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19 Avril 2005
 

Discours prononcé par Benoît XVI lors du consistoire

 

ROME, Mardi 28 mars 2006  – Texte intégral du discours que le pape Benoît XVI a prononcé à l’occasion du consistoire ordinaire public pour la création de quinze nouveaux cardinaux, qui s’est déroulé sur le parvis de la Basilique Saint-Pierre.

 

1- Discours prononcé par Benoît XVI lors du consistoire

2- Le consistoire, moment de « fraternité intense », souligne Benoît XVI

Discours prononcé par Benoît XVI lors du consistoire

ROME, Mardi 28 mars 2006  – Texte intégral du discours que le pape Benoît XVI a prononcé à l’occasion du consistoire ordinaire public pour la création de quinze nouveaux cardinaux, qui s’est déroulé sur le parvis de la Basilique Saint-Pierre.

Vénérés Cardinaux, Patriarches et Evêques,
Mesdames et Messieurs,
Chers frères et sœurs!

En cette veille de la solennité de l'Annonciation du Seigneur, le climat pénitentiel du Carême laisse la place à la fête : aujourd'hui, en effet, le Collège des cardinaux s'enrichit de quinze nouveaux membres. Je vous adresse avant tout à vous, chers frères, que j'ai eu la joie de créer cardinaux, mon salut le plus cordial, et je remercie le card. William Joseph Levada pour les sentiments et les pensées qu'il vient de m'exprimer en votre nom à tous. Je suis heureux de pouvoir saluer également les autres cardinaux, les vénérés patriarches, les évêques, les prêtres, les religieux et les religieuses, ainsi que les nombreux fidèles, en particulier les familles qui sont venues accompagner les nouveaux cardinaux dans la prière et dans la joie chrétienne. Je souhaite la bienvenue avec une reconnaissance particulière aux éminentes autorités gouvernementales et civiles, qui représentent diverses nations et institutions. Le consistoire ordinaire public est un événement qui manifeste avec une grande éloquence la nature universelle de l'Eglise, présente à chaque extrémité de la terre pour annoncer à tous la Bonne Nouvelle du Christ sauveur. Le bien-aimé Jean-Paul II en célébra neuf, contribuant ainsi de façon déterminante à renouveler le Collège cardinalice, selon les orientations que le Concile Vatican II et le serviteur de Dieu Paul VI avaient données. S'il est vrai qu'au cours des siècles, de nombreux changements ont eu lieu concernant le Collège cardinalice, la substance et la nature essentielle de cette importante institution ecclésiale n'ont toutefois pas changé. Ses antiques racines, son développement historique et sa composition actuelle en font véritablement une sorte de « Sénat », appelé à coopérer de manière étroite avec le Successeur de Pierre dans l'accomplissement des devoirs liés à son ministère apostolique universel.

La Parole de Dieu qui vient d'être proclamée, nous fait remonter dans le temps. Avec l'évangéliste Marc, nous sommes remontés à l'origine même de l'Eglise et, en particulier, à l'origine du ministère pétrinien. Avec les yeux du cœur, nous avons revu le Seigneur Jésus, à la louange et à la gloire duquel est totalement orienté et consacré l'acte que nous accomplissons. Il nous a adressé des paroles qui ont rappelé à notre esprit la définition du Pontife romain chère à saint Grégoire le Grand: « Servus servorum Dei ». En effet, Jésus, expliquant aux douze Apôtres que leur autorité devrait s'exercer de façon tout à fait diverse de celle des « chefs des nations », résume cette modalité dans le style du service: « Celui qui veut devenir grand sera votre serviteur (diÅkono°). Celui qui veut être le premier sera l'esclave de tous (ici Jésus utilise un mot plus fort, doulo°) » (Mc 10, 43-44). La disponibilité totale et généreuse dans le service aux autres est le signe distinctif de celui qui, dans l'Eglise, a une place qui fait autorité, car il en a été ainsi pour le Fils de l'homme, qui n'est pas venu « pour être servi mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mc 10, 45). Tout en étant Dieu, et précisément poussé par sa divinité, Il prend la forme de serviteur — « formam servi » — comme l'exprime admirablement l'hymne au Christ contenu dans l'Epître aux Philippiens (cf. 2, 6-7).

