L'Assomption de la Vierge Marie |
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Le 12 août 2008
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(E.S.M.)
- La fête de l'Assomption célèbre tout à la fois
la mort, la résurrection glorieuse, l'entrée au ciel et le couronnement
de la bienheureuse Vierge Marie.
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L'Assomption de la Vierge
(Charles de la Fosse)
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L'Assomption de la Vierge Marie
Comme pour toutes les fêtes chrétiennes, il faut en chercher l'origine dans
la vie du Christ. Si Marie est aujourd'hui honorée d'une façon toute
particulière, c'est parce qu'elle a accepté d'être la Mère du Sauveur.
L'humble fille de Nazareth à qui l'ange Gabriel a annoncé qu'elle serait la
mère du Christ a répondu " Oui ". Marie a accueilli dans sa chair, celui qui
est l'origine de toute vie. Marie accompagne la vie de Jésus car elle est à
sa manière une disciple. Une femme qui a su écouter la Parole de Vie et se
mettre à son service. (...)
Quand Jésus ressuscite, c'est le
triomphe de la vie qui est manifesté au grand jour. La mort n'a pas pu
retenir captif le Maître de la vie. Jésus n'a pas connu la corruption du
tombeau. C'est notre salut, notre bonheur qui est ainsi annoncé. La mort n'a
pas le dernier mot. Avec la Résurrection de Jésus, c'est l'annonce de notre
propre résurrection personnelle qui est dévoilée. " Je crois en la
résurrection de la chair ". L'affirmation du Credo est constitutive de notre
foi chrétienne. Croire en Dieu, croire en son Fils et en sa Bonne Nouvelle,
c'est croire aussi à la vie éternelle et à la résurrection des corps.
Marie est désignée comme la première des croyantes parce qu'elle a cru
en la venue du Christ. La fête de l'Assomption est issue de cette " logique
" de foi. Si Marie est la première de ceux qui ont placé leur foi en Jésus,
il est naturel qu'en elle soit manifestée avant tout autre ce en quoi elle a
vraiment cru. Or, la Résurrection de la chair fait partie de sa foi.
L'Assomption est la célébration de l'accueil en Marie de la vie éternelle
jusque dans sa chair.
Marie est une femme d'Israël. Elle a vécu sa
condition humaine pleinement mais sans le péché. La solidarité avec
l'humanité est cependant totale. Sa vie de jeune fille, sa vie de mère, a
été marquée par les joies, les souffrances, les peines et aussi par la mort.
Marie n'a pas échappé à la mort. Comme son Fils elle a assumé l'ensemble de
la condition humaine. Mais, sa vie a été remplie par la présence de l'Esprit
de Dieu.
Marie après sa mort - nos frères chrétiens d'Orient
appellent cette fête du nom de Dormition - a été enlevée à la vie terrestre
pour entrer d'emblée dans la vie en Dieu. Voilà le mystère de la fête de
l'Assomption. C'est un résumé du parcours du croyant. Si je place ma foi en
Jésus ressuscité, je suis destiné corps et âme à vivre dans le sein de Dieu.
Et Marie fut la première à vivre cela.
Benoît Grière provincial, Province de France
des assomptionnistes
Que
savons-nous de la Vierge Marie d'après les Écritures ?
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Les Gloires de
Marie Par Saint Alphonse-Marie de Liguori
Ad te clamamus, exules filii Evae
Enfants d'Ève, pauvres exilés, nous crions
vers vous.
MARIE, NOTRE SECOURS
Combien Marie est prompte à secourir ceux qui l'invoquent
Pauvres enfants de la malheureuse Ève, et, comme tels, coupable aux yeux de
Dieu de la même faute et condamnés à la même peine, nous errons çà et là
dans cette vallée de larmes, exilés de notre patrie, gémissant sous le poids
de maux innombrables qui nous affligent dans le corps et dans l'âme ! Mais,
au milieu de ces peines, heureux celui qui tourne
souvent ses regards vers la Consolatrice du monde,
le Refuge des misérables, l'auguste Mère de Dieu, et
l'invoque et la prie avec ferveur ! Heureux, dit Marie, celui qui
écoute mes conseils, et qui veille continuellement aux portes de ma
miséricorde, pour invoquer mon intercession et mon secours !
