Naissance de la plate-forme “Droit de
vivre“ en Espagne |
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Cité du Vatican, le 26 septembre 2008 -
(E.S.M.)
- A Madrid, HazteOir a présenté la plate-forme “Droit de vivre”,
qui luttera pour empêcher l’approbation de la loi annoncée par le
gouvernement sur l’avortement .
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Naissance de la plate-forme “Droit de vivre“ en Espagne
Le 26 septembre 2008 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
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Naissance de la plate-forme “Droit de vivre“, contre la loi
sur l’avortement libre proposée par le gouvernement: “une bataille pour
sauver des êtres humains et pour la survie de notre société“
Mardi 23 septembre, à Madrid, HazteOir a présenté la plate-forme “Droit
de vivre”, qui luttera pour empêcher l’approbation de la loi annoncée
par le gouvernement sur l’avortement . Un comité d’experts a par ailleurs
été présenté, une alternative au comité Aído créé par le Ministre de
l’Égalité pour justifier, comme les méthodes de la propagande, la promotion
de l’avortement par une nouvelle loi. Le comité est formé de 16 juristes,
gynécologues, professeurs d’universités de biomédecine et psychologues, qui
présenteront une série de rapports au gouvernement et aux groupes
parlementaires pour faire connaître aux législateurs et à la société, avec
rigueur, la réalité de l’avortement et de ses implications.
L’initiative, selon le porte-parole de la plate-forme, le docteur Gádor Joya,
représente une réponse au refus du gouvernement d’inclure dans le comité
d’experts du ministère des représentants anti-avortement.
Le manifeste publié par cette nouvelle association affirme que “la loi
espagnole abandonne la femme à ses problèmes et la pousse à l’avortement.
Toute loi sur l’avortement est une hypocrisie terrible contre les femmes,
ainsi qu’une injustice atroce envers les enfants auxquels elle n’offre pas
de protection“. Il dénonce aussi le fait qu’en “Espagne, les femmes
enceintes et dans des situations difficiles ne bénéficient d’aucune
information ni de soutien social, mais il existe un financement pour
qu’elles puissent avorter“.
Ignacio Arsuaga, président de HazteOir, a envoyé, à ce sujet, une lettre à
tous les citoyens dans laquelle il les invite à s’unir à cette initiative en
faveur du droit à la vie et contre l’avortement. Dans la lettre, il affirme
que pour atteindre cet objectif, c’est-à-dire arrêter la loi sur
l’avortement libre en Espagne, “nous informerons, nous sensibiliserons et
nous mobiliserons une bonne partie de la société espagnole. Et nous agirons,
de préférence, sur trois domaines : Internet, la route et les idées“.
“Il s’agit d’une bataille pour sauver des êtres humains - continue la
lettre -, des enfants dont la survie dépend de l’intelligence, du temps et
de l’effort que nous sommes capables d’engager pour cette mission. Il s’agit
aussi d’une bataille pour sauver les femmes auxquelles la société présente
l’avortement comme unique voie de sortie. Des femmes qui, si nous ne faisons
rien pour y remédier, souffriront du terrible syndrome post-avortement.
Luttons aussi pour la survie de notre société. Parce qu’une communauté qui
permet - ou même promeut - l’assassinat de ses membres les plus faibles est
une communauté exposée à l’extinction“.
Pour pouvoir atteindre cet objectif, le Président de Hazteoir adresse un
appel à s’unir à cette campagne, rappelant que la participation de chacun, “unie
à celle de dizaines de milliers, de centaines de milliers de citoyens
conscients et engagés pour l’être humain, se transformera en un moyen de
communication“ capable de gagner. “Nous comptons donc sur votre soutien
pour faire le premier pas pour le rétablissement du droit de vivre en
Espagne“, conclut la lettre.
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Sources : www.vatican.va
(RG)
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E.S.M.
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Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 26.09.2008 -
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