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19 Avril 2005
 

Agressions en Afrique, le résultat d’un climat d’instabilité et d’insécurité qui persiste

 

Le 17 janvier 2009  - (E.S.M.) - Le Conseiller national, exprimant sa solidarité pour les salésiens de la communauté de Goma ITIG, a exprimé : "Nous savons combien la Congrégation, le Pape Benoît XVI et le monde ont tourné leur regard, ces derniers temps, vers la situation dramatique du peuple et des jeunes de Goma".

Sœur Maria Teresa Olivero et de sœur Caterina Giraudo

Agressions en Afrique, le résultat d’un climat d’instabilité et d’insécurité qui persiste

Religieuses enlevées : instauration d'un réseau officiel de négociations

Le 17 janvier 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Des sources kényanes de la MISNA ont indiqué que des progrès ont été dernièrement accomplis dans les pourparlers mis en œuvre pour la libération de sœur Maria Teresa Olivero et de sœur Caterina Giraudo, enlevées le 9 novembre dernier par un groupe armé non identifié à El-Wak, dans le Nord du Kenya, avant d'être emmenées en territoire somalien. Les sources de la MISNA révèlent en outre qu'un réseau officiel - approuvé par le gouvernement italien - a été instauré afin de porter à terme les négociations. Nos interlocuteurs assurent que les deux missionnaires italiennes de la Congrégation contemplative des Petites Sœurs de Jésus de Charles de Foucauld vont bien et qu'elles bénéficieraient d'une liberté de mouvement limitée à l'intérieur du lieu où elles sont retenues en otages. Les progrès des pourparlers interviennent quelques jours après l'arrivée à Nairobi d'une délégation italienne, dirigée par la députée Margherita Boniver, qui a rencontré plusieurs leaders politiques et représentants de la société civile locale. Jeudi, le Parlement européen a lancé un appel au gouvernement somalien pour qu'il contribue à la libération des deux religieuses et condamne leur enlèvement ; dans la même Résolution, le Parlement a également demandé au Conseil et à la Commission de l'Union européenne (UE) de soutenir les institutions somaliennes et le processus de paix entamé depuis les accords de Djibouti, en octobre dernier.  (Agence Misna)  

La prise d’otage des deux religieuses enlevées est suivie avec une grande préoccupation par le pape Benoît XVI, qui est proche dans la prière des souffrances non seulement des ces deux religieuses mais aussi de leurs proches et du Mouvement contemplatif missionnaire Père de Foucauld auquel elles appartiennent Préoccupation de Benoît XVI pour les soeurs enlevées au Kenya

►  Incertitude sur le sort des deux religieuses italiennes enlevées au Kenya

Congo RDC : attaque contre une communauté missionnaire au Kivu
Un groupe d'hommes armés non identifiés a attaqué dans la nuit de mercredi la communauté des missionnaires salésiens de l'Institut technique industriel de Goma (chef-lieu du Nord-Kivu, province nord-orientale de la République Démocratique du Congo), situé à proximité de la base de la mission de l'Onu dans le pays (Monuc), indique l'Ans, agence d'informations salésienne, citée par Misna. Ans précise que les agresseurs ont assailli les cinq religieux présents dans l'établissement et saccagé le bâtiment : l'abbé Firmin Kikoli, directeur de la communauté, et le coadjuteur Alonso Honorato ont été blessés pendant l'attaque mais déclarés hors de danger par les médecins. On ignore toujours l'identité des auteurs de l'agression qui pourraient être de simples délinquants ou des rebelles.
La communauté de l'Institut technique industriel a représenté la première présence salésienne à Goma. Fondé en 1981, l'institut possède une école et un oratoire et exerce des activités pastorales.(radiovm)

RD CONGO - L’agression de la communauté salésienne de Goma, la ville de l’est du Congo au centre de la guerre civile, est “le résultat d’un climat d’instabilité et d’insécurité qui persiste dans la ville”, affirme à Fides don Lacedonio de l'ANS

Dans la nuit du 14 au 15 janvier, la communauté salésienne de l’Institut technique industriel de Goma, chef lieu du Nord Kivu, en République Démocratique du Congo, a été victime d’une agression violente de la part de quelques hommes armés. C’est ce qu’affirme un communiqué envoyé à l’agence Fides par l’Agence iNfo Salésienne (ANS). Les agresseurs ont assailli les 5 religieux qui vivent au sein de l’institut scolaire, pas très loin de la MONUC, la Mission des Nations Unies en République Démocratique du Congo, emportant tout ce qu’ils pouvaient.