La
sainte Église, notre Mère, nous enseigne clairement, par le culte spécial
qu'elle lui voue, avec quel empressement et quelle confiance nous devons
recourir sans cesse à cette bienveillante Protectrice : elle célèbre dans le
courant de l'année un grand nombre de fêtes en l'honneur de Marie ; elle
consacre spécialement à son service un jour chaque semaine ; elle veut que,
chaque jour, dans l'office divin, les ecclésiastiques et les religieux
l'invoquent au nom de tout le peuple chrétien ; trois fois le jour, au son
des cloches, elle invite les fidèles à la saluer. Au surplus, comment douter
de l'intention de l'Église à cet égard, quand on la voit, dans toutes les
calamités publiques, s'adresser à la Mère de Dieu et ne négliger, pour se la
rendre favorable, aucune des pratiques pieuses, telles que neuvaines,
prières spéciales, processions, visites de ses églises ou de ses images ?
Et, remarquons-le bien, si Marie désire être invoquée et priée ainsi pour
nous en toute occurrence, ce n'est pas qu'elle mendie nos hommages, toujours
fort au-dessous de son mérite, mais elle veut que, par des progrès toujours
nouveaux en confiance et en dévotion envers elle, nous méritions de sa part
une plus grande abondance de secours et de consolations. Ainsi l'entendait
saint Bonaventure : " Marie cherche, dit-il, des
âmes qui recourent à elle avec de vifs sentiments de respect et d'amour ;
car ce sont celles-là qu'elle chérit, qu'elle nourrit, qu'elle embrasse
comme ses enfants. "
Selon la pensée du même Docteur,
Marie fut préfigurée par Ruth, dont le nom signifie " celle qui voit et
qui se hâte " ; car, quand Marie nous voit dans la
tribulation, elle en est touchée et se hâte de nous venir en aide.
Dans son désir de nous favoriser, ajoute Novarin, elle ne peut souffrir de
retard ; et, loin de retenir ses grâces d'une main avare, cette Mère de
miséricorde n'a rien de plus pressé que de répandre sur ses serviteurs les
trésors de munificence."
Oh ! comme cette bonne Mère est prompte à
secourir quiconque l'invoque ! En expliquant un passage des Cantiques,
Richard de Saint-Laurent fait cette remarque : " Le coeur maternel de
Marie n'est pas moins prompt à donner le lait de la miséricorde à ceux qui
le demandent, que les jeunes chevreuils ne le sont à bondir ; un simple Ave
Maria suffit, assure-t-il, pour faire jaillir à flots ce lait bienfaisant.
" Et, selon Novarin, la bienheureuse Vierge ne se contente pas de courir,
elle vole au secours de ceux qui l'invoquent. Dans l'exercice de la
miséricorde, dit-il, elle ne peut manquer d'imiter le Seigneur : fidèle à la
promesse qu'il nous a faite en ces termes : Demandez
et vous recevrez, Dieu semble prendre des ailes quand il s'agit d'aller
tirer de la peine une âme qui l'appelle à son aide ;
ainsi fait aussi Marie quand nous la prions ;
elle ne sait nous différer son assistance. Par là, on comprend quelle est
cette femme dont il est dit dans l'Apocalypse : Il fut donné à la femme deux
grandes ailes pareilles à celle de l'aigle. Par ces ailes, Ribeira entend
celles de l'amour, à l'aide desquelles Marie s'élevait sans cesse vers Dieu.
Mais le bienheureux Amédée donne une explication plus conforme à notre sujet
; pour lui, ces ailes d'aigle marquent la promptitude de Marie à secourir
ses enfants. Les séraphins eux-mêmes, ajoute-t-il, ne sauraient égaler la
rapidité de son vol.
