Un principe non négociable pour Benoît XVI,
la Famille |
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Cité du Vatican, le 01 février 2008 -
(E.S.M.) - La « Lettre sur
l’Education », envoyée par le Saint-Père Benoît XVI au Diocèse et à la
Ville de Rome, qui sera remise officiellement au Cardinal Vicaire et aux
fidèles le 23 février prochain, indique comment la Famille, fondée sur
le mariage entre un homme et une femme, constitue le noyau fondamental
de toute éducation possible, comme étant le milieu naturel de la
coexistence humaine où les joies et les peines, l’amour et le sacrifice
se mêlent savamment, en éduquant la personne à devenir adulte, mûre et
responsable.
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Un principe non négociable pour Benoît XVI, la Famille
VATICAN - LES PAROLES DE LA DOCTRINE par l’Abbé Nicola Bux et l’Abbé
Salvatore Vitiello - Le bien commun a un nom: Famille!
Parmi les « principes non négociables », rappelés avec autorité à plusieurs
reprises par le Magistère du Saint-Père le Pape Benoît XVI, il y en a un qui
pourrait être défini comme étant « inclusif », au sens que sa défense et sa
promotion comprennent de nombreux autres principes indispensables à la vie
sociale : c’est la Famille.
La «
Lettre sur l’Education », elle-même, envoyée par Benoît XVI au
Diocèse et à la Ville de Rome, qui sera remise officiellement au Cardinal
Vicaire et aux fidèles le 23 février prochain, dans la salle Paul VI,
indique comment la Famille, fondée sur le mariage entre un homme et une
femme, constitue le noyau fondamental de toute éducation possible, comme
étant le milieu naturel de la coexistence humaine où les joies et les
peines, l’amour et le sacrifice se mêlent savamment, en éduquant la personne
à devenir adulte, mûre et responsable.
Le catholique sait bien que la doctrine sociale de l’Eglise, qui s’inspire
constamment à la raison humaine et au droit naturel, n’a pas un caractère
exclusivement confessionnel, mais est un bien objectif pour toute
l’humanité. Dans ce domaine, elle n’a donc aucune valeur l’objection selon
laquelle « ce qui vaut pour les catholiques, ne peut valoir pour tous, ou
pire encore, que « on ne peut imposer une morale confessionnelle au monde
civil ». La
Doctrine
sociale catholique ne regarde pas, seulement, à l’ordre
public ou aux intérêts. Elle propose le véritable bien commun, dont le nom,
dans les circonstances actuelles est : FAMILLE.
L’avenir d’un Pays, et aussi de la catholique Italie, se mesure désormais,
fondamentalement sur le bien commun de la Famille. Dans la mesure où la
famille naturelle sera protégée, soutenue même au point de vue économique,
défendue de dérives juridiques dangereuses et artificielles, mise en mesure
d’exister, d’accueillir la vie et d’éduquer dans la liberté, alors, il
pourra y avoir un avenir. L’avenir, comme le bien commun, s’appelle Famille.
Dans l’avenir, tout gouvernement, en Italie, en Espagne ou dans d’autres
nations, et avec lui toute nouvelle proposition politique, devront
nécessairement se mesurer, et être jugées par tous, à la lumière du bien
commun de la Famille, auquel on ne peut renoncer.
Pour ce qui concerne le bien commun, on ne peut plus admettre « des
transformismes de la dernière heure », des déclarations formelles, qui sont
suivies par des attitudes juridiques diamétralement opposées, par des
défenses scénographiques de la Famille, d’un côté, et des tentatives faites
pour proposer des registres pour des couples de fait indifférenciés,
sexuellement, d’un autre côté. S’il ne nous revient pas d’entrer dans le
domaine strictement politique, toutefois, en tant que personnes, nous ne
pouvons pas ne pas faire remarquer que ces attitudes mènent à l’implosion,
de l’intérieur, de ce qui a été proposé comme nouveau dans plusieurs
Nations. Le nouveau s’appellera Famille ; le nouveau s’appellera cohérence.
L’avenir s’appelle Famille, et quiconque veut parler de l’avenir, en
promettant des nouveautés, ne pourra pas tromper les gens sur le bien
commun. La stabilité des personnes, des jeunes, de la société elle-même, et
l’efficacité de l’éducation, ont leur propre racine dans le bien commun de
la Famille, et seuls ceux qui défendront la Famille pourront vraiment servir
leur Pays, l’avenir et le véritable bien commun.
Comme le rappelle le Catéchisme de l’Eglise Catholique : « Le salut de la
personne et de la société humaine et chrétienne est étroitement lié à une
situation heureuse de la communauté conjugale et familiale »
(cf.
Le
Catéchisme de l'Eglise catholique, n.1603)
►
La
famille fondée sur le mariage
Sources:
www.vatican.va-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 01.02.2008 - BENOÎT XVI -
Famille |