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19 Avril 2005
 

L'Assomption de la Vierge Marie

 

Le 12 août 2008  - (E.S.M.) - La fête de l'Assomption célèbre tout à la fois la mort, la résurrection glorieuse, l'entrée au ciel et le couronnement de la bienheureuse Vierge Marie.

L'Assomption de la Vierge (Charles de la Fosse) - Pour agrandir l'image Cliquer

L'Assomption de la Vierge Marie

Comme pour toutes les fêtes chrétiennes, il faut en chercher l'origine dans la vie du Christ. Si Marie est aujourd'hui honorée d'une façon toute particulière, c'est parce qu'elle a accepté d'être la Mère du Sauveur. L'humble fille de Nazareth à qui l'ange Gabriel a annoncé qu'elle serait la mère du Christ a répondu " Oui ". Marie a accueilli dans sa chair, celui qui est l'origine de toute vie. Marie accompagne la vie de Jésus car elle est à sa manière une disciple. Une femme qui a su écouter la Parole de Vie et se mettre à son service. (...)

Quand Jésus ressuscite, c'est le triomphe de la vie qui est manifesté au grand jour. La mort n'a pas pu retenir captif le Maître de la vie. Jésus n'a pas connu la corruption du tombeau. C'est notre salut, notre bonheur qui est ainsi annoncé. La mort n'a pas le dernier mot. Avec la Résurrection de Jésus, c'est l'annonce de notre propre résurrection personnelle qui est dévoilée. " Je crois en la résurrection de la chair ". L'affirmation du Credo est constitutive de notre foi chrétienne. Croire en Dieu, croire en son Fils et en sa Bonne Nouvelle, c'est croire aussi à la vie éternelle et à la résurrection des corps.

Marie est désignée comme la première des croyantes parce qu'elle a cru en la venue du Christ. La fête de l'Assomption est issue de cette " logique " de foi. Si Marie est la première de ceux qui ont placé leur foi en Jésus, il est naturel qu'en elle soit manifestée avant tout autre ce en quoi elle a vraiment cru. Or, la Résurrection de la chair fait partie de sa foi. L'Assomption est la célébration de l'accueil en Marie de la vie éternelle jusque dans sa chair.

Marie est une femme d'Israël. Elle a vécu sa condition humaine pleinement mais sans le péché. La solidarité avec l'humanité est cependant totale. Sa vie de jeune fille, sa vie de mère, a été marquée par les joies, les souffrances, les peines et aussi par la mort. Marie n'a pas échappé à la mort. Comme son Fils elle a assumé l'ensemble de la condition humaine. Mais, sa vie a été remplie par la présence de l'Esprit de Dieu.

Marie après sa mort - nos frères chrétiens d'Orient appellent cette fête du nom de Dormition - a été enlevée à la vie terrestre pour entrer d'emblée dans la vie en Dieu. Voilà le mystère de la fête de l'Assomption. C'est un résumé du parcours du croyant. Si je place ma foi en Jésus ressuscité, je suis destiné corps et âme à vivre dans le sein de Dieu. Et Marie fut la première à vivre cela.

Benoît Grière provincial, Province de France des assomptionnistes

Que savons-nous de la Vierge Marie d'après les Écritures ?   Lire la suite

Les Gloires de Marie
Par Saint Alphonse-Marie de Liguori

Ad te clamamus, exules filii Evae
Enfants d'Ève, pauvres exilés, nous crions vers vous.

MARIE, NOTRE SECOURS

Combien Marie est prompte à secourir ceux qui l'invoquent

Pauvres enfants de la malheureuse Ève, et, comme tels, coupable aux yeux de Dieu de la même faute et condamnés à la même peine, nous errons çà et là dans cette vallée de larmes, exilés de notre patrie, gémissant sous le poids de maux innombrables qui nous affligent dans le corps et dans l'âme ! Mais, au milieu de ces peines, heureux celui qui tourne souvent ses regards vers la Consolatrice du monde, le Refuge des misérables, l'auguste Mère de Dieu, et l'invoque et la prie avec ferveur ! Heureux, dit Marie, celui qui écoute mes conseils, et qui veille continuellement aux portes de ma miséricorde, pour invoquer mon intercession et mon secours !