Tout ceci est confirmé par un passage de
l'Évangile. Quand Marie alla visiter Élisabeth et combler de grâces toute
cette heureuse famille, elle ne marcha pas avec lenteur, mais selon la
remarque de saint Luc, elle fit grande diligence pendant tout le trajet ; ce
qui n'est pas dit de son retour. Pourquoi, dans les sacrés Cantiques, est-il
dit des mains de Marie qu'elles semblaient faites au tour ? " L'art du
tour, répond Richard est de tous le plus prompt et le plus expéditif ; et
Marie est plus prompte qu'aucun autre saint à tendre une main secourable à
ses dévots". Ineffable est son désir de consoler
tout le monde, ajoute Louis de Blois ; aussi elle n'a pas sitôt
entendu une voix suppliante s'élever vers elle, qu'elle y prête une oreille
favorable et l'exauce. Qu'il avait donc raison saint Bonaventure, quand,
s'adressant à Marie, il s'écriait : " O toi, le salut de ceux qui
t'invoquent " ! Par là il donnait à entendre qu'il suffit pour être
sauvé d'invoquer cette divine Mère, toujours prête, assure Richard de
Saint-Laurent, à secourir quiconque la prie. Et nous ne devons point nous en
étonner, puisque, selon Bernardin de Bustis, cette grande Reine ressent un
plus vif désir de nous accorder des grâces, que nous de les recevoir.
La multitude même de nos péchés ne doit pas diminuer en nous la
confiance d'être exaucés de Marie, quand nous irons nous jeter à ses pieds :
elle est Mère de miséricorde ; or, la miséricorde resterait sans emploi, si
elle ne trouvait des misères à soulager. Une bonne mère qui verrait son
enfant infecté de la lèpre, ne saurait lui refuser ses soins, bien qu'il lui
en coûtât beaucoup de peines et de dégoûts ; et, quand
nous réclamons les soins de Marie, elle ne saurait nous repousser, si
grande que soit l'infection de péchés dont nous sollicitons la guérison ;
elle n'a pas oublié, ajoute Richard, que c'est en faveur des pécheurs qu'elle
est devenue la Mère d'un Dieu qui est la miséricorde en personne. Et
tel est précisément le sens d'une vision dont fut favorisée sainte Gertrude
: elle voyait la glorieuse Vierge ouvrant son manteau comme pour donner
asile à tous ceux qui voulaient se réfugier auprès d'elle. La sainte comprit
en même temps que les anges sont attentifs à défendre les pieux serviteurs
de leur Reine contre les attaques de l'enfer.
Au reste, la tendresse
vraiment maternelle de Marie à notre égard et sa compassion pour nos maux
vont si loin, qu'elle n'attend pas nos prières pour nous secourir : Elle
prévient ceux qui la désirent et se présente à eux la première. Ces paroles
de la Sagesse lui sont appliquées par saint Anselme : Sur un simple désir de
notre part, dit-il, Marie nous accorde sa protection ; ce qui veut dire
qu'elle nous obtient de Dieu beaucoup de grâces avant que nous l'ayons
priée. C'est pourquoi, selon Richard de Saint-Victor, le Sage la compare à
la lune. Ce bel astre l'emporte sur les autres en rapidité, et, nous l'avons
dit, rien n'égale la promptitude de Marie à nous secourir. Mais de plus,
elle ne se montre pas telle seulement quand nous l'invoquons : elle pousse
le zèle de notre bien jusqu'à prévenir nos prières quand elle nous voit dans
le besoin ; et nous sommes moins prompt à implorer son appui, qu'elle à nous
le prêter. Écoutons la touchante raison qu'en donne cet auteur : "
Le Seigneur, ô Marie, a tellement rempli de tendresse votre sein maternel,
que la simple connaissance de notre misère en fait couler le lait de la
miséricorde ; et vous ne sauriez, ô douce Reine, être témoin des besoins
d'une âme, sans lui venir aussitôt en aide."
