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Benoît XVI : LE CHRIST, LE DERNIER HOMME
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Le 11 mars 2023 -
(E.S.M.)
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Après toutes nos réflexions, conclut le pape Benoit XVI, nous
devrions pouvoir affirmer tout d'abord ceci : la foi chrétienne
reconnaît en Jésus de Nazareth l'homme exemplaire — c'est là,
semble-t-il, la meilleure façon de rendre le sens du concept
paulinien du « dernier Adam », évoqué ci-dessous. Mais c'est
précisément comme homme exemplaire, comme l'homme type, qu'il
transcende la limite de l'humain.
[ndlr : lire absolument les
trois derniers § dans l'encadré en fin de page.]
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Mt 25, 31-46 -
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III. LE CHRIST, « LE DERNIER
HOMME »
Et nous voilà arrivés au point où nous pouvons essayer de
résumer la signification de la confession de foi : «
Je crois au Christ Jésus, le Fils unique de Dieu, notre Seigneur ».
Après toutes nos réflexions, nous devrions pouvoir affirmer tout d'abord
ceci : la foi chrétienne reconnaît en Jésus de
Nazareth l'homme exemplaire — c'est là, semble-t-il, la meilleure
façon de rendre le sens du concept paulinien du « dernier Adam », évoqué
ci-dessus. Mais c'est précisément comme homme exemplaire, comme l'homme
type, qu'il transcende la limite de l'humain. C'est par là seulement qu'il
est l'homme vraiment exemplaire. Car l'homme est en lui-même dans la mesure
où il est auprès de l'autre. Il ne se trouve qu'en se quittant; il ne se
trouve lui-même que par l'autre, en étant auprès de l'autre.
Cela vaut finalement en un sens plus profond. Si cet autre
n'est qu'un être quelconque, il peut conduire l'homme à sa perte.
L'homme, en dernière analyse, est ordonné à l'autre, à celui qui est
véritablement autre, à Dieu. Il est d'autant plus en lui-même qu'il
est plus près du tout autre, de Dieu.
Il est par conséquent tout à fait lui-même, quand il cesse de se tenir en
lui-même, de se replier sur lui-même, de s'affirmer lui-même, quand il est
pure ouverture à Dieu. Autrement dit : l'homme se
trouve en se dépassant. Or Jésus est l'homme qui s'est totalement
dépassé, et par là s'est vraiment trouvé.
Le Rubicon de « l'hominisation » est tout d'abord franchi
par le passage de l'animal au logos,
de la simple vie à l'esprit.
L' « argile »
est devenue l'homme, au moment où cet être n'a
plus simplement été là (da war),
mais où, dépassant l'être-là (das Da-Sein) et la
réalisation de ses exigences, il s'est ouvert sur le Tout. Mais ce
passage, par lequel le logos, l'intelligence, l'esprit pénétrèrent
pour la première fois dans notre univers, n'est pleinement accompli que
lorsque le
logos lui-même, le Sens Créateur tout entier, et l'homme se
compénètrent. Pour que l'homme devienne pleinement homme, il faut que Dieu
devienne homme.
C'est alors seulement que le Rubicon, le passage de
«
l'animal » au «
logique », est définitivement franchi ; c'est
alors seulement que se trouve conduit jusqu'à ses plus hautes possibilités
le commencement posé au moment où pour la première fois un être de terre et
de poussière, portant son regard au-delà de lui-même et de son
environnement, a pu dire «
Tu » à Dieu.
C'est l'ouverture au Tout, à l'Infini, qui fait
l'homme. L'homme est homme par le fait qu'il tend infiniment au-delà
de lui-même ; il est par conséquent d'autant plus homme qu'il est moins
replié sur lui-même, moins « limité » (beschränkt). Mais alors -
répétons-le - celui-là est le plus homme, l'homme
véritable, qui est le plus illimité (ent-schränkt), qui non
seulement
entre en contact avec l'infini - l'Infini -
mais est un avec lui :
Jésus-Christ. En lui, le processus d'hominisation est
arrivé véritablement à son terme
23.
