Ci-dessus moteur de recherche


ACCUEIL

BENOÎT XVI

CHRIST MISERICORDIEUX

L'EVANGILE DU JOUR

LA FAMILLE

TEXTES DU VATICAN

JEAN PAUL II

FARNESE LOUIS-CHARLES

ACTUALITE DE L'EGLISE

CATECHESES

LITURGIE

LES JEUNES

FIDELES LAICS

JOUR DU SEIGNEUR

SERVANTS DE MESSE

SPIRITUALITE

THEOLOGIE

VOCATIONS

VOYAGE APOSTOLIQUE

GALERIE PHOTOS

TV VATICAN

MEDITATIONS

QUI SOMMES NOUS

NOUS CONTACTER
 
BIBLIOTHEQUE
.
STATISTIQUES
 
Ouverture du site
19 Avril 2005
 

Dieu accomplit des miracles par la prière des saints

Le 26 juin 2022 - (E.S.M.) - Nous publions ce texte  pour vous encourager à prier la neuvaine du serviteur de Dieu LOUIS-CHARLES Farnèse dont vous trouverez la neuvaine à la rubrique suivante : - Prière pour obtenir une faveur par l'intercession du Serviteur de Dieu : Farnèse LOUIS-CHARLES

Jésus j'ai confiance en Toi   - Pour agrandir l'image ► Cliquer

 

Le 26 juin 2022 - E. S. M. - Le miracle est un signe de la communion des saints

« Pierre trouva un certain Énéas alité, paralysé. Il lui dit : « Énéas, Jésus Christ te guérit, lève-toi et fais ton lit toi-même. » Et aussitôt il se leva. ( Actes des Apôtres 9,31-42).

Plusieurs fois dans les petits « résumés » du livre des Actes des Apôtres, il est dit que « de nombreux signes et prodiges se réalisaient par les mains des apôtres » (Actes 2,43). Aujourd’hui, la méditation nous permet d’accueillir un miracle accompli par Pierre : la guérison d’Énéas. Ainsi se poursuit la démonstration que les apôtres imitent le Christ en tout : dans leur enseignement, dans leurs miracles, dans leurs persécutions et dans leur martyre, ils continuent l’œuvre de Jésus : « Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. » (Jean 20,21).

Les miracles sont des signes de la puissance de Dieu. Ils nous sont donnés comme réponse et fortification de notre foi. Ils ne changent pas notre condition humaine, mais ils manifestent la présence, déjà sur cette terre, de la vie éternelle. Le catéchisme de l’Eglise catholique explique : 434 "La Résurrection de Jésus glorifie le nom du Dieu Sauveur (cf. Jn 12, 28) car désormais, c’est le nom de Jésus qui manifeste en plénitude la puissance suprême du " nom au-dessus de tout nom " (Ph 2, 9-10). Les esprits mauvais craignent son nom (cf. Ac 16, 16-18 ; 19, 13-16) et c’est en son nom que les disciples de Jésus font des miracles (cf. Mc 16, 17), car tout ce qu’ils demandent au Père en son nom, celui-ci le leur accorde (Jn 15, 16).

Parce que le miracle est lu comme la réponse d'un baptisé glorifié à la demande d'un baptisé accablé, il crée un lien entre l'Église du ciel et l'Église de la terre, l'Église triomphante et l'Église militante, selon les termes traditionnels. C'est l'une des manières dont on peut comprendre la communion des saints, mentionnée dans le Symbole des apôtres. Or les saints, on l'a déjà vu, n'ont pas tous une auréole sur la tête ! Dans la mesure où la sainteté est la vocation de tout chrétien, les fidèles qui se confient à l'intercession d'un futur bienheureux peuvent et doivent reconnaître en lui un modèle, c'est-à-dire un encouragement concret à avancer sur la voie d'une vie toujours plus évangélique. D'ailleurs, la demande d'intercession n'est pas faite au hasard : elle manifeste le plus souvent une forme d'affinité spirituelle. La personne que l'on prie n'est donc pas un demi-dieu, mais un frère ou une sœur aînée ayant parcouru le chemin que l'Église indique à tous ses enfants.

Dans son caractère réaliste et concret, voire provocant, le miracle est donc comme un sceau qui authentifie le caractère dynamique et vivifiant de la sainteté vécue dans une vie humaine. Il rejoint ainsi ce qu'exprime la liturgie. « Car tu es glorifié dans l'assemblée des saints : lorsque tu couronnes leurs mérites, tu couronnes tes propres dons. Dans leur vie, tu nous procures un modèle, dans la communion avec eux, une famille et dans leur intercession, un appui ; afin que, soutenus par cette foule immense de témoins, nous courions jusqu'au bout l'épreuve qui nous est proposée et recevions avec eux l'impérissable couronne de gloire, par le Christ notre Seigneur. » (1er préface des saints).

Dans la vie, nous connaissons tous des moments d’épreuve, quand la “mer” sur laquelle nous naviguons devient tempête, avec les vagues qui nous submergent, alors que nous, étant sur la barque avec Jésus, nous sommes tentés de « crier » comme les Apôtres pour « le réveiller » : « Maître, Maître, nous périssons ! » (Luc, 8, 24), « Maître, tu ne te soucies pas que nous périssons » (Marc 4, 38). Jésus, effectivement, à ce cri de supplique, se lève et impose aux vents et aux flots menaçants le silence et le calme ; mais, aussitôt après, il reproche aux Apôtres, leur manque de foi : « Pourquoi avez-vous peur ainsi ? Comment n’avez-vous pas de foi ? » (Marc 4, 40).

  Cause de béatification du Serviteur de Dieu : Farnèse LOUIS-CHARLES
 

Sources : I.C.P. -  E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 26.06.2022

 

 » Sélection des derniers articles  
page précédente haut de page page suivante