La sainte Église, notre Mère, nous enseigne clairement, par le culte spécial qu'elle lui voue, avec quel empressement et quelle confiance nous devons recourir sans cesse à cette bienveillante Protectrice : elle célèbre dans le courant de l'année un grand nombre de fêtes en l'honneur de Marie ; elle consacre spécialement à son service un jour chaque semaine ; elle veut que, chaque jour, dans l'office divin, les ecclésiastiques et les religieux l'invoquent au nom de tout le peuple chrétien ; trois fois le jour, au son des cloches, elle invite les fidèles à la saluer. Au surplus, comment douter de l'intention de l'Église à cet égard, quand on la voit, dans toutes les calamités publiques, s'adresser à la Mère de Dieu et ne négliger, pour se la rendre favorable, aucune des pratiques pieuses, telles que neuvaines, prières spéciales, processions, visites de ses églises ou de ses images ? Et, remarquons-le bien, si Marie désire être invoquée et priée ainsi pour nous en toute occurrence, ce n'est pas qu'elle mendie nos hommages, toujours fort au-dessous de son mérite, mais elle veut que, par des progrès toujours nouveaux en confiance et en dévotion envers elle, nous méritions de sa part une plus grande abondance de secours et de consolations. Ainsi l'entendait saint Bonaventure : " Marie cherche, dit-il, des âmes qui recourent à elle avec de vifs sentiments de respect et d'amour ; car ce sont celles-là qu'elle chérit, qu'elle nourrit, qu'elle embrasse comme ses enfants. "

Selon la pensée du même Docteur, Marie fut préfigurée par Ruth, dont le nom signifie " celle qui voit et qui se hâte " ; car, quand Marie nous voit dans la tribulation, elle en est touchée et se hâte de nous venir en aide. Dans son désir de nous favoriser, ajoute Novarin, elle ne peut souffrir de retard ; et, loin de retenir ses grâces d'une main avare, cette Mère de miséricorde n'a rien de plus pressé que de répandre sur ses serviteurs les trésors de munificence."

Oh ! comme cette bonne Mère est prompte à secourir quiconque l'invoque ! En expliquant un passage des Cantiques, Richard de Saint-Laurent fait cette remarque : " Le coeur maternel de Marie n'est pas moins prompt à donner le lait de la miséricorde à ceux qui le demandent, que les jeunes chevreuils ne le sont à bondir ; un simple Ave Maria suffit, assure-t-il, pour faire jaillir à flots ce lait bienfaisant. " Et, selon Novarin, la bienheureuse Vierge ne se contente pas de courir, elle vole au secours de ceux qui l'invoquent. Dans l'exercice de la miséricorde, dit-il, elle ne peut manquer d'imiter le Seigneur : fidèle à la promesse qu'il nous a faite en ces termes : Demandez et vous recevrez, Dieu semble prendre des ailes quand il s'agit d'aller tirer de la peine une âme qui l'appelle à son aide ; ainsi fait aussi Marie quand nous la prions ; elle ne sait nous différer son assistance. Par là, on comprend quelle est cette femme dont il est dit dans l'Apocalypse : Il fut donné à la femme deux grandes ailes pareilles à celle de l'aigle. Par ces ailes, Ribeira entend celles de l'amour, à l'aide desquelles Marie s'élevait sans cesse vers Dieu. Mais le bienheureux Amédée donne une explication plus conforme à notre sujet ; pour lui, ces ailes d'aigle marquent la promptitude de Marie à secourir ses enfants. Les séraphins eux-mêmes, ajoute-t-il, ne sauraient égaler la rapidité de son vol.

Tout ceci est confirmé par un passage de l'Évangile. Quand Marie alla visiter Élisabeth et combler de grâces toute cette heureuse famille, elle ne marcha pas avec lenteur, mais selon la remarque de saint Luc, elle fit grande diligence pendant tout le trajet ; ce qui n'est pas dit de son retour. Pourquoi, dans les sacrés Cantiques, est-il dit des mains de Marie qu'elles semblaient faites au tour ? " L'art du tour, répond Richard est de tous le plus prompt et le plus expéditif ; et Marie est plus prompte qu'aucun autre saint à tendre une main secourable à ses dévots". Ineffable est son désir de consoler tout le monde, ajoute Louis de Blois ; aussi elle n'a pas sitôt entendu une voix suppliante s'élever vers elle, qu'elle y prête une oreille favorable et l'exauce. Qu'il avait donc raison saint Bonaventure, quand, s'adressant à Marie, il s'écriait : " O toi, le salut de ceux qui t'invoquent " ! Par là il donnait à entendre qu'il suffit pour être sauvé d'invoquer cette divine Mère, toujours prête, assure Richard de Saint-Laurent, à secourir quiconque la prie. Et nous ne devons point nous en étonner, puisque, selon Bernardin de Bustis, cette grande Reine ressent un plus vif désir de nous accorder des grâces, que nous de les recevoir.