Mais une deuxième considération s'impose. Nous avions jusqu'à
présent essayé de comprendre, à partir de l'idée de « l'homme exemplaire »,
le premier dépassement fondamental de l'être particulier, dépassement que la
foi considère comme décisif pour la figure de Jésus, celui par lequel se
trouvent réunis en Lui l'humain et le divin. Ce dépassement en impliquait
déjà un autre. Si Jésus est l'homme exemplaire, en qui la vraie essence de
l'homme, telle que Dieu l'avait conçue,
se manifeste pleinement, alors il ne peut pas être destiné à ne former
qu'une exception absolue, une curiosité, où Dieu nous démontre tout ce qui
est possible. Son existence concerne alors l'humanité tout entière. Le
Nouveau Testament met cela en évidence, en appelant Jésus-Christ un «
Adam ». Dans la Bible ce mot exprime l'unité de toute la réalité
humaine, au point que l'on parle de l'idée biblique de « personnalité
corporative 24 ». Le fait
donc que Jésus soit appelé «
Adam » montre qu'il est destiné à rassembler en
Lui toute la réalité «
Adam ». Ce qui veut dire que la réalité, très
souvent incompréhensible pour nous aujourd'hui, appelée par Paul « Corps du
Christ », est une exigence interne de cette existence qui ne doit pas
demeurer à l'état d'exception, mais «
attirer à elle » toute
l'humanité (comp.
Jn 12, 32).
C'est un grand mérite de Teilhard de Chardin d'avoir
repensé ces rapports à partir de l'image actuelle du monde, de les avoir,
dans l'ensemble, compris avec justesse, malgré une tendance au biologique
qui pourrait appeler quelques réserves, et en tout cas, de les avoir à
nouveau rendus accessibles. Écoutons-le lui-même. La monade humaine « ne
peut être absolument elle-même qu'en cessant d'être seule
25 », Cette affirmation
sous-entend l'idée que, dans le cosmos, à côté des deux ordres de
l'infiniment petit et de l'infiniment grand, il y a un troisième ordre qui
détermine la véritable dérive de l'évolution : l'ordre de l'infiniment
complexe. Il est le but véritable du processus du devenir ascendant ; il
atteint un premier point culminant lorsque apparaît le vivant, pour
progresser ensuite jusqu'à ces formes très complexes qui donnent au cosmos
un nouveau centre : « Si imperceptible et accidentelle soit la place
qu'elles tiennent dans l'histoire des corps sidéraux, les planètes n'en sont
rien moins, finalement, que les points vitaux de l'univers. C'est par elles
que passe maintenant l'axe, c'est sur elles que se concentre désormais
l'effort d'une évolution principalement tournée vers la fabrication des
grosses molécules 26. » La
considération de l'univers d'après l'échelle dynamique de la complexité
représente « un complet renversement des valeurs. Un retournement de la
perspective » 27. »
Mais revenons à l'homme. Il est le maximum de complexité
atteint jusqu'à présent. Mais lui non plus ne peut pas encore, en tant que
simple monade-humaine, représenter une fin en soi ; pour devenir lui-même,
il exige une complexification ultérieure : « L'homme en même temps qu'un
individu centré par rapport à soi (c'est-à-dire une « personne ») ne
représente-t-il pas un élément, par rapport à quelque nouvelle et plus haute
synthèse 28 ? » C'est-à-dire
que l'homme, d'une part, représente déjà une fin que l'on n'a plus le droit
de révoquer, de dissoudre, et cependant, dans la juxtaposition des hommes
isolés, il n'est pas encore arrivé au but, mais se révèle pour ainsi dire
comme un élément, aspirant à un tout qui l'intègre sans le détruire. Prenons
encore un autre texte, pour voir dans quelle direction ces idées nous
conduisent : « Contrairement aux apparences encore admises par la Physique,
le Grand Stable n'est pas au-dessous - dans l'infra-élémentaire -, mais
au-dessus - dans l'ultra-synthétique
29. » Ainsi l'on découvre que : «
Si les choses tiennent et se tiennent, ce n'est qu'à force de complexité,
par en haut
30. » Je crois que nous nous trouvons là devant une affirmation
capitale; l'image dynamique de l'univers ruine sur ce point la
représentation positiviste qui nous est si naturelle et pour qui la réalité
permanente est uniquement la « masse », la matière solide. Le fait que
l'univers est finalement construit et maintenu « par en haut » apparaît
d'une manière d'autant plus impressionnante que nous y sommes moins
habitués.
