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19 Avril 2005
 

Un cas de guérison par l’intercession de Jean Paul I

 

Cité du Vatican, le 30 octobre 2008  - (E.S.M.) - Un cas de guérison par l’intercession de Jean Paul Ier, qui sera soumis à l’examen de la Congrégation pour les Causes des Saints. La clôture de l’enquête diocésaine aura lieu en octobre

Le pape Jean Paul Ier - Pour agrandir l'image Cliquer

Un cas de guérison par l’intercession de Jean Paul I

Merci, Jean Paul Ier

Le 30 octobre - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Juste le temps d’un café au bar, et puis les courses chez le poissonnier… comme tous les jours, maintenant qu’il a pris sa retraite. Nous arrivons chez lui en foulant des milliers d’années d’histoire. D’étroites ruelles de pierre blanche qui parlent encore de Grecs et de Maures, du noble passé d’Altamura, fait d’indépendance et de fières batailles. Mais l’histoire de Giuseppe est faite d’une autre pâte, celle de la quotidienneté la plus ordinaire: la maison, la famille, les petits-enfants, le chemin tranquille de sa vie dont il parle avec la réserve propre aux montagnards.

Giuseppe Denora, un habitant d’Altamura âgé de soixante ans, ancien employé de banque, est bénéficiaire de l’intervention du pape Jean Paul Ier. Il a été guéri, il y a seize ans, d’une tumeur maligne à l’estomac. Une guérison soudaine, complète et durable, au point que son cas a suscité l’ouverture d’une enquête pour la vérification du fait prodigieux, lequel devra maintenant être étudié par la Congrégation pour les Causes des Saints. Il ne parle de ce fait – survenu en 1992 – qu’aujourd’hui, pour la première fois, au moment où le procès ouvert par le Tribunal ecclésiastique diocésain d’Altamura s’apprête à fermer officiellement ses portes. « Nous sommes une famille comme tant d’autres », coupe-t-il court en ouvrant la porte de chez lui. « De Jean Paul Ier, j’ai une coupure de journal – et même deux – avec sa photo. L’une est en bas, au garage… si vous y tenez, je vous la montre ». C’est comme cela que commence son récit. Sans fioritures, dans son garage. « Voilà, vous voyez, elle est là. Il y a aussi la date: 1978, 3 septembre 1978. À ce moment-là, je me trouvais aux thermes de Chianciano avec ma femme. Le dimanche 3 septembre, nous avons décidé de visiter Rome. Nous nous sommes trouvés place Saint-Pierre à l’heure de l’Angélus du nouveau Pape. Jean Paul Ier, s’est mis à la fenêtre et nous l’avons regardé parler. J’ai dit à ma femme: “Celui-là, ça se voit que c’est quelqu’un de bien”. Son souvenir est resté gravé en moi. Un homme loyal. À mon retour, j’ai acheté un exemplaire du quotidien Avvenire avec sa photo et je l’ai emportée à la maison. Je l’ai même encadrée. C’est celle-là ». Et puis? « Eh bien, il est mort rapidement…».

Et vous, en revanche, qu’est-ce que vous avez fait depuis ce temps? « Le travail, il fallait arriver à la fin du mois, les trois enfants à élever… je suis marié depuis trente-sept ans et j’ai travaillé à la banque jusqu’en 2000… en somme, les choses et les sacrifices de tous les jours ». Et l’autre photo? « Non. Celle-là, elle est là-haut. Venez, montons. Voilà, vous voyez, avec son camail rouge et son étole, une de ses premières photos en tant que pape… ce n’est pas l’une des plus connues et pas même l’une des plus belles. Celle-là aussi, elle vient d’une coupure de journal. Un petit bout de journal, grand comme une carte de visite que j’ai retrouvé je ne sais comment, sur mon bureau, à la banque, en 1990. Je ne sais pas qui l’y avait mis, ni comment il était arrivé là. À cette époque, on n’entendait plus parler de ce Pape. Moi, je l’ai pris, j’en ai fait faire un agrandissement et je l’ai mis dans ma chambre à coucher, là, entre la fenêtre et l’armoire; il est tourné vers le lit, de mon côté. Et il est resté là… Ça ne veut pas dire que j’aie la manie des choses religieuses ». Vous l’avez fait comme geste de dévotion? « Je l’ait fait et c’est tout. Il s’était manifesté de manière discrète, comme une personne proche, loyale. Et après aussi, quand je suis tombé malade, c’est lui, lui qui était devant moi, que je regardais. Mais je dois vous dire la vérité, je ne l’ai pas prié comme on fait avec les grands saints, je ne me suis pas adressé à lui comme à un grand saint… Non, je lui parlais d’homme à homme ».