Le premier « Serviteur des serviteurs de Dieu » est donc Jésus. Derrière Lui, et unis à Lui, se trouvent les Apôtres ; et parmi ceux-ci, de façon particulière, Pierre, auquel le Seigneur a confié la responsabilité de guider son troupeau. Le devoir du pape est de devenir le premier le serviteur de tous. Le témoignage de cette attitude ressort clairement de la première lecture de cette liturgie, qui nous repropose une exhortation de Pierre aux « prêtres » et aux anciens de la communauté (cf. 1 P 5, 1). Il s'agit d'une exhortation faite avec l'autorité que l'Apôtre possède pour avoir été témoin des souffrances du Christ, Bon Pasteur. On sent que les paroles de Pierre proviennent de l'expérience personnelle de service au troupeau de Dieu, mais avant et plus encore, elles sont fondées sur l'expérience directe de l'attitude de Jésus : de sa façon de servir jusqu'au sacrifice de soi, de son humiliation jusqu'à la mort et à la mort sur une croix, ne plaçant sa confiance que dans le Père, qui l'a exalté au moment opportun. Pierre, comme Paul, a été intimement « conquis » par le Christ — « comprehensus sum a Christo Iesu » (cf. Ph 3, 12) — et, comme Paul, il peut exhorter les anciens avec une pleine autorité, car ce n'est plus lui qui vit, mais le Christ qui vit en lui — « vivo autem iam non ego, vivit vero in me Christus » (Ga 2, 20).

Oui, vénérés et chers frères, ce qu'affirme le Prince des Apôtres est parfaitement adapté à celui qui est appelé à revêtir la pourpre cardinalice: « Je m'adresse à ceux qui exercent parmi vous la fonction d'Anciens, car moi aussi je fais partie des Anciens, je suis témoin de la passion du Christ, et je la communierai à la gloire qui va se révéler » (1 P 5, 1). Il s'agit de paroles qui, même dans leur structure essentielle, rappellent le mystère pascal, particulièrement présent dans notre cœur en ces jours de carême. Saint Pierre les applique à lui-même, en tant que faisant « partie des Anciens » (sumpresbµtero°), laissant ainsi entendre que l'Ancien dans l'Eglise, le prêtre, en vertu de l'expérience acquise au cours des années et des épreuves subies et surmontées, doit être particulièrement « en harmonie » avec l'intime dynamisme du mystère pascal. Combien de fois, chers frères, qui venez de recevoir la dignité cardinalice, vous avez trouvé dans ces paroles un motif de méditation et d'encouragement spirituel à suivre les traces du Seigneur crucifié et ressuscité ! Celles-ci trouveront une confirmation supplémentaire et exigeante dans ce que votre nouvelle responsabilité demandera de vous. Plus étroitement liés au successeur de Pierre, vous serez appelés à collaborer avec lui dans l'accomplissement de son service ecclésial particulier, et cela signifiera pour vous une participation plus intense au mystère de la Croix dans le partage des souffrances du Christ. Et nous sommes tous réellement témoins de ses souffrances aujourd'hui, dans le monde, ainsi que dans l'Eglise, et c'est précisément de cette manière que nous participons également à sa gloire. Cela vous permettra de puiser plus abondamment aux sources de la grâce et d'en diffuser les fruits bénéfiques de façon plus efficace autour de vous.

Vénérés et chers frères, je voudrais résumer le sens de votre nouvel appel dans la parole que j'ai placée au centre de ma première Encyclique : caritas. Elle s'associe également bien à la couleur de l'habit cardinalice. Que la pourpre que vous revêtez soit toujours l'expression de la caritas Christi, en vous encourageant à un amour passionné pour le Christ, pour son Eglise et pour l'humanité. Vous avez à présent un motif supplémentaire pour vous efforcer de revivre les mêmes sentiments qui poussèrent le Fils de Dieu fait homme à verser son sang en expiation des péchés de l'humanité tout entière. Je compte sur vous, vénérés frères, je compte sur tout le Collège dont vous faites à présent partie, pour annoncer au monde que « Deus caritas est », et pour le faire avant tout à travers le témoignage d'une communion sincère entre les chrétiens : « A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres » (Jn 13, 35), dit Jésus. Je compte sur vous, chers frères cardinaux, pour faire en sorte que le principe de la charité puisse rayonner et réussisse à vivifier l'Eglise à tous les niveaux de sa hiérarchie, dans chaque communauté et institut religieux, dans toute initiative spirituelle, apostolique et d'animation sociale. Je compte sur vous afin que l'effort commun de fixer notre regard sur le Cœur ouvert du Christ rende plus sûr et plus rapide le chemin vers la pleine unité des chrétiens. Je compte sur vous afin que, grâce à la valorisation attentive des petits et des pauvres, l'Eglise offre au monde de façon incisive l'annonce et le défi de la civilisation de l'amour. Je suis heureux de voir tout cela symbolisé dans la pourpre dont vous êtes revêtus. Que celle-ci soit véritablement le symbole de l'amour chrétien ardent qui transparaît de votre existence.