Le directeur de la communauté, don Firmin Kikoli, et le coadjuteur, Alonso Honorato, ont été hospitalisés suite à des blessures qui leur ont été infligées pendant l’agression. Après les premiers examens, les médecins les ont déclarés hors de danger. C’est don Kikoli qui a lui-même appelé de l’hôpital don Guillermo Basañes, conseiller pour la région Afrique-Madagascar.

Le Conseiller national, dans une note à l’Agence iNfo Salésienne, exprimant sa solidarité pour les salésiens de la communauté de Goma ITIG, a dit : “Nous savons combien la Congrégation, le Pape Benoît XVI et le monde ont tourné leur regard, ces derniers temps, vers la situation dramatique du peuple et des jeunes de Goma. Continuons ce réseau de proximité et de solidarité en demandant à l’Esprit du Seigneur qu’il continue à inspirer des chemins effectifs de justice et de paix”.

La communauté de l’Institut technique et industriel de Goma a été la première présence salésienne dans la ville, aujourd’hui au centre d’une grande crise. Créé en 1981, l’Institut ‘Saint Jean Bosco’ a une école secondaire, un oratoire et plusieurs activités pastorales.

Pour le moment, on ne sait pas si l’épisode est à attribuer à des voleurs ou à une bande de révoltés, mais c’est en tous cas un climat d’instabilité qui touche Goma. D’après les informations recueillies, nous penchons pour l’hypothèse du banditisme, parce que les agresseurs n’ont pas proféré de revendications ou de menaces particulières et se sont limités à prendre des objets facilement transportables”, note don Donato Lacedonio de l'ANS. “Nous espérons que des épisodes comme celui-là ne se répèteront pas, notamment parce que nos pères et nos volontaires sont activement engagés dans l’aide aux populations locales et aux réfugiés qui sont arrivés dans la ville depuis que la guerre a repris”. A Ngangi-Goma, les Salésiens gèrent un autre centre ouvert en 1998, qui s’est transformé avec le temps en l’un des lieux d’accueil et de soin des mineurs de la région. Des jeunes de Ngangi ou venant des villages proches se sont ajoutés en 1998, suite à la reprise de la guerre ; des enfants et des jeunes appartenant à toutes les ethnies et provenant aussi de régions retirées du pays, qui ont fui après avoir vu leurs familles tuées ou enlevées

Un missionnaire italien a été tué à Nairobi

Ce matin entre 11 heures et midi, deux voleurs se sont introduits dans le bureau de l’administration de l’Institut de Philosophie des missionnaires de la Consolata, tuant l’administrateur et fondateur père Giuseppe Bertaina, après l’avoir frappé et bâillonné”: la dynamique de la mort du missionnaire qui a perdu la vie à Langata, à une vingtaine de kilomètres de Nairobi, a été confirmée à la MISNA par père Luigi Anataloni, confrère de la victime, contacté dans la capitale kenyane. “Le cadavre a été découvert par un des quelques 300 étudiants de l’institut qui s’était rendu au bureau de l’administration pour demander des papiers”, a dit le missionnaire, précisant que “de prime abord, l’homicide semble s’inscrire dans le cadre d’une tentative de vol: nous sommes au début du trimestre et les voleurs pensaient sans doute trouver au siège de l’institut les sommes relatives aux inscriptions des étudiants sans savoir que les paiements sont effectués par chèque et non pas en liquide”. Né le 3 octobre 1927 à Madonna dell’Olmo, dans la province de Cunéo (Italie du nord), père Bertaina se trouvait au Kenya depuis les années 50, où il a toujours enseigné, formant des générations entières d’étudiants, surtout parmi la population kikuyu. Il a été le directeur de la St Mary’s Secondary School de Nyeri, et de l’Institut technique de de Sagana; à partir des années 90, il a contribué à la fondation de l’Institut de Philosophie (Consolata Philosophicum).  (Agence Misna)  
 

Sources : www.vatican.va -  E.S.M.

Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 16.01.2009 - T/International

 

 

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