Mais déjà
pendant sa vie terrestre, Marie donnait des marques de cette grande bonté
qui la porte à compatir à nos peines et à les adoucir, alors même que nous
ne la prions pas : à preuve ce que, selon saint Jean, elle fit aux noces de
Cana. Voyant le cruel embarras des deux époux, désolés et confus de ce que
le vin allait manquer à la table du banquet, cette tendre Mère n'attendit
point qu'on eut recours à elle ; mais, cédant à la seule inclination de son
coeur, incapable de voir l'affliction d'autrui sans la partager, elle vint
prier son divin Fils de consoler ses hôtes ; et, lui exposant simplement le
besoin dans lequel ceux-ci se voyaient : Ils n'ont plus de vin, lui
dit-elle. Et Jésus, désireux de tirer cette famille de la peine, désireux
surtout de contenter le coeur compatissant de sa Mère, Jésus, disons-nous,
opéra le miracle que tout le monde connaît : il changea en vin l'eau dont on
avait rempli six grandes urnes. Sur quoi Novarin raisonne ainsi :
Si Marie, même sans être priée, se montre si empressée
à secourir les affligés, combien plus le sera-t-elle à consoler ceux qui
l'invoquent et qui réclament son assistance.
Et si quelqu'un
craignait de voir sa prière par Marie, Innocent III le reprendrait de sa
défiance en ces termes : " Et qui donc invoqua jamais cette douce
Souveraine sans être exaucé ? "
Que celui-là écoute le
bienheureux Eutychien, lequel s'écrie pareillement : O glorieuse Vierge, qui
a jamais imploré votre protection assez puissante pour soulager tous les
malheureux et sauver les pécheurs les plus désespérés, et s'est vu abandonné
de vous ? Cela n'est jamais arrivé, et n'arrivera jamais.
Qu'il
écoute saint Bernard : " Je le veux bien, ô Vierge sainte, dit le
saint Docteur ; que celui-là ne parle plus de votre miséricorde, n'en
fasse plus l'éloge, qui vous aurait invoquée dans ses besoins, et se
souviendrait d'avoir été délaissé par vous ".
"
On verra le ciel et la terre tomber en ruines,
ajoute Louis de Blois, avant que Marie refuse son
secours à une âme qui le lui demande avec une intention droite et en plaçant
son espoir en elle. "
Saint Anselme ajoute encore à tous
ces motifs de confiance : Non seulement nous devons compter sur la
protection de la divine Mère quand nous nous recommandons à elle, dit-il,
mais parfois nous serons plus vite exaucés et sauvés en invoquant le saint
nom de Marie, qu'en invoquant le saint nom de Jésus, notre Sauveur. " La
raison en est, ajoute-t-il, que le Fils est notre Seigneur et notre
juge... ; mais quand nous invoquons le nom de la Mère, si nous ne méritons
pas d'être exaucés, les mérites de la Mère interviennent en notre faveur et
nous font exaucer ". C'est-à-dire : si nous parvenons plus vite au salut
en priant la Mère qu'en priant le Fils, ce n'est pas que Maria ait plus de
pouvoir que son divin Fils pour nous sauver ; nous savons, en effet, que
Jésus-Christ est notre unique Sauveur, que lui seul, par ses mérites, nous a
obtenu et nous obtient le salut ; mais, en recourant à Jésus-Christ, nous
voyons en lui non seulement notre Sauveur, mais encore notre Juge, à qui
revient de punir les ingrats ; et il peut nous arriver ainsi de manquer de
la confiance requise pour être exaucé.