Je confie ces vœux aux mains maternelles de la Vierge de Nazareth, en laquelle le Fils de Dieu puisa le sang qu'il allait ensuite verser sur la Croix comme témoignage suprême de sa charité. Dans le mystère de l'Annonciation, que nous nous apprêtons à célébrer, il nous est révélé que par l'œuvre de l'Esprit Saint, le Verbe divin s'est fait chair et est venu habiter parmi nous. Que par l'intercession de Marie, l'effusion de l'Esprit de vérité et de charité descende en abondance sur les nouveaux cardinaux et sur nous tous, afin que, toujours plus pleinement conformes au Christ, nous puissions nous consacrer inlassablement à l'édification de l'Eglise et à la diffusion de l'Evangile dans le monde.

Le consistoire, moment de « fraternité intense », souligne Benoît XVI

Importance des rencontres des cardinaux avec le successeur de Pierre

ROME, Lundi 27 mars 2006  – Le consistoire de vendredi dernier, 24 mars, a été l’occasion de « moments de prière et de fraternité intense », a souligné Benoît XVI en recevant ce matin les nouveaux cardinaux et leurs proches. Le pape soulignait l’importance des « rencontres de tout le collège cardinalice avec le successeur de Pierre ».

Le pape Benoît XVI a en effet reçu ce matin à 11 heures, en la salle Paul VI du Vatican, les 15 nouveaux cardinaux « créés » vendredi dernier, ainsi que leurs proches, parfois venus de loin. Certains cardinaux viennent d’Asie (Hong-Kong, Séoul, Manille) ou d’Amérique (Caracas, Boston). Le card. Peter Poreku Dery, 87 ans, archevêque émérite de Tamale, au Ghana, où il a particulièrement travaillé à la formation des laïcs chrétiens, par exemple en vue de leur engagement en politique ou en vue d’examiner le fondé de certaines traditions, à la lumière de l’Evangile. Sa position favorable à des funérailles moins dispendieuse fait actuellement école dans d’autres diocèses d’Afrique.

Le pape Benoît XVI a salué les visiteurs en italien, anglais, français, espagnol, slovène et polonais.

Le consistoire a été précédé, le 23 mars, par une journée de réflexion (cf. Zenit 23 mars), et a été suivi, le 25 mars par l’eucharistie, place Saint-Pierre, en la solennité de l’Annonciation du Seigneur. Benoît XVI a alors remis à chaque nouveau cardinal son anneau cardinalice, signe de l’alliance avec l’Eglise (cf. Zenit 26 mars).

Le pape Benoît XVI évoquait en effet le consistoire en ces termes, en italien : « Après la solennelle célébration du consistoire, qui nous a offert la possibilité de passer des moments de prière et de fraternité intense, je suis heureux de vous rencontrer aussi aujourd’hui. C’est avec un esprit reconnaissant envers le Seigneur pour ce joyeux événement, que nous lui demandons de soutenir les nouveaux cardinaux et de les protéger dans l’accomplissement des différents ministères qu’ils exercent dans l’Eglise. Nous demandons en particulier à Jésus, le Bon Berger, de continuer à les accompagner de sa grâce. A vous tous, ici présents, familles, et fidèles venus partager ces jours de fête avec les nouveaux cardinaux, j’adresse ma salutation la plus cordiale ».

Il ajoutait, à la fin de son allocution, une remarque qui fait penser que le pape souhaite s’appuyer davantage sur le collège des cardinaux.

Remerciant les visiteurs, et promettant de continuer d’accompagner les cardinaux de sa prière, il ajoutait : « Je sais que je peux compter sur votre collaboration, dont je ressens le besoin. Les rencontres de tout le collège cardinalice avec le successeur de Pierre, comme celle de jeudi dernier, continueront d’être des occasions privilégiées pour chercher ensemble à mieux servir l’Eglise confiée par le Christ à nos soins ».

Benoît XVI saluait en italien le préfet du tribunal suprême de la Signature apostolique, le cardinal Agostino Vallini, le cardinal Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, le cardinal Andrea Cordero Lanza di Montezemolo, archiprêtre de la basilique Saint-Paul hors les Murs, évoquant les personnes chères qui les entouraient comme une « couronne » et dont la présence était à la fois « signe d’amitié et d’affection », mais aussi « manifestation visible de la communion féconde de biens qui anime l’Eglise ».

Que « le Seigneur daigne faire de chacun de vous un témoin, toujours plus généreux, de son amour », a-t-il déclaré.