Quand êtes-vous êtes tombé malade? « Au début de 1992. J’ai été chez le médecin ici, à Altamura. Il m’a fait faire une gastroscopie et m’a dit: “Malheureusement, ça va mal, très mal, allez chez ce cancérologue à l’hôpital de Bari”. Le cancérologue m’a fait faire une autre gastroscopie. Même résultat. “Lymphome gastrique non-Hodgkin”. Je suis retourné chez moi et j’ai commencé la chimio ». On ne vous a pas opéré? « Non ». À l’époque, vous aviez quarante-quatre ans… « Oui, quarante-quatre ans tout juste et ma dernière fille en avait seulement quatre. En deux mois, j’étais devenu l’ombre de moi-même. Je ne mangeais plus, je ne réussissais presque plus à me lever. J’étais couché là, et j’avais la photo de cet homme devant les yeux. Je le regardais, je lui confiais mes inquiétudes et je lui parlais en silence, si bien que je lui ai dit: “Regarde ce que je suis devenu, je ne peux même plus travailler… qu’est-ce que je dois faire ? Et Cecilia est encore petite… les enfants ont besoin de moi”. D’autres fois, je lui disais: “Moi je suis là, mais toi, tu es là-haut”, “tu les connais bien, ceux d’en haut, ceux qui sont plus haut que toi. Et toi, demande-leur ce que je dois faire, demande-leur s’ils m’aident, à ceux qui sont plus haut que toi, s’ils peuvent m’aider. Dis-le leur”. La nuit du 27 mars, je me sentais vraiment mourir de douleur. Cela me brûlait tellement, c’était comme un feu dans mon estomac. Et ce qui me brûlait aussi à l’intérieur de moi, c’était la douleur de devoir quitter ma famille. Je l’ai regardé et je lui ai encore dit: “Si je dois mourir maintenant, qui est-ce qui s’occupera de donner à manger à ces enfants…”. Cette nuit-là, la chambre était éclairée comme d’habitude par les réverbères de la rue… et je l’ai vu au pied de mon lit: une ombre qui s’est approchée et qui est passée près de moi, rapide, avec une main tendue; une main, un instant, et en cet instant précis, cela a été comme si de l’eau avait éteint ce feu que j’avais à l’intérieur de moi. Je me suis endormi et, le lendemain matin, je me suis réveillé reposé, ressuscité. J’ai entendu ma femme qui m’appelait en me secouant un peu: “Peppe, Peppe, tu as de la fièvre?”. Je me suis levé et je suis allé prendre mon petit déjeuner, et le lendemain je suis retourné au travail. Rien, à partir de là, plus rien, je me suis tout de suite senti comme je me trouve maintenant: en pleine forme. Voilà comment ça s’est passé ».

Et vous avez immédiatement refait les examens cliniques? « Oui, lorsqu’ils ont vu les résultats, les médecins ont écrit: “Rémission complète de la maladie” ». Et vous n’en avez rien dit? « Non. Pour quelle raison est-ce que je devais aller raconter tout ça? On voyait que j’étais guéri, ça suffisait ». Même pas à votre famille? « Si, à ma femme. Elle, bien sûr, elle savait. Trois mois plus tard, en juin, je suis allé avec elle à Rome, je suis descendu sous la basilique Saint-Pierre et j’ai mis un petit message près de la tombe de Jean Paul Ier: “C’est moi Giuseppe, je suis venu vous remercier”. Et depuis, j’ai fait la même chose chaque année. En 2003, c’était le vingt-cinquième anniversaire de son élection, j’ai aussi envoyé une lettre de remerciement à l’église de son village natal, mais c’est de cette lettre qu’est parti tout ce parcours auquel je n’aurais jamais pensé ». Vous êtes allé à Canale d’Agordo? « J’y suis allé pour la première fois il y a deux ans, en 2006. J’y suis resté une semaine, et pour la première fois, là-haut, j’ai connu la vie de cet homme qui est devenu pape et aussi la dignité de cette famille dans les épreuves qu’elle a dû traverser… J’ai vu la maison où il est né, j’ai connu une de ses nièces, son frère Berto ». Et que vous a dit le frère du Pape? « Il m’a dit: “Je suis content que tu ailles bien” ».

