Le pape Benoît XVI propose la Bienheureuse Teresa
comme modèle |
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Rome, le 04 septembre 2007 -
(E.S.M.) - Il y a trois jours, s’adressant à
trois cents mille jeunes réunis à Lorette, Benoît XVI a rappelé
que même une sainte comme Mère Teresa de Calcutta, malgré "toute sa
charité et sa force de foi... souffrait du silence de Dieu".
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La
Béatification de Mère Teresa -
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Le pape Benoît XVI propose Mère Teresa comme modèle
Un secret à redécouvrir: la sainteté de Mère Teresa
Un livre révèle au grand public ce que le procès en béatification avait déjà
mis en évidence: sa solitude intérieure, son sentiment
d’être abandonnée par Dieu. C’est pour cela qu’elle a encore plus été
une pauvre parmi les pauvres, à tous points de vue. Le commentaire du
prédicateur de la Maison pontificale, le père Raniero Cantalamessa.
par Sandro Magister
Il y a trois jours, s’adressant à trois cents mille jeunes réunis à
Lorette, Benoît XVI a rappelé que même une sainte comme Mère Teresa de
Calcutta, malgré "toute sa charité et sa force de foi... souffrait du
silence de Dieu".
Le pape a ajouté: "Un livre a
été publié sur les expériences spirituelles de Mère Teresa, où ce que nous
savions déjà apparaît de manière plus explicite".
Le livre cité par le pape
s’intitule "Mother Teresa: Come Be My Light [Mère Teresa: viens, sois
ma lumière]". Il est en vente depuis le 4 septembre dans son édition
anglaise, éditée et préfacée par le père Brian Kolodiejchuk, des
Missionnaires de la Charité, postulateur du procès de canonisation de Mère
Teresa.
L’ouvrage rassemble certaines lettres que la religieuse, morte il y a dix
ans et aujourd’hui bienheureuse, a écrites à différents moments à ses
directeurs spirituels. Elles témoignent de cette longue phase de sa vie au
cours de laquelle elle a vécu la "nuit de la foi".
La simple annonce de ce livre, avant même qu’il soit sorti, a déchaîné un
tourbillon de discussions dans différents pays du monde. Comme s’il
contenait des révélations sans précédents, susceptibles de briser l’image de
la bienheureuse.
Et pourtant, il n’y a rien de nouveau, comme l’a fait remarquer Benoît XVI.
Les lettres publiées aujourd’hui et d’autres écrits du même ordre étaient
déjà présents dans les huit volumes du procès de béatification de Mère
Teresa. Le jour de sa béatification, le 19 octobre 2003, il était
textuellement écrit dans la biographie officielle diffusée par le Vatican:
"Il y avait un côté héroïque de cette grande femme qui fut révélé seulement
après sa mort. Cachée aux yeux de tous, cachée même à ses plus proches, sa
vie intérieure fut marquée par l’expérience d’un sentiment profond,
douloureux et constant d’être séparée de Dieu, même rejetée par lui,
accompagné d’un désir toujours croissant de son amour. Elle appela son
expérience intérieure, 'l’obscurité'. La nuit douloureuse de son âme qui
débuta à peu près au moment où elle commençait son travail pour les pauvres
et qui continua jusqu’à la fin de sa vie, conduisit Mère Teresa à une union
toujours plus profonde avec Dieu. A travers cette obscurité, elle participa
mystiquement à la soif de Jésus dans son désir d’amour douloureux et ardent,
et elle partagea la désolation intérieure des pauvres".
De cette obscurité intérieure qui a duré un demi-siècle – alors que le monde
entier admirait sa joie chrétienne rayonnante – Mère Teresa n’a informé que
ses directeurs spirituels. Elle leur a ordonné de détruire ensuite ses
lettres, ce qu’ils n’ont pas fait.
L’obscurité de la foi a marqué la vie de nombreux autres saints, même des
plus grands. Mais il y a toujours quelque chose de particulier en chacun.
