Réflexion sur l’encyclique Spe Salvi
de Benoît XVI |
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Rome, le 15 mai 2008 -
(E.S.M.) - Mgr Massimo Camisasca, fondateur et supérieur
général de la Fraternité sacerdotale des Missionnaires de Saint Charles
Borromée, née du charisme de Communion et libération, est-il intervenu
sur l’encyclique “Spe Salvi” de Benoît XVI, lors d’une rencontre
organisée par l’Université pontificale du Latran.
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Réflexion sur l’encyclique Spe Salvi de Benoît XVI
“La vraie espérance nous conduit à l’intérieur de
la vie"
« L’espérance se manifeste comme l’accomplissement d’une promesse.
L’espérance est actuelle, est possible dans la vie de chacun de nous et
autour de nous ». Ainsi Mgr Massimo Camisasca, fondateur et supérieur
général de la Fraternité sacerdotale des Missionnaires de Saint Charles
Borromée, née du charisme de Communion et libération, est-il intervenu sur
l’encyclique “Spe
Salvi” de Benoît XVI, lors d’une rencontre organisée par l’Université
pontificale du Latran.
Le rendez-vous, intitulé « L’espérance en dialogue avec le monde
contemporain », s’est tenu le 13 mai à l’Institut supérieur de Sciences
religieuses « Fides et Ratio » de l’Aquila et fait partie de
l’itinéraire biblique, philosophique et théologique intitulé « Nous avons
été sauvés dans l’espérance », sur la dernière encyclique du Pape Benoît
XVI.
« L’espérance, comme ce fut le cas pour Pierre, Jean et André avec Jésus,
est quelque chose qui grandit et qui mûrit avec le temps - a continué Mgr
Camisasca - jusqu’à devenir une pensée habituelle,
mouvement du cœur rendu facile par une nouvelle nature. C’est précisément en
vivant avec Jésus, que les apôtres ont appris ce qu’était l’espérance pour
leur vie, qui était l’espérance pour leur vie ». Voilà pourquoi l’espérance
est possible pour l’homme contemporain : « espérer c’est entrer dans
l’action de l’Esprit de l’intérieur de l’existence quotidienne, sans fuir le
concret des difficultés dans lesquelles nous nous trouvons ou des
découvertes que nous faisons. L’espérance vraie n’élude pas la vie, mais
nous conduit à l’intérieur des choses. Le premier pas de l’espérance est de
ne pas effacer ce que nous vivons, mais de le porter à la présence du Christ
et de le regarder comme une partie de son œuvre ». (SL)
Sources :
www.vatican.va -
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie, sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 15.05.08 -
T/Spe salvi |