Madrid, capitale de l’Alliance de
Civilisation pour défendre le droit à la vie |
|
Le 31 mars 2009 -
(E.S.M.)
- Madrid s’est transformée dimanche en la capitale de
l’Alliance de Civilisation pour défendre la vie. C’est ce
qu’affirme l’Institut de politique familiale, en marge des
Marches pour le Droit à la vie qui ont été effectuées dimanche
dans plusieurs villes d’Espagne,.
|
Marche pour la vie à Madrid
Madrid, capitale de l’Alliance de
Civilisation pour défendre le droit à la vie
ESPAGNE - Madrid, capitale de l’Alliance de Civilisation pour défendre le
droit à la vie: 700 associations du monde entier, en représentation de 20
millions de personnes, ont adhéré à la Marche pour la vie
Le 31 mars 2009 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
- Madrid s’est transformée dimanche en la capitale de l’Alliance de
Civilisation pour défendre la vie. C’est ce qu’affirme l’Institut de
politique familiale, en marge des Marches pour le Droit à la vie qui ont été
effectuées dimanche dans plusieurs villes d’Espagne, soutenues par près de
700 associations du monde entier, en représentation de plus de 20.000
personnes. La France, l’Allemagne, la Suisse, la Norvège, Malte, le
Royaume-Uni, le Portugal, la Slovaquie, la Hongrie, les Etats-Unis, le
Canada, le Mexique, la Colombie, l’Argentine, le Pérou et le Brésil sont
quelques-uns des pays dont les sociétés civiles ont soutenu l’initiative de
l’Espagne pour défendre les droits des enfants pendant la période prénatale.
Parmi les associations qui ont déclaré leur soutien à l’initiative, on
distingue : la Fédération AIC, qui regroupe 53 associations présentes en
Afrique, en Amérique Latine, en Asie, en Europe et aux Etats-Unis ; Réseau
Familial, qui représente plus de 500 associations dans toute l’Amérique
Latine ; les associations nord-américaines C-FAM, United Famiglie
Internazionale, Internazionale Organization Research Group, Alliance Defence
Fund, Concerned Women of America et l’Internazionale Organization Law Group
; ainsi que l’Association hongroise des familles nombreuses, Gift of Life di
Malta, la Confédération portugaise des familles, l’association britannique
Society for the Protection of the Unborn Children, la Section allemande des
familles, et le Forum Zivota (Forum pour la vie, avec 30
ONG en République Slovaque).
"Le gouvernement ne peut tourner le dos à cette clameur, pas seulement
espagnole, mais mondiale, pour défendre le droit de vivre", a déclaré
Lola Velarde, présidente du Réseau européen de l’Institut de politique
familiale. "La protection des droits de l’enfant en période prénatale est
une valeur partagée dans toutes les civilisations, et engendre une alliance
authentique. C’est ce que montre justement le soutien apporté par des
associations de nombreux pays aux marches effectuées dimanche en Espagne » a
ajouté Mme Velarde. « Ces manifestations représentent le début d’un ensemble
de mobilisations dans toute l’Espagne, qui montreront le refus social de
cette proposition de loi régressive pour les droits de la femme et de
l’enfant " a poursuivi Lola Velarde.
La Marche pour la vie, qui avait pour thème : "Le droit de mourir
n’existe pas, c’est le droit de vivre qui existe", a réuni plus d’un
demi million de citoyens tout au long du trajet dans le centre de Madrid,
dépassant largement les prévisions des organisateurs. Cette manifestation a
été accompagnée de 87 autres rassemblements dans d’autres villes de la
nation entière.
Parmi les intervenants, Paloma de Cendra, membre du Comité d’experts du
droit de vivre (DAV), psychologue des couples
et des familles, et experte des crises de grossesse et syndromes
post-avortement ; Ignacio Arsuaga, président de HazteOir.org, et le Dr Gádor
Joya, porte-parole national de Droit de vivre (DAV)
et chargé de la lecture du Manifeste pour la vie, lu presque en même
temps devant les mairies de toute la région espagnole.
Comme l’a dénoncé Paloma de Cendra, « l’avortement ne tue pas seulement les
enfants, il détruit les mères, les familles, les sociétés entières, il
détruit les consciences ». En particulier, "l’avortement a deux victimes
principales : l’enfant et sa mère". "Ce n’est pas vrai que cette loi
défend le droit des femmes. Ce n’est pas vrai que cette loi cherche ce qu’il
y a de meilleur pour eux. L’avortement va contre la femme. Il ne représente
pas une solution mais un problème. Le vrai problème. Il ne facilite pas la
vie. Il la transforme en un calvaire" a-t-elle ajouté.
Au terme de la manifestation, le Dr Gádor Joya a lu le “Manifeste de la
marche pour la vie”, qui souligne avant tout "l’évidence scientifique
que dès le moment de la fécondation il existe une vie humaine digne d’être
respectée et protégée", et met en relief le fait que "l’avortement suppose
la mort violente d’un être humain et est un drame terrible pour la femme qui
souffre".
"Avec l’avortement libre, le nombre de morts d’enfants augmenterait
presque du double” ainsi que celui des femmes victimes des “dommages
physiques et psychologiques déjà connus que l’avortement provoque en eux”,
poursuit le texte du manifeste, qui en exigeant que “nos lois protègent
le droit de vivre” et que « le droit à l’objection de conscience du
personnel médical soit respecté », finit en exprimant l’opposition "à
une nouvelle loi de l’avortement qui n’apportera que des morts
supplémentaires et une souffrance supplémentaire pour des milliers de femmes".
(RG)
Sources : www.vatican.va
-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 31.03.09 -
T/Famille |