Benoît XVI célèbre la messe à Saint
Paul Hors les Murs |
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Le 05 octobre 2008 -
(E.S.M.) -
Dans son homélie, le pape Benoît XVI a longuement développé les textes
du jour. En attendant la traduction des paroles du Saint-Père, nous vous
proposons un commentaire de l'Évangile par saint Jean Chrysostome.
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Le pape à Saint
Paul Hors les Murs
Benoît XVI célèbre la messe à Saint Paul Hors les Murs
Le 05 octobre 2008 - Eucharistie
Sacrement de la Miséricorde
- Le pape Benoît XVI a inauguré ce matin la XIIe
assemblée du Synode des évêques qu'il a convoqué, consacré à la Parole de
Dieu dans la vie et la mission de l'Église par une messe solennelle
célébrée à Saint Paul hors les Murs. Ce synode durera trois semaines, il
s'agit de 2e synode du pontificat de Benoît XVI qui a nommé quelques 32
membres parmi les 250 cardinaux et évêques, et les 31 experts, et 37 auditeurs
qui vont participer à cette assemblée générale du Synode. Ces travaux vont
donc se dérouler jusqu'au 26 octobre. Cette célébration s'est ouverture par
la litanie des Saints, le salut liturgique et le rite de l'aspersion.
Avant d'entrer dans la liturgie, le saint Père Benoît XVI après quelques
mots d'introduction, a invoqué l'Esprit Saint afin qu'il guide, inspire et
illumine ces travaux synodaux.
Dans son homélie, le pape Benoît XVI a longuement développé les textes du
jour. Texte
intégral de l'homélie du saint-Père ►
Le pape Benoît XVI rappelle qu'ignorer les Écritures, c'est ignorer le Christ
Nous vous
proposons un commentaire de l'Évangile par saint Jean Chrysostome.
Vingt-septième dimanche
(les lectures)
LA VIGNE CONFIÉE AUX NOUVEAUX VIGNERONS (synthèse des lectures)
Dans les régions de vignoble, on connaît l'attachement du vigneron pour sa
vigne : il l'aime au moins autant que le cultivateur aime sa terre. La vigne
est un être vivant, dont on espère beaucoup, mais qui peut décevoir. Comme
le vigneron aime sa vigne, ainsi Dieu est attaché au peuple qu'il a choisi.
Cette image forte traverse tout l'Ancien Testament. « La vigne que tu as
prise à l'Égypte, tu la replantes en chassant les nations. Tu déblaies le
sol devant elle, tu l'enracines pour qu'elle emplisse le pays »
(psaume). Voici donc l'Exode
et l'installation en Canaan que l'on compare à la transplantation d'une
vigne. Dieu a mis tous ses soins pour qu'elle vive. «
Pouvais-je faire pour ma vigne plus que je n'ai fait ? »
(première lecture). Cette
vigne, c'est donc le peuple d'Israël à qui Dieu a donné une terre « en
chassant des nations ». Mais, dans le passé, les nations ont ravagé la
vigne par les invasions et les destructions de toute sorte. Chaque fois, les
prophètes ont expliqué ces ravages par l'infidélité du peuple à l'Alliance :
au lieu de donner de beaux fruits, il en a donné de mauvais.
Jésus reprend cette image connue de tous ses auditeurs. Il enseigne dans le
Temple de Jérusalem, après avoir fait son entrée solennelle dans la Ville
sainte. L'hostilité des prêtres et des pharisiens grandit dangereusement.
Alors il raconte la parabole des vignerons homicides, où lui-même se met en
scène comme fils du propriétaire de la vigne. Saisissante évocation de la
mise à mort prochaine du Fils de Dieu.