La multitude même de nos péchés ne doit pas diminuer en nous la confiance d'être exaucés de Marie, quand nous irons nous jeter à ses pieds : elle est Mère de miséricorde ; or, la miséricorde resterait sans emploi, si elle ne trouvait des misères à soulager. Une bonne mère qui verrait son enfant infecté de la lèpre, ne saurait lui refuser ses soins, bien qu'il lui en coûtât beaucoup de peines et de dégoûts ; et, quand nous réclamons les soins de Marie, elle ne saurait nous repousser, si grande que soit l'infection de péchés dont nous sollicitons la guérison ; elle n'a pas oublié, ajoute Richard, que c'est en faveur des pécheurs qu'elle est devenue la Mère d'un Dieu qui est la miséricorde en personne. Et tel est précisément le sens d'une vision dont fut favorisée sainte Gertrude : elle voyait la glorieuse Vierge ouvrant son manteau comme pour donner asile à tous ceux qui voulaient se réfugier auprès d'elle. La sainte comprit en même temps que les anges sont attentifs à défendre les pieux serviteurs de leur Reine contre les attaques de l'enfer.

Au reste, la tendresse vraiment maternelle de Marie à notre égard et sa compassion pour nos maux vont si loin, qu'elle n'attend pas nos prières pour nous secourir : Elle prévient ceux qui la désirent et se présente à eux la première. Ces paroles de la Sagesse lui sont appliquées par saint Anselme : Sur un simple désir de notre part, dit-il, Marie nous accorde sa protection ; ce qui veut dire qu'elle nous obtient de Dieu beaucoup de grâces avant que nous l'ayons priée. C'est pourquoi, selon Richard de Saint-Victor, le Sage la compare à la lune. Ce bel astre l'emporte sur les autres en rapidité, et, nous l'avons dit, rien n'égale la promptitude de Marie à nous secourir. Mais de plus, elle ne se montre pas telle seulement quand nous l'invoquons : elle pousse le zèle de notre bien jusqu'à prévenir nos prières quand elle nous voit dans le besoin ; et nous sommes moins prompt à implorer son appui, qu'elle à nous le prêter. Écoutons la touchante raison qu'en donne cet auteur : " Le Seigneur, ô Marie, a tellement rempli de tendresse votre sein maternel, que la simple connaissance de notre misère en fait couler le lait de la miséricorde ; et vous ne sauriez, ô douce Reine, être témoin des besoins d'une âme, sans lui venir aussitôt en aide."

Mais déjà pendant sa vie terrestre, Marie donnait des marques de cette grande bonté qui la porte à compatir à nos peines et à les adoucir, alors même que nous ne la prions pas : à preuve ce que, selon saint Jean, elle fit aux noces de Cana. Voyant le cruel embarras des deux époux, désolés et confus de ce que le vin allait manquer à la table du banquet, cette tendre Mère n'attendit point qu'on eut recours à elle ; mais, cédant à la seule inclination de son coeur, incapable de voir l'affliction d'autrui sans la partager, elle vint prier son divin Fils de consoler ses hôtes ; et, lui exposant simplement le besoin dans lequel ceux-ci se voyaient : Ils n'ont plus de vin, lui dit-elle. Et Jésus, désireux de tirer cette famille de la peine, désireux surtout de contenter le coeur compatissant de sa Mère, Jésus, disons-nous, opéra le miracle que tout le monde connaît : il changea en vin l'eau dont on avait rempli six grandes urnes. Sur quoi Novarin raisonne ainsi : Si Marie, même sans être priée, se montre si empressée à secourir les affligés, combien plus le sera-t-elle à consoler ceux qui l'invoquent et qui réclament son assistance.

Et si quelqu'un craignait de voir sa prière par Marie, Innocent III le reprendrait de sa défiance en ces termes : " Et qui donc invoqua jamais cette douce Souveraine sans être exaucé ? "

Que celui-là écoute le bienheureux Eutychien, lequel s'écrie pareillement : O glorieuse Vierge, qui a jamais imploré votre protection assez puissante pour soulager tous les malheureux et sauver les pécheurs les plus désespérés, et s'est vu abandonné de vous ? Cela n'est jamais arrivé, et n'arrivera jamais.

Qu'il écoute saint Bernard : " Je le veux bien, ô Vierge sainte, dit le saint Docteur ; que celui-là ne parle plus de votre miséricorde, n'en fasse plus l'éloge, qui vous aurait invoquée dans ses besoins, et se souviendrait d'avoir été délaissé par vous ".