Cela nous introduit à un autre texte - pour esquisser au
moins ici par quelques fragments mis bout à bout la vision globale de
Teilhard : « Sous peine d'être moins évoluée que les termes que son action
anime, l'Énergie universelle doit être une Énergie Pensante. Et par
suite... les attributs de valeur cosmique dont elle s'irradie à nos yeux
modernes ne suppriment en rien la nécessité où nous sommes de lui
reconnaître une forme
transcendante de Personnalité 31.
» A partir de là, on peut aussi comprendre la façon dont Teilhard voit le
point d'aboutissement de tout le mouvement : la dérive cosmique se meut « en
direction d'un incroyable état quasi ' mono-moléculaire '... où chaque
ego est destiné à atteindre son paroxysme dans quelque mystérieux
super-ego 32
». Il est vrai que l'homme, en tant qu'il est un ego,
représente une fin, mais la direction du mouvement de l'être, de sa propre
existence, le révèle comme un organisme destiné à un
super-ego qui ne le dissout pas mais l'englobe ; seule cette
intégration pourra faire apparaître la forme de l'homme à venir, dans
laquelle l'homme aura atteint pleinement le but et le sommet de son être.
On reconnaîtra certainement que cette synthèse, élaborée à
partir de la vision actuelle du monde, avec un vocabulaire parfois sans
doute par trop biologique, est cependant fidèle à la christologie
paulinienne, dont l'orientation profonde est bien perçue et rendue à une
nouvelle intelligibilité : la foi voit en Jésus l'homme dans lequel s'est
réalisée en quelque sorte - pour reprendre le schéma biologique - la
mutation suivante du processus d'évolution ; l'homme en qui a eu lieu la
percée hors de la condition limitée de notre être d'homme, hors de son
isolement monadique ; l'homme en qui la personnalisation et la socialisation
ne s'excluent plus mais se confirment ; l'homme en qui l'unité suprême - le
«
Corps du Christ » comme dit Paul, ou d'une
manière encore plus nette : «
Car tous vous ne faites qu'un dans le Christ Jésus
» (Ga 3, 28) - et l'individualité suprême coïncident ; l'homme en qui
l'humanité touche son avenir et se réalise pleinement elle-même, parce que
par Lui elle touche Dieu-même, participe à Dieu et parvient ainsi à ce qui
fait ses plus intimes possibilités. A partir de là, la foi verra dans le
Christ le commencement d'un mouvement qui fait entrer de plus en plus
l'humanité divisée dans l'être d'un unique Adam,
d'un unique «
corps », dans l'être de l'homme à venir. Elle
verra dans le Christ le mouvement vers cet avenir de l'homme, où celui-ci
est totalement « socialisé », incorporé à l'Unique, de telle manière
cependant que l'individu n'y soit pas dissous, mais parvienne à devenir
lui-même.
Il ne serait pas difficile de montrer que la théologie
johannique va dans le même sens. Rappelons-nous simplement le mot auquel
nous avons déjà fait allusion plus haut : « Quand je
serai élevé de terre, j'attirerai tous les hommes à moi » (Jn 12,
32).
Cette phrase veut expliquer le sens de la mort de
Jésus sur la croix ; elle exprime ainsi, étant donné que la croix est au
centre de la théologie johannique, l'orientation de tout l'Évangile.
La crucifixion y apparaît comme une ouverture sur les
autres, où les monades humaines éparses sont attirées dans l'étreinte de
Jésus-Christ, réunies dans le vaste espace de ses mains étendues, pour
parvenir, dans ce rassemblement, à leur but, au but de l'humanité.