Mais le châtiment va suivre : on peut penser que les premiers chrétiens ont
interprété ainsi la prise de Jérusalem par les Romains en 70. Bien plus,
notre évangile se termine par l'annonce d'un bouleversement plus grave
encore : « Le Royaume de Dieu vous sera enlevé pour
être donné à un peuple - littéralement à une nation -
qui lui fera produire son fruit. » Au-delà
de la polémique par laquelle l'Église naissante marque son identité par
rapport au peuple d'Israël, retenons le vigoureux appel à la conversion que
Jésus lance dans cette parabole et qui vaut aussi pour chaque chrétien :
quels sont les fruits que chacun offre au Maître de la vigne ?
Commentaire sur l'Évangile selon Saint Matthieu
(Saint Jean Chrysostome)
Analyse
1 et 2. Jésus fait comprendre aux Juifs qu’elle est leur ingratitude et
combien ils seront punis par la parabole du propriétaire qui a planté une
vigne.
1. Jésus-Christ découvre beaucoup de choses par cette parabole. Il fait voir
aux Juifs avec quel soin la providence de Dieu a toujours veillé sur eux;
qu’elle n’a rien omis de tout ce qui pouvait contribuer à leur salut; qu’ils
ont toujours été portés à répandre le sang ; qu’après qu’ils ont tué
si cruellement les prophètes, Dieu, au lieu de les
rejeter avec horreur, leur avait envoyé son propre fils. Il leur
marque encore par cette figure qu’un même Dieu était l’auteur de l’Ancien et
du Nouveau Testament : que sa mort produirait des effets admirables dans le
monde; qu’ils devaient attendre une terrible punition de l’attentat par
lequel ils allaient le faire mourir sur une croix. Que les gentils seraient
appelés à la connaissance du vrai Dieu, et que les Juifs cesseraient d’être
son peuple. C’est pourquoi il ne leur marque toutes ces choses qu’après
qu’il leur a dit cette parabole, pour leur faire mieux comprendre que leur
crime était si énorme qu’il était indigne de tout pardon, puisque, malgré
tout ce que Dieu avait fait pour leur salut, les publicains et les femmes de
mauvaise vie s’élevaient beaucoup au-dessus d’eux dans le royaume de Dieu.
Mais considérez, mes frères, d’un côté la vigilance du maître de la vigne,
et de l’autre la paresse et la lâcheté des serviteurs. Il fait lui-même la
plus grande partie de ce que ces serviteurs devaient faire eux-mêmes. Il
plante sa vigne, il l’environne d’une haie, et fait tout le reste. Il ne
leur laisse à faire que fort peu de choses, c’est-à-dire à entretenir cette
vigne et à conserver en bon état ce qui leur avait été confié. Car nous
voyons par le rapport de I’Évangile que ce Maître si sage n’avait rien omis.
Tout était préparé avec un soin admirable; et cependant tant de soins et
tant de préparations ont été entièrement inutiles. Lorsque les Juifs furent
délivrés si divinement de l’Égypte, Dieu leur donna une loi, il leur (531)
bâtit une ville, il leur dressa un temple, il leur établit un autel, et il
s’en alla " dans un pays éloigné ", c’est-à-dire qu’il usa envers eux d’une
longue patience, parce que Dieu ne punit pas les pécheurs aussitôt qu’ils
sont tombés dans le crime. Ainsi ce long éloignement
marque sa douceur et sa longue patience : " Il leur envoya ses
serviteurs ", c’est-à-dire ses prophètes, " pour exiger d’eux le
fruit ", c’est-à-dire des témoignages de leur fidélité et de leur
obéissance par leurs oeuvres. Mais ils agissent comme les plus ingrats et
les plus méchants de tous les hommes.