« Écoutez, moi, je ne sais pas, je ne sais pas comment j’ai décroché ce privilège. Il ne s’agit certainement pas d’un mérite. C’est peut-être la manière dont je l’ai demandé… je ne sais pas. Et je me demande encore aujourd’hui pourquoi il est venu ici-bas, pourquoi justement chez moi…». En revenant chez lui, avant de partir, il entre dans une boulangerie et en sort avec un paquet de tarallucci (biscuits de la région des Pouilles ndr). « Goûtez-les. Voyez comme ils sont bons, ils sont faits avec du vin blanc… emportez-les à Rome. Mais je veux encore vous dire quelque chose: n’écrivez pas des choses que je n’ai pas dites. Vous savez comment sont les gens, ils se mettent n’importe quoi en tête, même en ce qui nous concerne…».

Les étapes de la vérification d’un miracle présumé dans les causes de canonisation

L’enquête diocésaine pour le miracle présumé attribué à l’intercession d’Albino Luciani – le Pape Jean Paul Ier – sera achevée d’ici la fin du mois d’octobre. La session de clôture se déroulera à Altamura (province de Bari) et sera présidée par Mgr Mario Paciello, évêque d’Altamura-Gravina-Acquaviva delle Fonti, diocèse où a été constatée la guérison prodigieuse. Y participeront les membres du Tribunal ecclésiastique ainsi que le salésien don Enrico dal Covolo, postulateur de la cause de canonisation de Jean Paul Ier. Lorsque le procès diocésain sera terminé, les actes seront transférés à Rome, auprès de la Congrégation pour les Causes des Saints, laquelle est appelée avant tout à donner une validité canonique à ces actes, en reconnaissant qu’ils ont été correctement établis. Sur la base de ces actes, reconnus et ratifiés par le Decretum sur la validité juridique, la deuxième phase du procès – une phase complexe, qui se déroule à Rome – s’ouvrira.

Le cas de guérison de Giuseppe Denora est parvenu à la postulation en 2003, parmi les nombreuses lettres où l’on raconte les grâces reçues par l’intercession de Jean Paul Ier. Il a été jugé digne d’attention dans la mesure où il présentait des éléments valides pour pouvoir instruire un procès. Une fois effectuées les recherches préliminaires qui s’imposaient et examinée la documentation clinique qui avait été fournie, l’enquête sur ce cas a été ouverte le 14 mai 2007. Il faudra cependant attendre la vérification et la conclusion de toutes les étapes du procès pour pouvoir considérer cette guérison comme un miracle de plein droit. Ceci n’adviendra que lorsque, après avoir discuté et passé au crible toutes les preuves acquises au cours de l’enquête diocésaine – lesquelles concernent à la fois le fait prodigieux en soi et l’attribution de ce fait à l’intercession du serviteur de Dieu Albino Luciani –, la Congrégation pour les Causes des Saints aura établi ce fait et, sur la base d’un acte juridique sanctionné par le Pape, le reconnaîtra définitivement comme un miracle proprement dit.

Il est donc juste de rappeler ce que l’on entend par miracle, d’éclaircir l’importance que celui-ci revêt dans les causes de canonisation, et de décrire les étapes suivies par le procès pour qu’il soit reconnu.