Mais, s'il en est ainsi, le Christ, en tant qu'homme à venir, n'est pas
l'homme pour soi, mais essentiellement l'homme pour les autres; l'homme à
venir, il l'est précisément en tant qu'ouvert à tous. L'homme pour soi, qui
ne veut que subsister en lui-même, est alors l'homme du passé que nous
devons laisser derrière nous, pour aller de l'avant. Autrement dit :
l'avenir de l'homme est dans « l'être-pour
» (Sein-für). Ici se confirme, au fond, encore une fois, ce que nous
avons reconnu être le sens de la filiation, et le sens de la doctrine des
trois personnes en un seul Dieu : tout cela nous renvoie à l'existence
dynamique et « actuelle », qui est essentiellement ouverture dans le
mouvement entre le « à partir-de » et le « pour ».
Une fois de plus, il apparaît que le Christ est
l'homme totalement ouvert, en qui les cloisons de l'existence sont démolies,
qui est tout entier «
passage » (Pascha).
Nous voilà de nouveau directement en présence du mystère
de la croix et de Pâques, qui a été de fait compris par la Bible comme
un mystère de passage. Jean, qui a
particulièrement médité ces idées, conclut sa présentation du Jésus
terrestre par l'image de l'existence dont les cloisons ont été percées, qui
ne connaît plus de limites fermes, qui est essentiellement
ouverture. « L'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté, et
aussitôt il sortit du sang et de l'eau » (Jn 19, 34). Pour Jean,
l'image du côté transpercé est le point culminant non seulement de la scène
de la croix, mais de toute l'histoire de Jésus. Maintenant, après le coup de
lance, qui a mis fin à sa vie terrestre, son existence est tout ouverte ;
c'est maintenant qu'il est entièrement « pour », c'est maintenant qu'il
n'est véritablement plus un isolé, mais « Adam
»
du côté duquel est tirée Eve une nouvelle humanité.
Cette image profonde de l'Ancien Testament qui nous montre la femme tirée du
côté de l'homme (Gn 2 2l ss), et qui exprime, d'une manière admirable
et inimitable, la perpétuelle interdépendance et interrelation des deux,
ainsi que leur unité dans l'unique être humain, cette scène donc semble être
évoquée ici par la reprise du mot «
côté » (ακτή), qu'on traduit habituellement à
tort par « côte ». Le côté ouvert du Nouvel Adam
répète le mystère de la création du « côté
ouvert
» de l'homme : il est le commencement
d'une communauté nouvelle et définitive entre les hommes ;
celle-ci est symbolisée ici par le sang et l'eau,
figurant les sacrements chrétiens fondamentaux du baptême et de
l'eucharistie, et à travers eux l'Église, comme signe de la
nouvelle communauté des hommes
33. Celui qui est tout ouvert,
qui réalise l'être entièrement comme accueil et communication, manifeste
ainsi ce qu'il a toujours été profondément, c'est-à-dire « Fils ». Ainsi
Jésus sur la croix est-il entré véritablement dans son heure, selon
l'expression de Jean. Le sens de cette formule énigmatique devrait par là
s'éclaircir quelque peu.
Mais l'ensemble montre également
quelles exigences l'on sous-entend en parlant de l'homme à venir, et combien
tout cela est loin d'un gai romantisme du progrès. Car, être l'homme
pour les autres, l'homme ouvert, et ouvrant par le fait même la voie à un
nouveau commencement, c'est être l'homme dans le sacrifice, l'homme
sacrifié. L'avenir de l'homme est attaché à la croix, la rédemption de
l'homme, c'est la croix. L'homme ne saurait se trouver qu'en laissant
abattre les murs de son existence et en regardant celui qui a été transpercé
(Jn 19, 37), en suivant celui qui, en tant que transpercé, ouvert, a
ouvert la voie vers l'avenir. Cela veut dire finalement que le christianisme
qui, dans sa foi à la création, affirme le primat du logos et
considère le Sens Créateur comme principe et commencement, voit également
dans ce logos, d'une certaine manière, le but, l'avenir, Celui qui
doit venir. Ce regard vers celui qui doit venir constitue même la véritable
dynamique historique du christianisme, qui dans l'Ancien et le Nouveau
Testament vit la foi comme espérance en la promesse.