Après tant de grâces et tant de faveurs, non seulement ils ne rendent point
de fruit, ce- qui néanmoins était une négligence et une paresse
insupportable, mais ils traitent même outrageusement ceux qui leur viennent
demander. N’ayant rien à donner à leur Maître qui exigeait d’eux si
justement le fruit de leur vigne, ils ne devaient pas au moins se fâcher
contre lui, ni s’emporter d’une si étrange colère contre tous ses
serviteurs. Ils devaient plutôt avoir recours aux prières et aux larmes pour
fléchir leur Maître. Cependant, non seulement ils se mettent en colère,
parce qu’on leur demande ce qu’ils devaient, mais ils trempent même leurs
mains cruelles dans le sang des innocents. Ils font souffrir aux autres les
peines qu’on leur devait faire souffrir à eux-mêmes: " Tous ces
serviteurs, qu’on leur envoie en divers temps " par deux ou trois
diverses fois, ne font qu’irriter leur malice; et ce
qui montrait un excès de douceur dans le Maître, fit voir un excès de dureté
" dans ses ouvriers". Vous me direz peut-être pourquoi
n’envoya-t-il pas d’abord son Fils propre ? C’était afin que ce qu’ils
avaient déjà osé faire leur ouvrît les yeux, qu’ils reconnussent leur crime,
et que ce désaveu des indignités commises contre les serviteurs, les
disposât à recevoir le Fils avec le respect qui lui était dû.
On pourrait encore donner d’autres raisons; mais je ne m’y arrête pas pour
me hâter d’expliquer la suite. Que veut dire cette parole " Ils auront du
respect au moins pour mon Fils " ? Il ne parle pas de la sorte comme
ignorant la manière dont ils devaient le recevoir, mais pour faire mieux
voir l’excès d’un crime qui était indigne de tout pardon. Car il savait trop
assurément que s’il l’envoyait parmi eux, ces méchants le tueraient. Il dit
donc : " Ils auront du respect au moins pour mon Fils " pour marquer
ce qu’ils devaient faire; parce qu’il est visible qu’il leur convenait
d’avoir ce sentiment de respect. C’est ainsi qu’il parle au prophète
Ezéchiel : " Parlez-leur pour voir s’ils vous écouteront
(Ezech. II.)
" ; non qu’il ignorât qu’ils ne l’écouteraient jamais, mais pour empêcher
quelques impies de dire que c’était cette prédiction inévitable de Dieu qui
forçait ce peuple à demeurer dans son opiniâtreté. C’est la raison pour
laquelle Dieu parle ici de la même manière, et comme s’il doutait : "
Ils auront peut-être du respect pour mon Fils ". Car s’ils
s’étaient conduits si criminellement envers les serviteurs, leur respect
pour le Fils aurait au moins dû les retenir.
Que font-ils donc lorsqu’ils l’aperçoivent ? Au lieu de courir à lui, de se
prosterner devant lui pour lui demander pardon de leurs excès, ils en
commettent encore de plus horribles. C’est ce que Jésus-Christ leur disait
par ces paroles : " Emplissez la mesure de vos pères ".
(Matth. XXIII, 32.)
Et les prophètes leur faisaient aussi ce reproche " Vos mains sont
pleines de sang. Ils mettent le sang avec le sang ".
(Isaïe, I, XV.)
Et ailleurs : " Ils baptisent Sion en versant le sang ".
(Osée. IV, 2.)
Ce commandement si formel de Dieu, " vous ne tuerez point
(Mich. III, 1)
", ne les retient pas. Tant d’autres observances que la loi leur commandait
pour les empêcher de tomber dans l’homicide ne les touchent point. Et ils se
confirment dans leur cruauté par une accoutumance détestable. Que disent-ils
donc, " lorsqu’ils aperçoivent ce Fils ? Allons, tuons-le " ,
disent-ils. Pourquoi! Qu’ont-ils à lui reprocher ! Quel mal leur a-t-il fait
en la moindre chose? Est-ce parce qu’il les a si particulièrement honorés,
et qu’étant Dieu il s’est fait homme pour eux ? Est-ce parce qu’il a fait
une infinité de merveilles, qu’il leur a pardonné leurs péchés, et qu’il les
invite à son royaume ?