En français, le pape ajoutait : « Je salue cordialement le nouveau cardinal Albert Vanhoye, ainsi que ses confrères jésuites, ses proches et tous les francophones, venus à l’occasion du consistoire où j’ai aussi créé cardinal Monseigneur Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux et président apprécié de la Conférence des évêques de France. Je rends grâce pour le travail exégétique fécond du cardinal Vanhoye, qui s’est attaché à scruter la Parole de Dieu et à transmettre avec patience son savoir à de nombreuses générations de jeunes, leur donnant ainsi les moyens de vivre de l’Évangile et d’en être les témoins ».

Benoît XVI exprimait ce souhait : « Puissiez-vous tous prendre régulièrement le temps de vous nourrir de l’Écriture ».

En anglais, le pape saluait le cardinal William J. Levada, préfet de la congrégation pour la Doctrine de la foi, le cardinal Gaudencio Rosales, archevêque de Manille, le cardinal Nicholas Cheong Jin-suk, archevêque de Séoul, le cardinal Sean O’Malley, OFM Cap., archevêque de Boston, le cardinal Joseph Zen Ze-kiun, SDB, évêque de Hong Kong, « en Chine » ; et le cardinal Peter Dery, archevêque émérite de Tamale.

« Vénérables et chers frères, en vous renouvelant mes salutations fraternelles, et en offrant de ferventes prières pour la mission qui vous a été confiée, au service de l’Eglise universelle, je vous confie une fois encore à la protection de Marie, la Mère de l’Eglise », a déclaré le pape.

« Le souhaite aussi saluer les membres des familles de nos cardinaux à peine créés, ainsi que les fidèles laïcs qui les ont accompagnés à Rome pour les solennelles célébrations de vendredi et de samedi dernier, a-t-il ajouté. Je suis certain que votre séjour dans la Ville éternelle approfondira votre amour de l’Eglise et fortifiera votre foi en Jésus Christ, notre Sauveur, et notre Seigneur ! Je vous encourage à continuer à prier pour nos cardinaux et de les soutenir de votre amour et de votre affection. Que Dieu vous bénisse tous ! »

En espagnol, le pape saluait « les cardinaux de langue espagnole et tous les fidèles d’Amérique latine et d’Espagne » qui les accompagnaient, et en particulier leurs familles, leurs frères évêques, les prêtre, les religieux, les séminaristes, spécialement ceux du séminaire de Tolède.

Le pape Benoît XVI ajoutait : « Le Venezuela exulte pour son cardinal Jorge Liberato Urosa Savino, archevêque de Caracas, accompagné aussi de sa maman âgée ».

« A Valence comme aujourd’hui dans la capitale, vous avez promu de nombreuses initiatives pastorales pour le bien de votre chère Nation », faisait remarquer Benoît XVI .

« L’Espagne, continuait Benoît XVI, s’honore du cardinal Antonio Cañizares Llovera, archevêque de Tolède, qui a auparavant eu un fructueux ministère à Avila et à Grenade, donnant des preuves de son engagement constant dans ces communautés ecclésiales ».

« Vos peuples, soulignait le pape, toujours en espagnol, en citant implicitement le nom donné par Jean-Paul II à la Vierge Marie, se distinguent par leur fidélité au Successeur de Pierre, et par leur dévotion à la Vierge Marie. Qu’elle soit toujours l’Etoile qui guide vos Eglises particulières dans votre tâche d’Evangélisation ».

En polonais – un polonais qui s’améliore sans cesse témoignent les Polonais de Rome – le pape saluait le nouvel archevêque de Cracovie, le « cher cardinal Stanislas Dziwisz, sa famille, ses amis et ses hôtes ».

« Avec vous, j’exprime ma gratitude au nouveau cardinal pour toutes les années passées aux côtés de Jean-Paul II et pour tout ce que ce service a apporté à l’Eglise universelle. Je prie pour que son ministère à venir soit également fructueux. Je vous bénis de tout cœur vous qui êtres ici présents ».

En slovène, le pape saluait le cardinal Franc Rodé, préfet de la congrégation pour la Vie consacrée, « ses amis, spécialement les fidèles de l’archidiocèse de Ljubljana, dont il a été le pasteur jusqu’à il n’y a pas longtemps ».

« Je suis heureux de constater, ajoutait Benoît XVI, que l’Eglise de Slovénie aussi offre sa contribution à la mission du Siège apostolique, dans la personne du nouveau cardinal. Sa charge de préfet de la congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique est d’une grande importance. Continuez de l’accompagner dans ce service, par votre prière, afin que l’Eglise puisse progresser toujours davantage sur le chemin de la sainteté ».

« Que la Vierge Marie, Mère de l’Eglise, et les saints Pierre et Paul, veillent sur chacun de vous, et sur votre travail quotidien », concluait le pape avant d’accorder sa bénédiction.   

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   Eucharistie, Sacrement de la Miséricorde. 28 .03.2006 - BENOIT XVI

 

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