La foi chrétienne n'est pas seulement regard rétrospectif sur
le passé, ancrage dans une origine qui est derrière nous dans le temps ;
penser ainsi reviendrait finalement à du romantisme et à une optique de
simple restauration. Elle n'est pas non plus seulement une perspective sur
l'éternel ; ce serait du platonisme et de la métaphysique.
Elle est avant tout aussi regard en avant,
anticipation de l'espérance. Certes, elle n'est pas que cela :
l'espérance deviendrait utopie, si son but n'était que la création propre de
l'homme. Elle est véritable espérance par le fait
qu'elle se situe dans le système de coordonnées de toutes les trois
dimensions :
du passé, c'est-à-dire du passage déjà
accompli ;
du présent de l'éternel qui unifie le temps divisé
; de l'avenir, où Dieu et le monde entreront en
contact et où véritablement Dieu dans le monde, le monde en Dieu, sera comme
l'Oméga de l'histoire.
Du point de vue de la foi chrétienne, on est en droit de dire
: pour l'histoire, Dieu est au bout ; pour l'être, il est au commencement.
En cela se dessine l'horizon très vaste du christianisme, qui le distingue
aussi bien de la pure métaphysique que de l'idéologie marxiste de l'avenir.
Depuis Abraham et jusqu'au retour du Seigneur, la foi tend vers l'avenir.
Mais dans le Christ, le visage de l'avenir s'est déjà révélé à elle : cet
avenir, ce sera l'homme qui peut embrasser toute l'humanité parce qu'il
s'est livré et qu'il a livré l'humanité à Dieu. C'est pour cette raison que
le signe de l'avenir doit être la croix, et que le visage de l'avenir dans
ce monde doit être la face couverte de sang et de plaies : le «
dernier homme », c'est-à-dire l'homme
authentique, l'homme à venir, se manifeste, durant ce temps-ci,
dans les derniers des hommes ; celui qui voudra être de son côté devra se
tenir de leur côté (comp. Mt 25, 31-46). [ndlr : La « parabole
» du Jugement Dernier]
Notes de texte :
23. Pour cet essai d'interprétation, cf. B. WELTE, « 'L'Homousios hemin'
Gedanken zum Verständnis und zur theologischen Problematik der Kategorien
von Chalkedon », dans A. GRILLMEIER-H. BACHT, Das Konzil von Chalkedon,
III, Würzburg, 1954, pp. 51-80. - K. RAHNER « Réflexions théologiques sur
l'Incarnation, » dans Écrits théologiques, III, Paris, 1963, pp. 79-101; -
du même, « La Christologie à l'intérieur d'une vision évolutive du monde »,
dans Science, évolution et pensée chrétienne. Paris, 1967, pp. 121-168.
24. Cf. J. PEDERSEN, Israël,
Its Life and Culture, 2 vol., London, 1926 et
1940; -H. W. ROBINSON, « The Hebrew Conception of corporate personality, »
dans, Beihefte zur Zeitschrift für die alttestamentliche Wissenschaft, 66
(Berlin, 1936), pp. 49-62: - J. DE FRAINE,
Adam et son lignage, Bruges,
1959.
25. Cité d'après C. TRESMONTANT,
Introduction à la pensée de Teilhard de
Chardin, Paris, 1956, p. 68.
26. Ibid., p. 38.
27. Ibid., p. 37.
28. Ibid., p. 68.
29. Ibid., p. 72.
30. Ibid., p. 72.
31. Ibid., p. 78.
32. Ibid., p. 69.
33. Cf. O. COLLMANN, La foi et le culte dans l'Église primitive,
Neuchâtel,
1963, pp. 131 ss.; - J. BETZ,
Die Eucharistie In der Zelt der griechischen Väter, II, 1 : « Die Realpräsenz des Leibes und Blutes Jesu im Abendland
nach dem NT », Freiburg, 1961, pp. 189-200.
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Sources :Texte original des écrits du Saint Père Benoit XVI -
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 11.03.2023
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