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19 Avril 2005
 

Benoît XVI nomme le card. Bertone, son Légat à la VIe Rencontre mondiale des familles

 

Le 07 janvier 2009 - (E.S.M.) - Samedi a été rendue publique la lettre rédigé en latin datée du 28 décembre par laquelle le pape Benoît XVI nomme le Cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d'État, son Légat à la VIe Rencontre mondiale des familles qui auront lieu à Mexico, du 13 au 18 janvier prochain.

Le cardinal Bertone 

Benoît XVI nomme le card. Bertone, son Légat à la VIe Rencontre mondiale des familles à Mexico

“L’enfant fonde le nouveau droit de la famille.”

Le 07 janvier 2009 -  Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Samedi a été rendue publique la lettre rédigé en latin datée du 28 décembre par laquelle le pape Benoît XVI nomme le Cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d'État, son Légat à la VIe Rencontre mondiale des familles qui auront lieu à Mexico, du 13 au 18 janvier prochain. Le Cardinal Bertone sera accompagné de l'Abbé Rogelio Alcántara Mendoza, Directeur spirituel du séminaire Santa María de Guadalupe, et de l'Abbé Martín Muñoz López, Aumônier du choeur de la basilique de Guadalupe.

Dans sa lettre, le Saint-Père Benoît XVI rappelle en quoi la famille est une cellule essentielle pour l’Église. "Les parents sont les principaux éducateurs de leurs enfants" lit-on dans le message. Il est nécessaire d’aider les familles qui sont le plus dans le besoin ainsi que de soutenir les mères. A la suite d’une lettre apostolique de Jean-Paul II, ce texte revient sur le rôle de la famille dans la mission de l’Église dans le monde.

Des milliers de familles se rassembleront du 13 au 18 janvier à Mexico, capitale mexicaine et Benoît XVI s'unira à cet événement grâce aux nouvelles technologies de la communication.

C'est le pape Jean Paul II qui a créé les rencontres mondiales des familles dont le premier rassemblement se déroula à Rome en 1994 à l'occasion de l'Année internationale de la famille proclamée par les Nations unies.

Lettre du saint-Père Latin
Rencontre mondiale des familles, Benoît XVI lira deux messages en direct

La famille éclatée

La famille, cellule de base de la société, est ébranlée. Les chiffres en France en témoignent. Une régression sociale voulue par la dictature du relativisme, qui nous rejette des siècles en arrière.

Jean-Michel Beaussant

Défenseur des enfants, Dominique Versini a remis son rapport annuel au Président de la République en novembre dernier. Il portait cette fois sur la famille en des termes statistiques dont la froideur scientifique ne peut cacher l’immense régression collective.

4 866 000 couples sont mariés et 1 464 000 parents cohabitent
(en 2004). Le nombre de mariages est en baisse constante (266 500 en 2007 contre 300 000 en 2000) tandis que le pacs (pacte civil de solidarité) a quintuplé depuis novembre 1999. La moitié des naissances en 2007 ont lieu hors mariage.

Divorces et contentieux

Mais quel que soit le mode d’union, les séparations sont en augmentation. Les divorces se banalisent
(139 147 en 2006 contre 115 000 de 1991 à 2002) et six divorces sur dix impliquent un ou plusieurs enfants mineurs. Près de la moitié des divorces (48 %) donnent lieu à des contentieux. Dans 85 % des cas, le juge entérine un accord sur la résidence et la pension alimentaire. Dans le reste des cas, il tranche en fin de procédure ou prend une décision en l’absence d’un des parents.

Les couples qui cohabitent se séparent plus souvent que les couples mariés : 18 % des couples concubins dans les années 1990-1994 se sont séparés dans les cinq ans contre 10 % des couples mariés. Les parents non mariés qui se séparent peuvent conclure un accord entre eux ou s’adresser au juge des affaires familiales. Résultat : un enfant sur quatre aujourd’hui ne vit pas avec ses deux parents
(2,84 millions). Dans 85 % des cas il vit avec sa mère. Près de 1,6 million d’enfants vivent dans une famille recomposée. Une situation « qui se révèle aussi instable que l’union parentale », souligne le rapport. Entre 11 % et 20 % des enfants vivent en résidence alternée, à temps égal chez le père ou la mère. Un enfant sur quatre voit son père une fois par semaine, mais 22% ne le rencontrent que quatre fois par an. 18 % ne le voient jamais. 17 % des enfants de parents séparés sont désormais élevés aussi par leur père seul.

Enfin, 30 000 enfants, selon ce rapport, vivent dans des « familles » homoparentales à plein temps
(deux papas ou deux mamans, ou deux papas et deux mamans…). Si la séparation des parents est toujours un traumatisme pour l’enfant, commente honnêtement Dominique Versi-ni, la séparation conflictuelle est « une vraie souffrance » aux répercussions durables, le conflit empêchant davantage encore les parents d’assumer leurs tâches éducatives. « La famille est en mouvement permanent », conclut l’étude. Et c’est bien cette révolution permanente qui pose problème pour l’enfant. Le mariage n’est plus l’union stable et durable (indissoluble) d’un homme et d’une femme ayant le projet d’avoir et d’éduquer des enfants, fondant ainsi la famille comme cellule de base de la société. C’est l’enfant, désormais ballotté entre des individus s’unissant et s’échangeant dans des contrats révocables à merci, qui fonde le nouveau droit de la famille. Selon la fameuse formule d’Irène Théry : « L’individu devient la véritable cellule de base, la famille étant désormais non un groupe prédéfini mais le réseau que dessinent a posteriori des échanges interindividuels de plus en plus autonomes et sélectifs. »

Régression sociale

L’effrayante régression sociale consiste dans le rejet de ce que des siècles et même des millénaires avaient induit comme vérité de civilisation : on n’a pas découvert en un jour, comme dit Hugues Kéraly
(sur son site sedcontra.fr), que la monogamie était préférable au tribalisme sexuel : « Les vérités morales et politiques ont longtemps relevé d’un statut “scientifique”, où les notions de bien et de mal se rattachent à l’ordre individuel et social des choses humaines, c’est-à-dire à une nature et à la connaissance de sa vérité. » Tel n’est plus le cas, hélas, avec la dictature du relativisme et du subjectivisme : on juge l’arbre à ses fruits… (hommenouveau)

Rencontre Mondiale des familles à Mexico - Janvier 2009
 

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Sources : www.vatican.va -  (E.S.M.)
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M. sur Google actualité)  07.01.2009 - T/Famille

 

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