2. Mais voyez de quelle folie ils accompagnent leur impiété, et combien la
raison qu’ils allèguent pour le tuer est déraisonnable : " Tuons-le ",
disent-ils, " afin que l’héritage soit à nous ". Et où le veulent-ils
tuer ? Hors de la vigne. Ainsi vous voyez que Jésus-Christ marque jusqu’au
lieu même où on le devait faire mourir : "Ils le jetèrent hors de la
vigne et le tuèrent".
(Luc. XX, 14.)
Saint Luc marque que c’est Jésus-Christ qui déclara lui-même le supplice
qu’on tirerait de ces vignerons, et qu’ils lui répondirent: "Non, que
cela n’arrive pas". Et que Jésus-Christ autorisa ce qu’il leur disait
par l’oracle d’un prophète : car, les ayant regardés, il leur dit : "
Pourquoi est-il donc écrit: la pierre qui a été rejetée par ceux qui
bâtissaient, est devenue la principale pierre de l’angle ? Celui qui se
laissera tomber sur cette pierre, se brisera, et elle écrasera celui sur
lequel elle tombera ".
( Ps CXXVII, 21.)
Saint Matthieu marque que ce furent les Juifs eux-mêmes qui prononcèrent
leur arrêt. Et l’on ne doit pas dire qu’il y ait ici aucune contradiction,
il est probable que l’une et l’autre version sont vraies. Lorsque les Juifs
se furent aperçus, après avoir rendu eux-mêmes cette sentence, que cette
parabole les regardait, ils voulurent se rétracter, et Jésus-Christ leur fit
voir par le Prophète que cela serait de la sorte. Mais comme la vocation des
gentils pouvait leur donner un prétexte de le calomnier, il ne la leur
énonce pas clairement. Il use à dessein de termes couverts et obscurs, en
disant "qu’il donnerait cette vigne à d’autres".
Il avait affecté de se servir d’une parabole, afin qu’ils se condamnassent
eux-mêmes. C’est ainsi que Dieu traita autrefois David, lorsqu’il lui fit
prononcer son arrêt par lui-même dans la parabole de Nathan. Il ne faut
point d’autre preuve de la justice de ce châtiment, que de voir les
coupables s’y condamner les premiers.
Et pour montrer en même temps que ce ne serait pas seulement la justice qui
attirerait sur les gentils une faveur qu’ils méritaient si peu, et que le
Saint-Esprit avait prédit cette grâce longtemps auparavant, Jésus-Christ
rapporte cette prophétie : " N’avez-vous jamais lu cette parole dans les
Écritures: la pierre qui a été rejetée par ceux qui bâtissaient, est devenue
la principale pierre de l’angle; c’est le Seigneur qui l’a fait, et nos yeux
le voient avec admiration " ? Jésus-Christ montre de plusieurs manières
qu’il rejetterait les Juifs à cause de leur incrédulité, et qu’il
appellerait les gentils à la foi de l’Évangile. C’est ce qu’il avait déjà
fait voir par la femme cananéenne; par cet ânon sur lequel personne n’avait
encore monté, par le centenier, et par beaucoup d’autres paraboles qui
prouvent la même chose que celle-ci. Il ajoute pour ce sujet : "
C’est le Seigneur qui l’a fait, et nos yeux le voient
avec admiration "; marquant ainsi que les gentils qui croiraient,
et que ceux d’entre les Juifs qui seraient fidèles, ne seraient qu’une même
chose, quoique auparavant il y eût entre eux une si prodigieuse différence.
Et, pour leur apprendre qu’il n’y aurait rien dans ce changement si étrange
qui fût opposé à Dieu, qui ne lui fût au contraire très agréable, qui ne fût
miraculeux et digne d’étonnement, il ajoute : " C’est le Seigneur qui l’a
fait ". Il se donne à lui-même le nom " de pierre "; et il
appelle les Juifs architectes.
C’est ce qu’Ezéchiel exprime lorsqu’il dit: "Ils bâtissent une muraille
et la crépissent sans art".