Chez Mère Teresa aussi.
Dans le commentaire qui suit, un auteur d’exception essaie de traiter la
particularité de Mère Teresa, par rapport justement aux doutes qu’elle
éprouvait dans sa foi. Il s’agit du père Raniero Cantalamessa, franciscain,
historien des origines du christianisme et prédicateur officiel de la
Maison pontificale.
Ce commentaire est paru le dimanche 26 août dans "Avvenire", au
moment des discussions qui ont suivi l’annonce du livre.
Dans le commentaire, le père Cantalamessa soutient une thèse hardie: il fait
de Mère Teresa la compagne idéale de voyage et de repas pour les nombreux
"athées de bonne foi" qui peuplent le monde actuel. Ceux que Jésus aime le
plus, lui qui a expérimenté plus que tous l’abandon de Dieu.
Mère Teresa, "la nuit" acceptée comme un
don
par Raniero Cantalamessa
Que s’est-il passé après que Mère Teresa a répondu oui à l’inspiration
divine qui l’appelait à tout abandonner pour se mettre au service des plus
pauvres d’entre les pauvres ?
Le monde a été bien informé de ce qui s’est passé autour d’elle: l’arrivée
des premières compagnes, l’approbation ecclésiastique, le développement
vertigineux de ses activités caritatives. Mais, jusqu’à sa mort, personne
n’a su ce qui s’est passé en elle.
On le sait maintenant par les journaux intimes et les lettres adressées à
son directeur spirituel et publiées aujourd’hui par le postulateur de son
procès de canonisation. Je ne crois pas que les éditeurs, avant de se
décider à les publier, aient eu à surmonter la crainte que ces écrits
puissent troubler ou même scandaliser les lecteurs. Loin de diminuer la
stature de Mère Teresa, ils la grandissent au contraire considérablement, la
plaçant aux côtés des plus grands mystiques du christianisme.
Un de ses proches, le jésuite Joseph Neuner, a écrit: "Dès le début de sa
nouvelle vie au service des pauvres, une obscurité oppressante s’est emparée
d’elle". Quelques courts extraits suffisent pour donner une idée de la
densité des ténèbres où elle s’est trouvée. "Il y a tellement de
contradiction dans mon âme, un désir ardent de Dieu, profond au point de
faire mal, une souffrance permanente – et en même temps le sentiment de ne
pas être voulue par Dieu, d’être repoussée, vide, sans foi, sans amour, sans
zèle… Le ciel ne signifie rien pour moi, il m’apparaît comme un lieu vide".
On reconnaît immédiatement dans cette expérience de Mère Teresa un cas
classique de ce que les spécialistes de la mystique, après saint Jean de la
Croix, ont pris l’habitude de nommer la nuit obscure de l’esprit.
Jean Tauler a décrit cet état de façon impressionnante: "Alors, nous sommes
abandonnés, si bien que nous n’avons plus aucune connaissance de Dieu. Nous
sommes saisis par une telle angoisse que nous ne savons plus si nous avons
jamais été sur la bonne voie, si Dieu existe ou non, si nous-mêmes sommes
vivants ou morts. Nous sommes alors pris par une douleur tellement étrange
que le monde entier nous semble oppressant dans son extension. Nous n’avons
plus ni expérience ni connaissance de Dieu. Tout le reste nous semble aussi
répugnant, de telle sorte que l’on a l’impression d’être prisonnier entre
deux murs".
Tout laisse à penser que cette obscurité a accompagné Mère Teresa jusqu’à sa
mort, avec une courte parenthèse en 1958, quand elle a pu écrire, jubilante:
"Aujourd’hui, mon âme est pleine d’amour, de joie indicible et d’une union
d’amour interrompue". Si elle n’en parle presque plus du tout à partir d’un
certain moment, ce n’est pas parce que la nuit est finie, mais parce que
Mère Teresa s’est désormais adaptée à vivre en elle. Non seulement elle l’a
acceptée, mais elle reconnaît la grâce extraordinaire qu’elle renferme pour
elle. "J’ai commencé à aimer mon obscurité, parce que je crois maintenant
qu’elle constitue une partie, une toute petite partie, de l’obscurité et de
la souffrance que Jésus a vécues sur terre".