" On verra le ciel et la terre tomber en ruines, ajoute Louis de Blois, avant que Marie refuse son secours à une âme qui le lui demande avec une intention droite et en plaçant son espoir en elle. "

Saint Anselme ajoute encore à tous ces motifs de confiance : Non seulement nous devons compter sur la protection de la divine Mère quand nous nous recommandons à elle, dit-il, mais parfois nous serons plus vite exaucés et sauvés en invoquant le saint nom de Marie, qu'en invoquant le saint nom de Jésus, notre Sauveur. " La raison en est, ajoute-t-il, que le Fils est notre Seigneur et notre juge... ; mais quand nous invoquons le nom de la Mère, si nous ne méritons pas d'être exaucés, les mérites de la Mère interviennent en notre faveur et nous font exaucer ". C'est-à-dire : si nous parvenons plus vite au salut en priant la Mère qu'en priant le Fils, ce n'est pas que Maria ait plus de pouvoir que son divin Fils pour nous sauver ; nous savons, en effet, que Jésus-Christ est notre unique Sauveur, que lui seul, par ses mérites, nous a obtenu et nous obtient le salut ; mais, en recourant à Jésus-Christ, nous voyons en lui non seulement notre Sauveur, mais encore notre Juge, à qui revient de punir les ingrats ; et il peut nous arriver ainsi de manquer de la confiance requise pour être exaucé.

Il n'en est pas de même quand nous nous adressons à Marie, dont l'unique office est de compatir à nos peines comme Mère de miséricorde, et de nous défendre comme notre Avocate : notre confiance alors est plus ferme, ce semble, et plus entière. Nicéphore nous donne de ceci une autre raison non moins solide : On demande beaucoup de choses à Dieu, et on ne les obtient pas, nous dit-il ; on les demande à Marie et on les obtient ; comment cela se fait-il ? ce n'est pas que Marie soit plus puissante que Dieu, mais c'est que Dieu a voulu honorer ainsi sa Mère.

Elle est bien consolante, la promesse que sainte Brigitte recueillit à ce sujet de la bouche du Seigneur lui-même. On lit dans ses Révélations, qu'elle entendit un jour Jésus qui parlait ainsi à sa Mère : Ma Mère, demandez-moi tout ce que vous voudrez ; je ne rejetterai jamais aucune de vos requêtes. Sachez en outre, ajoute-t-il, que tous ceux qui solliciteront de moi quelque grâce, en me priant de la leur accorder par l'amour de vous, je promets de les exaucer, fussent-ils pécheurs, pourvu qu'ils aient la volonté de s'amender. - La même chose fut révélée à sainte Gertrude. Elle entendit notre fin Rédempteur dire à Marie que, dans sa toute-puissance, il lui avait accordé d'user de miséricorde envers les pécheurs qui l'invoqueraient, et de le faire en la manière qui lui plairait davantage.

Que chacun donc, en invoquant cette Mère de miséricorde, lui dise avec grande confiance ce que lui disait saint Augustin : " Souvenez-vous, ô très clémente Reine, que, depuis l'origine du monde, on n'a jamais ouï dire que vous ayez abandonné personne. Pardonnez-moi donc, si j'ose vous déclarer que ne veux pas être abandonné de vous, après avoir eu recours à votre protection ".

PRIÈRE

O Mère de Dieu, Reine des anges et espérance des hommes, écoutez un pécheur qui vous implores et vous appelle à son secours. Me voici aujourd'hui prosterné à vos pieds ; moi, misérable esclave de l'enfer, je me consacre pour toujours à vous comme votre serviteur, et je m'offre à vous servir et à vous honorer de tout mon pouvoir, pendant toute ma vie. Vous ne retirerez aucune gloire, je le reconnais, des services d'un esclave vil et pervers comme moi, qui ai tant offensé Jésus-Christ, votre Fils et mon Rédempteur.

Mais si vous recevez un indigne au nombre de vos serviteurs ; si vous le rendez digne de cette qualité en le changeant par votre intercession, cette miséricorde même envers lui vous procurera la gloire que ne saurait vous rendre un misérable tel que je suis. Daignez me recevoir, ô ma Mère, et ne point me rebuter. Pour chercher les brebis perdues, le Verbe éternel est descendu du ciel sur la terre ; pour les sauver, il s'est fait votre Fils, et vous pourriez dédaigner une pauvre brebis qui vous prie de lui faire retrouver Jésus ? Déjà le prix de mon salut est acquitté ; déjà, en versant son sang précieux, mon Sauveur a payé pour moi une rançon qui suffirait à racheter des mondes en nombre infini ; il ne reste plus qu'à m'en appliquer les mérites, et cela dépend de vous, ô Vierge bénie ! Oui, dit saint Bernard, c'est à vous de dispenser à qui il vous plaît les mérites de son sang divin. Oui, dit aussi saint Bonaventure, vous pouvez sauver qui vous voulez.

Ainsi, ô ma Reine, assistez-moi ; ma douce Souveraine, sauvez-moi. Je remets aujourd'hui entre vos mains toute mon âme ; songez à la sauver. Je finis en vous disant avec le même saint Bonaventure : O vous, le salut de ceux qui vous invoquent, sauvez-moi !

Pour lire la suite :  Les Gloires de Marie - St Alphonse-Marie de Liguori
 

Sources : CEF -  E.S.M.

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Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 12.08.2008 - T/Méditation

 

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