(Ezéch. XIII, 1.)
Comment ont-ils " rejeté " Jésus-Christ,
sinon en disant : " Cet homme n’est pas de Dieu, cet homme séduit le
peuple " -? Et ailleurs : " Vous êtes un samaritain et vous êtes
possédé du démon "? (Jean, VII, 8, 9.)
Il leur fait voir ensuite que la punition que Dieu leur infligerait, ne se
terminerait pas seulement à être rejetés de lui; il marque les autres peines
qu’ils doivent attendre. "C’est pourquoi je vous déclare que le royaume
de Dieu vous sera ôté, et qu’il sera donné à un peuple qui en produira les
fruits. Celui qui se laissera tomber sur cette pierre s’y brisera, et elle
écrasera celui sur qui elle tombera". Il marque ici une double ruine des
Juifs. La première, qui aurait lieu en ce qu’ils seraient scandalisés de
Jésus-Christ, ce qui est marqué par ce mot: " Celui qui se laissera
tomber sur cette pierre " l’autre en ce qu’ils seraient captifs;
celle-ci est exprimée par ce mot : " Elle écrasera celui sur qui elle
tombera ", ce qui marque la captivité et la misère horrible dans
laquelle ils devaient vivre jusqu’à la fin du monde. On peut aussi remarquer
en passant que ces paroles : " Elle écrasera celui sur qui elle tombera ",
marquent sa résurrection. Nous voyons dans le prophète Isaïe que Dieu fait
un reproche à sa vigne, au lieu que Jésus adresse ici ces reproches au
prince du peuple. Il dit là: " Que devais-je faire à ma vigne que je n’aie
point fait " ?
(Isaïe, V, 2)
Et il lui dit par un autre prophète : " Que vous ai-je fait, et que vos
pères ont-ils trouvé de mal en moi " ? (Jérém. II,
5.)
Et ailleurs: " Mon peuple, que vous ai-je fait, et en quoi vous ai-je
offensé " ?
(Mich. VI, 3.)
Marquant par tous ces endroits leur ingratitude
étrange qui leur avait toujours fait rendre le muai pour le bien et les plus
grands outrages pour les faveurs dont Dieu les comblait.
Mais Jésus-Christ parlé ici avec beaucoup plus de force. Car ce n’est plus
lui qui dit " Que devais-je faire que, je n’aie
point fait "? Mais il les contraint de prononcer cette sentence
contre eux-mêmes, et d’annoncer que ce Maître n’avait rien omis de tout ce
qu’il devait faire à ces ouvriers ingrats. Car lorsqu’ils disent : " Il
perdra ces méchants comme ils le méritent, et louera sa vigne à d’autres
vignerons ", ils se condamnent de leur propre bouche. C’est le reproche
que leur fit le bienheureux martyr Etienne, et qui les frappa si vivement,
lorsqu’il les accusait d’avoir toujours été ingrats envers Dieu, et de
n’avoir payé que de contradictions et de murmures toutes les grâces qu’il
leur avait faites. Tous ces témoignages, prouvaient clairement que c’étaient
ceux mêmes qui étaient punis qui s’attiraient ces supplices, et qu’il n’en
fallait point rejeter la cause sur Dieu qui les punissait. C’est ce que
Jésus-Christ promet par cette parabole et par une double prophétie; l’une de
David et l’autre de lui-même. Que devaient donc faire les Juifs, eu écoutant
toutes ces choses ? Ne devaient-ils pas. se jeter aux pieds de Jésus-Christ
pour l’adorer ? Ne devaient-ils pas admirer les soins qu’il avait toujours
témoigné, et qu’il témoignait encore pour eux ? Et si cela n’était pas assez
fort pour les toucher, la crainte de tant de punitions ne devait-elle pas
les retenir ? Cependant rien ne leur sert.
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Sources : (E.S.M.)
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M. sur Google actualité)
05.10.2008 -
T/Benoît XVI
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