Il n'en est pas de même quand
nous nous adressons à Marie, dont l'unique office est de compatir à nos
peines comme Mère de miséricorde, et de nous défendre comme notre Avocate :
notre confiance alors est plus ferme, ce semble, et plus entière. Nicéphore
nous donne de ceci une autre raison non moins solide : On demande beaucoup
de choses à Dieu, et on ne les obtient pas, nous dit-il ; on les demande à
Marie et on les obtient ; comment cela se fait-il ? ce
n'est pas que Marie soit plus puissante que Dieu, mais c'est que Dieu a
voulu honorer ainsi sa Mère.
Elle est bien consolante, la
promesse que sainte Brigitte recueillit à ce sujet de la bouche du Seigneur
lui-même. On lit dans ses Révélations, qu'elle entendit un jour Jésus qui
parlait ainsi à sa Mère : Ma Mère, demandez-moi tout ce que vous voudrez ;
je ne rejetterai jamais aucune de vos requêtes. Sachez en outre,
ajoute-t-il, que tous ceux qui solliciteront de moi quelque grâce, en me
priant de la leur accorder par l'amour de vous, je promets de les exaucer,
fussent-ils pécheurs, pourvu qu'ils aient la volonté de s'amender. - La même
chose fut révélée à sainte Gertrude. Elle entendit notre fin Rédempteur dire
à Marie que, dans sa toute-puissance, il lui avait accordé d'user de
miséricorde envers les pécheurs qui l'invoqueraient, et de le faire en la
manière qui lui plairait davantage.
Que chacun donc, en invoquant
cette Mère de miséricorde, lui dise avec grande confiance ce que lui disait
saint Augustin : " Souvenez-vous, ô très clémente
Reine, que, depuis l'origine du monde, on n'a jamais ouï dire que vous ayez
abandonné personne. Pardonnez-moi donc, si j'ose vous déclarer que ne veux
pas être abandonné de vous, après avoir eu recours à votre protection
".
PRIÈRE
O Mère de Dieu,
Reine des anges et espérance des hommes, écoutez un pécheur qui vous
implores et vous appelle à son secours. Me voici aujourd'hui prosterné à vos
pieds ; moi, misérable esclave de l'enfer, je me consacre pour toujours à
vous comme votre serviteur, et je m'offre à vous servir et à vous honorer de
tout mon pouvoir, pendant toute ma vie. Vous ne retirerez aucune gloire, je
le reconnais, des services d'un esclave vil et pervers comme moi, qui ai
tant offensé Jésus-Christ, votre Fils et mon Rédempteur.
Mais si vous
recevez un indigne au nombre de vos serviteurs ; si vous le rendez digne de
cette qualité en le changeant par votre intercession, cette miséricorde même
envers lui vous procurera la gloire que ne saurait vous rendre un misérable
tel que je suis. Daignez me recevoir, ô ma Mère, et ne point me rebuter.
Pour chercher les brebis perdues, le Verbe éternel est descendu du ciel sur
la terre ; pour les sauver, il s'est fait votre Fils, et vous pourriez
dédaigner une pauvre brebis qui vous prie de lui faire retrouver Jésus ?
Déjà le prix de mon salut est acquitté ; déjà, en versant son sang précieux,
mon Sauveur a payé pour moi une rançon qui suffirait à racheter des mondes
en nombre infini ; il ne reste plus qu'à m'en appliquer les mérites, et cela
dépend de vous, ô Vierge bénie ! Oui, dit saint Bernard, c'est à vous de
dispenser à qui il vous plaît les mérites de son sang divin. Oui, dit aussi
saint Bonaventure, vous pouvez sauver qui vous voulez.
Ainsi, ô ma
Reine, assistez-moi ; ma douce Souveraine, sauvez-moi. Je remets aujourd'hui
entre vos mains toute mon âme ; songez à la sauver. Je finis en vous disant
avec le même saint Bonaventure : O vous, le salut de ceux qui vous
invoquent, sauvez-moi !
Pour lire la suite :
Les Gloires de Marie - St Alphonse-Marie de Liguori
Sources : CEF - E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
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Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 12.08.2008 -
T/Méditation |