Benoît XVI doit rencontrer quelque 25.000 représentants du chemin néocatéchuménal. Cette audience du pape au Chemin néocatéchuménal entend marquer le 40e anniversaire de l’installation à Rome de la première communauté de ce mouvement missionnaire né en Espagne en 1964 et dont les statuts définitifs ont été approuvés en juin 2008. Les initiateurs du Chemin néocatéchuménal, Kiko Argüello, Carmen Hernández et le père Mario Pezzi, présenteront au Saint Père Benoît XVI les résultats de 40 ans de présence du mouvement dans le diocèse de Rome.

A l'heure actuelle, le chemin néocatéchuménal est présent dans 120 pays et on peut compter 20.000 communautés, implantées notamment dans des quartiers sécularisés des grandes villes, comme Cologne, Budapest, Stockholm, New York, ou dans des régions marginalisées, par exemple auprès des aborigènes australiens. Le pape a approuvé les statuts en juin dernier avec trois orientations particulières aux membres des communautés néocatéchuménales, l'obéissance aux évêques, la reconnaissance du rôle du prêtre, la fidélité aux textes liturgiques de l'Église. Le mouvement est aujourd’hui reconnu comme un itinéraire de formation catholique, valable pour la société et les temps actuels.

Cette avancée a pu être réalisée notamment et grâce au soutien tout d'abord du pape Paul VI, puis du pape Jean Paul II et enfin de Benoît XVI.

Quatorze communautés de Rome (chacune composée de 30 à 60 personnes) qui ont terminé le parcours néocatéchuménal et qui, en accord avec les curés respectifs et le cardinal-vicaire, sont prêtes à partir comme "communitates in missionem" dans les zones les plus difficiles des banlieues de la ville Rome, pour venir en aide aux curés, seront présentés au Saint-Père. Ce sera la première fois dans l'histoire de l'Église que partiront des communautés entières qui ont fait ensemble un long parcours de foi.

L’audience accordée par le pape au Chemin néocatéchuménal, sept mois après l’approbation définitive de ses statuts, rassemblera quelque 25'000 personnes, a indiqué un communiqué diffusé le 9 janvier par le mouvement. La cérémonie, rythmée par les chants et les temps de prière, verra aussi intervenir l’un des deux fondateurs du mouvement, l’Espagnol Kiko Argüello, ainsi que Benoît XVI.

Né dans les bidonvilles en banlieue de Madrid en 1964, le Chemin néocatéchuménal avait été reconnu officiellement par le Saint-Siège le 29 juin 2002, mais ses statuts avaient d’abord été approuvés ‘ad experimentum’, conformément à la pratique. Avant l’approbation définitive et la publication des statuts, le 13 juin 2008, plusieurs dicastères de la curie romaine avaient demandé au Chemin néocatéchuménal de revoir certaines de ses pratiques. En outre, le mouvement a parfois été accusé de dérives sectaires.

Les statuts définitifs avaient indiqué que les membres du Chemin néocatéchuménal doivent célébrer leur messe dominicale “après les vêpres du dimanche“, c’est-à-dire le samedi soir, et “selon les dispositions de l’évêque“. Ces messes “font partie de la pastorale paroissiale“ et sont donc “ouvertes à tous les fidèles“, précisait le document définitif. Les statuts du ‘Camino’ précisaient aussi que la communion devrait être reçue “debout“, contrairement aux habitudes passées. Il était cependant mentionné que les fidèles resteraient “à leur place“ car le mouvement s’opposait à demander à ses membres de faire une procession pour la communion.

En outre, il a été accordé aux fidèles du Chemin néocatéchuménal de prononcer des brèves monitions avant les lectures ou l’homélie du prêtre, d’utiliser du pain azyme (sans levain) pour la communion, de communier sous les deux espèces (corps et sang du Christ), ou encore de déplacer le geste de paix au cours de la messe.

Les fondateurs du mouvement - Francisco Argüello dit ‘Kiko’ et Carmen Hernández - avait précisé que les statuts définitifs du Chemin néocatéchuménal en faisaient “un catéchuménat post-baptismal (…) sous la juridiction et la direction de l’évêque diocésain“.

Le ‘Chemin’, très missionnaire, est désormais présent dans plus de 900 diocèses et 120 pays à travers le monde, avec plus de 20'000 communautés et gérant plusieurs milliers de paroisses, ainsi que 70 séminaires missionnaires. Il est composé à 70% de personnes à l’origine éloignées de l’Église ou non-baptisées. (radiovm)
 

Sources : E.S.M.

Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 10.01.2009 - T/Brèves

 

 » Sélection des derniers articles  
page précédente haut de page page suivante