Le silence de Mère Teresa
La fleur la plus parfumée de la nuit de Mère Teresa est le silence qu’elle a
gardé à ce sujet. Elle craignait, si elle en parlait, d’attirer l’attention
sur elle. Jusqu’au bout, même les personnes les plus proches n’ont jamais
rien deviné de ce tourment intérieur. Elle avait donné l’ordre à son
directeur spirituel de détruire toutes ses lettres. Si certaines d’entre
elles ont été sauvées, c’est parce que – avec la permission de Mère Teresa –
il en avait fait pour l’archevêque et futur cardinal Trevor Lawrence Picachy
une copie, retrouvée dans ses papiers après sa mort. L’archevêque,
heureusement pour nous, s’était refusé à les détruire, comme le lui avait
aussi demandé Mère Teresa.
Pour l’âme, le danger le plus insidieux de la nuit obscure de l’esprit est
de se rendre compte qu’il s’agit justement de la nuit obscure, de ce que les
grands mystiques ont vécu avant elle et ainsi de faire partie d’un cercle
d’âmes élues. Par la grâce de Dieu, Mère Teresa a évité ce risque, en
cachant à tous son tourment sous un sourire permanent. "Toujours en train de
sourire, disent mes sœurs et les gens. Ils pensent qu’au fond de moi je suis
remplie de foi, de confiance et d’amour… Si seulement ils savaient à quel
point ma joie n’est qu’un manteau sous lequel je cache le vide et la misère!
". Un dicton des Pères du désert rappelle: "Aussi grandes soient tes peines,
ta victoire sur elles réside dans le silence". Mère Teresa l’a mis en
pratique de manière héroïque.
Pas seulement une purification
Pourquoi donc ce phénomène étrange d’une nuit de l’esprit qui dure
pratiquement toute la vie ? Il y a là quelque chose de nouveau par rapport à
ce qu’ont vécu et expliqué les maîtres du passé, y compris saint Jean de la
Croix. Cette nuit obscure ne s’explique pas seulement par l’idée
traditionnelle de la purification passive, que l’on appelle communément voie
purgative, qui prépare à la voie illuminative et à la voie unitive. Mère
Teresa était convaincue qu’il s’agissait justement de cela dans son cas.
Elle pensait qu’il lui était particulièrement difficile de vaincre son
"moi", puisque Dieu était contraint de la maintenir si longtemps dans cet
état.
Ce n’était sûrement pas cela. La nuit interminable que vivent certains
saints modernes est le moyen de protection inventé par Dieu pour les saints
d’aujourd’hui qui vivent et travaillent en permanence sous l’œil des médias.
Comme la tenue d’amiante protège celui qui doit traverser les flammes. Comme
la matière isolante empêche le courant électrique de se disperser en
provocant des courts-circuits.
Saint Paul disait: "Pour que l’excellence même de ces révélations ne
m’enorgueillisse pas, il m’a été mis une écharde dans la chair"
(2 Corinthiens, 12,7). Pour Mère
Teresa, l’épine dans la chair que constituait le silence de Dieu s’est
révélée très efficace. Il l’a préservée de toute ivresse, au milieu de tout
le bien que l’on disait d’elle, même lors de la remise du prix Nobel de la
paix. "La douleur intérieure que je ressens – disait-elle – est tellement
grande que je n’éprouve rien face à toute la publicité et à tout ce que
disent les gens". Dans son essai venimeux intitulé "Dieu n’est pas grand. La
religion empoisonne toute chose", Christopher Hitchens est bien loin de la
vérité lorsqu’il fait de Mère Teresa un produit de l’ère médiatique!
