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Méditation offerte par le cardinal Vanhoye au Pape Benoît XVI et à la Curie

 

Cité du Vatican, le 12 février 2008  - (E.S.M.) - La gloire du Christ consiste à avoir aimé jusqu'à à la fin, en rétablissant la communion entre nous pécheurs et son Père : c'est ce qu'à développé, le cardinal Vanhoye dans la première méditation des Exercices spirituels de Carême, en présence du Pape Benoît XVI et de la Curie.

La Chapelle Redemptoris Mater

Méditation offerte par le cardinal Vanhoye au Pape Benoît XVI et à la Curie

Le Card. Vanhoye à la Curie et au Pape : « La gloire du Christ consiste à avoir aimé jusqu'à la fin, en rétablissant la communion entre nous pécheurs et son Père »

Les exercices Spirituels pour le Carême, avec la participation du Pape Benoît XVI, sont en cours au Vatican. Commencés, hier après-midi à 18h, les Exercices se concluront samedi prochain. Les méditations sont proposées cette année par le cardinal Albert Vanhoye, secrétaire de la Commission Biblique Pontificale, sur le thème : « Nous accueillons le Christ notre ‘grand prêtre’, inspiré de la lettre aux Hébreux. Ce matin, le cardinal a tenu deux méditations sur les thèmes « Dieu nous a parlé en son Fils » et « le Christ est Fils de Dieu et notre frère ». Dans la semaine des Exercices Spirituels, toutes les audiences sont suspendues, y comprise l'Audience Générale de mercredi 13 février.

Le Dieu de la Bible n'est pas un Dieu muet. C'est un Dieu qui parle aux hommes pour entrer en communication, en communion avec eux. C’est la méditation offerte par le cardinal Vanhoye au Pape Benoît XVI et à la Curie dans la première méditation, tenue hier soir dans le Palais Apostolique. Notre Dieu, a-t-il poursuivi, veut établir et approfondir des rapports personnels avec nous. Une volonté de communication qui très éloquente lorsque le Seigneur parle à Moïse à travers le buisson ardent :

« Il est très intéressant de voir de quelle manière Dieu se définit. Il dit à Moïse : `Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, le Dieu de Jacob. Dieu ne se définit non pas avec son omnipuissance, ni avec son omniscience, mais il se définit par des relations personnelles avec quelques hommes sans importance »

Dieu, a souligné le cardinal, aurait eu de nombreuses raisons pour ne pas parler à son peuple, d’autant plus qu'il lui avait été infidèle, mais au contraire, il cherche cette relation. Jésus même, a t-il ajouté, lorsqu’il parle à la Samaritaine, accomplit un geste extraordinaire, vue l'inimitié entre les Juifs et la samaritaine. Il le fait, parce que c’est la volonté de Dieu, la volonté de communication. L'auteur de la Lettre aux Hébreux, a dit le cardinal Vanhoye, nous montre deux périodes dans la communication de la Parole de Dieu et deux sortes de médiateurs. La première, Dieu a parlé par les prophètes, pendant que dans la seconde période, la période eschatologique, il y a l'intervention décisive de Dieu par Son Fils, le médiateur parfait. Dans les méditations de ce matin, le cardinal Vanhoye s'est donc arrêté sur les deux aspects du nom du Christ, présentés dans la Lettre aux Hébreux. Il est le Fils de Dieu, mais aussi notre Frère, parce qu'il prend l’apparence humble de l'existence humaine. Donc, Jésus se rend solidaire de nous :

« Nous avons plus qu'un avocat, mais un frère qui intercède auprès de Dieu ; un frère qui a promis de nous annoncer, après sa glorification, le nom du Père et qui maintenant l'annonce. Un frère qui ne nous n'oublie pas dans sa gloire, parce que sa gloire est vraiment proportionnelle à sa solidarité avec nous ».

Le Fils, a réaffirmé le cardinal, est défini par sa relation avec le Père. Il est donc bien supérieur aux anges qui sont aussi des médiateurs entre nous et Dieu. Le cardinal Vanhoye a adressé cette pensée à l'étape décisive du Salut, le mystère pascal : « La gloire du Christ n'est pas la gloire d'un être ambitieux ou satisfait de ses entreprises, ni la gloire d'un guerrier qui a vaincu les ennemis par la force des armes, mais Il est la gloire de l'Amour, la gloire de l'avoir aimé jusqu'à la fin, d'avoir rétabli la communion entre nous pécheurs et son Père ».

Le Christ, donc, est avec le Père, le Seigneur du ciel et de la terre. Le Christ glorifié, a dit le cardinal, a le pouvoir de mettre fin à l'ancienne création, parce qu'il a inauguré la nouvelle création par Sa Résurrection.

 
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Sources:  www.vatican.va RV- E.S.M.

Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel

Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 12.02.2008 - BENOÎT XVI

 

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