L’avenir de la société dépend du
respect et de la protection garantie au mariage et à la famille |
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Le 16 juillet 2009 -
(E.S.M.)
- “L’avenir de notre société dépend du respect et de la protection
qui est garantie au mariage et à la famille, aux institutions considérées
fondamentales dans tous les pays”, affirment les évêques du Venezuela
dans un communiqué diffusé au terme de l’Assemblée Plénière.
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L’avenir de la société dépend du
respect et de la protection garantie au mariage et à la famille
VENEZUELA - Les évêques mettent en garde contre le danger caché dans le
projet de loi organique pour l’équité et l’égalité des genres, qui porte
atteinte au mariage et à la famille
Le 16 juillet 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
- “L’avenir de notre société dépend du respect et de la protection
qui est garantie au mariage et à la famille, aux institutions considérées
fondamentales dans tous les pays”, affirment les évêques du Venezuela
dans un communiqué diffusé au terme de l’Assemblée Plénière, dans lequel ils
manifestent leur désir de participer au débat suscité par el projet de loi
organique pour l’équité et l’égalité des genres, présenté et discuté par
l’Assemblée Nationale de la république Bolivarienne du Venezuela, “pour
illuminer le thème délicat des valeurs et des principes de la foi chrétienne”.
Même si le projet de loi, expliquent les évêques, “expose parmi ses
objectifs, ceux de développer les principes d’égalité et de solidarité et de
fortifier le respect des droits de l’homme pour tous”, il y a cependant
des raisons pour affirmer qu’“on commet de graves violations et des
dégâts irréparables à des droits et des structures fondamentaux de la
société vénézuélienne, reconnus et garantis dans notre texte constitutionnel”.
La proposition de loi constitue également une attaque supplémentaire contre
le mariage et la famille, qui souffrent déjà “à cause de la désorientation
économique, sociale et morale et par l’impact dune culture hédoniste qui
attente à sa structure sociale et juridique”.
Pour le évêques, le nouveau projet législatif “attente gravement aux
droits gardés et protégés par notre Constitution Nationale… légitimant des
unions entre deux personnes de même sexe, leur donnant les mêmes effets
juridiques et patrimoniaux que ceux du mariage”. De plus, “il ignore
la protection constitutionnelle au droit à l’inviolabilité de la vie
humaine, autant avec les moyens contraceptifs qu’avec l’avortement”.
“Quand l’institution du mariage et de la famille, qui sont les piliers
d’une société, sont menacés par des institutions sociales, économiques,
idéologiques ou juridiques – continue le texte -, les différentes
institutions de la société doivent se mettre en mouvement pour les
défendre”. Pour ces raisons, on lit dans le communiqué, que “la réaction et
le refus de la société est légitime quand est mise en danger la dignité de
la personne humaine et les droits qui lui appartiennent, comme celui de
jouir d’une structure familiale constituée d’un homme et d’une femme et de
leurs enfants”.
Pour toutes ces raisons, les évêques demandent aux fidèles “une attitude
vigilante d’étude et de discussion sur ce nouveau projet de loi”, en
les invitant à “travailler et à faire des propositions qui contribuent à la
dignité de la personne humaine et repoussent ce qui contribue à
l’affaiblissement des droits fondamentaux comme la dignité et le respect de
la personne humaine et de la structure naturelle du mariage et de la famille”.
Sources : www.vatican.va
(RG)
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E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 16.07.09 -
T/Famille |