Il y a une raison plus profonde encore qui explique ces nuits qui s’étendent
tout au long d’une vie: l’imitation du Christ, la participation à la nuit
obscure de l’esprit qui a enveloppé Jésus au Gethsémani puis sur le Calvaire
lorsqu’il a crié avant de mourir: "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu
abandonné ?". Mère Teresa est parvenue à percevoir de manière toujours plus
claire son épreuve comme une réponse au désir de partager le cri "J’ai soif"
de Jésus sur la Croix. "Si la peine et la souffrance, mon obscurité et ma
séparation d’avec toi donnent une goutte de consolation, mon Jésus, fais de
moi ce que tu veux… Imprime dans mon âme et dans ma vie la souffrance de ton
cœur… Je veux étancher ta soif avec chaque goutte de sang que tu peux
trouver en moi. Ne cherche pas à revenir rapidement: je suis prête à
t’attendre pour toute l’éternité".
Penser que la vie de ces personnes n’est qu’une obscure souffrance serait
une grave erreur. Au plus profond de leur âme, ces personnes jouissent d’une
paix et d’une joie inconnues du reste des hommes. Elles sont le fruit de la
certitude, plus forte chez ces personnes que le doute, d’être dans la
volonté de Dieu. Sainte Catherine de Gênes compare la souffrance des âmes
qui sont dans cet état à celle du Purgatoire. Elle affirme qu’elle "est si
grande que l’on ne peut la comparer qu’à celle de l’Enfer", mais qu’il y a
en elle une "très grande joie " que l’on ne peut comparer qu’à celle des
saints au Paradis. La joie et la sérénité qui émanaient du visage de Mère
Teresa n’étaient pas un masque, mais le reflet de l’union profonde avec Dieu
dans laquelle vivait son âme. C’était elle qui "se trompait" sur son compte
et non les autres.
Aux côtés des athées
Le monde d’aujourd’hui connaît une nouvelle catégorie de personnes: les
athées de bonne foi, ceux qui vivent dans la douleur le silence de Dieu, qui
ne croient pas en Dieu mais qui n’en font pas un sujet de fierté. Ils
expérimentent plutôt l’angoisse existentielle et le manque de sens du tout.
Eux aussi vivent, à leur manière, dans une nuit obscure de l’esprit. Dans
son roman "La Peste", Albert Camus les appelait "les saints sans Dieu". Les
mystiques existent surtout pour eux. Ils sont leurs compagnons de voyage et
de repas. Comme Jésus, ils "ont fait bon accueil aux pécheurs et ont mangé
avec eux" (cf. Luc 15,2).
Cela explique la passion avec laquelle certains athées, une fois convertis,
se sont jetés sur les écrits des mystiques. Claudel, Bernanos, les deux
Maritain, Léon Bloy, l’écrivain Joris-Karl Huysmans et beaucoup d’autres sur
les écrits d’Angela da Foligno. Thomas Stearns Eliot sur ceux de Julienne de
Norwich. Ils y retrouvaient le même paysage qu’ils avaient quitté, mais
cette fois éclairé par le soleil. Peu de personnes savent que l’auteur d’"En
attendant Godot", Samuel Beckett, lisait saint Jean de la Croix à ses heures
perdues.
Le mot "athée" peut avoir un sens actif et un sens passif. Il peut indiquer
quelqu’un qui refuse Dieu, mais aussi quelqu’un qui – c’est en tout cas ce
dont il a l’impression – est refusé par Dieu. Dans le premier cas, il s’agit
d’un athéisme de faute (quand il n’est pas de bonne foi); dans le second
cas, il s’agit d’un athéisme de souffrance ou d’expiation. On peut déduire
de ce dernier sens que les mystiques, dans la nuit de l’esprit, sont des
athées, des sans-Dieu et que Jésus aussi, sur la croix, était un athée, un
sans-Dieu.
Mère Teresa a tenu ces propos que personne n’aurait imaginé de sa part: "Ils
disent que la souffrance éternelle que les âmes connaissent en Enfer est la
perte de Dieu… Dans mon âme, je vis justement cette terrible souffrance
d’être damnée, d’être refusée par Dieu, de Dieu qui n’est pas Dieu, de Dieu
qui, en réalité, n’existe pas. Jésus, je t’en prie, pardonne mon blasphème".
Mais elle se rend compte que son athéisme est différent, fait de solidarité
et d’expiation: "Dans ce monde si loin de Dieu et qui a tourné le dos à la
lumière de Jésus, je veux vivre pour aider les gens, en prenant sur moi une
partie de leur souffrance". Preuve incontestable que son athéisme est d’une
toute autre nature, la souffrance indicible qu’il provoque chez les
mystiques. Les athées courants ne se tourmentent pas de cette façon à cause
de leur athéisme.
Les mystiques sont arrivés tout près du monde où vivent les sans-Dieu. Ils
ont connu le vertige de se jeter en bas. Mère Teresa écrivait encore à son
père spirituel: "J’ai été sur le point de dire Non… J’ai l’impression qu’un
jour ou l’autre quelque chose va se briser en moi". "Prie pour moi, pour que
je ne refuse pas Dieu en cette heure. Je ne le veux pas mais je crains d’en
être capable".
Pour cette raison, les mystiques sont les évangélisateurs idéaux dans le
monde post-moderne, où l’on vit "etsi Deus non daretur", comme si
Dieu n’existait pas. Ils rappellent aux athées honnêtes qu’ils ne sont pas
"loin du royaume de Dieu". Qu’il leur suffirait de faire un saut pour se
retrouver sur la rive des mystiques, et passer du rien au tout.
Karl Rahner avait raison de dire: "Le christianisme du futur sera mystique
ou ne sera pas". Padre Pio et Mère Teresa sont la réponse à ce signe des
temps. Nous ne devons pas gâcher les saints, en les réduisant à des
distributeurs de grâces ou à des bons exemples.
Traduction française par Charles de
Pechpeyrou, Paris, France.
Le quotidien de la conférence des évêques d’Italie,
dans lequel est paru le commentaire du père Cantalamessa : ►
"Avvenire"
Les actes de la béatification de Mère Teresa, en
plusieurs langues, et sa biographie officielle, sur le site du Vatican : ►
Bienheureuse Teresa de Calcutta, 19 octobre 2003
Archives :
Dans son encyclique
Dieu est amour, par deux
fois, le pape Benoît XVI parle de Mère Teresa de Calcutta. Ça ne peut être
par simple coïncidence. Il se peut que dans la pensée du pape Mère Teresa de
Calcutta soit la sainte qui incarne le plus la présence chrétienne dans le
monde actuel.
Aux jeunes, dans son Message pour la XXII Journée
Mondiale de la Jeunesse le pape Benoît XVI a écrit vouloir simplement citer
Mère
Teresa, qui, parce
qu’elle s’est empressée de répondre au cri du Christ « J’ai soif »,
cri qui l’avait profondément touchée, a commencé à accueillir les mourants
dans les rues de Calcutta, en Inde. L'unique désir de sa vie est alors
devenu d’étancher la soif d'amour de Jésus, non par des mots, mais par des
actes concrets, en reconnaissant son visage défiguré, assoiffé d’amour, dans
le visage des plus pauvres parmi les pauvres. La Bienheureuse Teresa,
a mis en pratique l’enseignement du Seigneur : « Chaque fois que vous l’avez
fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez
fait » (Mt 25, 40).
Et le message de cet humble témoin de l’amour divin s’est répandu dans le
monde entier.
Béatification de Mère Teresa de Calcutta - Vatican
: Biographie de Mère Teresa de Calcutta :
Ici
-
Homélie du Pape Jean-Paul II :
Ici
- Discours de Jean-Paul II aux
pèlerins venus à Rome pour la béatification (20 octobre 2003)
:
Ici
Source:
La chiesa.it
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie, sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 04.09.2007 - BENOÎT XVI -
Église |