Qu’est-ce qu’un miracle
Dans sa Somme théologique, saint Thomas d’Aquin définit miracle « ce qui est fait par Dieu en dehors de l’ordre de la nature ». On considère donc comme miracle un fait qui dépasse les capacités de la nature et qui peut avoir été accompli par Dieu, par l’intercession d’un serviteur de Dieu ou d’un bienheureux. Les modalités d’un miracle sont qualifiées de la manière suivante: le miracle peut dépasser les capacités de la nature soit en ce qui concerne la substance du fait, soit en ce qui concerne le sujet, soit seulement en ce qui concerne la façon dont il se produit.

La nécessité des miracles dans les causes de canonisation
Sans l’approbation de miracles survenus par l’intercession d’un candidat aux honneurs des autels, une canonisation ne peut arriver à bon port. La béatification d’un serviteur de Dieu non martyr et la canonisation d’un bienheureux sont liées de manière contraignante à la reconnaissance d’un miracle. Actuellement, en effet, l’Église demande un miracle pour la béatification d’un serviteur de Dieu non martyr, et pour la canonisation (cela vaut aussi pour un martyr), elle en demande un autre. Seuls les miracles présumés attribués à l’intercession d’un serviteur de Dieu ou d’un bienheureux post mortem peuvent être l’objet d’une vérification. La vérification et la reconnaissance des miracles de la part de l’Église ont toujours joué un rôle central. Dès les premiers siècles, lorsque les évêques se trouvaient devoir concéder le culte pour un non-martyr, avant d’examiner l’excellentia vitae et virtutum, ils prenaient en considération les preuves de l’excellentia signorum, parce que les miracles, dans la mesure où ils sont œuvre de Dieu seul, don gratuit de Dieu, signe plus que certain de la révélation, destiné à susciter et à renforcer notre foi, sont aussi une confirmation de la sainteté de la personne invoquée. Dans une cause de canonisation, ils représentent donc l’approbation divine d’un jugement humain et leur reconnaissance permet d’accorder de façon sûre l’autorisation du culte. Une enquête, distincte de celle sur les vertus ou sur le martyre, est donc ouverte pour la vérification des miracles, et elle représente un véritable procès.

Comment se déroule l’iter juridique de vérification
Les étapes du procès pour la reconnaissance d’un miracle se succèdent conformément à la nouvelle réglementation établie en 1983 par la constitution apostolique Divinus perfectionis Magister. Cette législation établit deux moments distincts dans la procédure: le moment diocésain et celui de la Congrégation pour les Causes des Saints, dit romain. Le premier se tient dans le cadre du diocèse où a eu lieu le fait prodigieux. L’évêque ouvre l’instruction sur le miracle présumé, au cours de laquelle sont recueillies les dépositions des témoins oculaires interrogés par un tribunal constitué à cet effet, ainsi que la documentation clinique complète et instrumentale inhérente au cas. Dans le second moment, qui s’ouvre après la clôture de l’enquête diocésaine, la Congrégation examine l’ensemble des actes qui sont parvenus et l’éventuelle documentation complémentaire, et prononce son jugement sur le cas.

Une fois transmis à la Congrégation, le matériel recueilli dans les diocèses est soumis aux vérifications et son examen est double: médical et théologique. L’examen médical est mené par une commission, l’Assemblée médicale, un organe collégial constitué de cinq spécialistes plus deux experts nommés d’office. Les spécialistes qui en font partie varient selon les cas cliniques présentés et la possibilité de consultation ou d’éventuelles convocations d’autres experts et spécialistes n’est pas exclue. Leur jugement est de caractère purement scientifique, ils ne se prononcent pas sur le fait du miracle. L’examen et la discussion finale de l’Assemblée médicale se concluent par l’établissement d’un diagnostic précis de la maladie, du pronostic, de la thérapie et de l’effet de celle-ci. La guérison, pour être considérée comme l’objet d’un éventuel miracle, doit être jugée par les spécialistes comme rapide, complète, durable et inexplicable dans le cadre actuel des connaissances médicales. Si des perplexités se présentent au cours de l’examen, l’Assemblée suspend ses travaux et demande de nouvelles expertises et une documentation supplémentaire. Une fois obtenue la majorité ou l’unanimité de vote en faveur de l’extra-naturalité au sein de l’Assemblée, l’examen passe au Conseil de théologie. Les consulteurs théologiens, partant des conclusions de l’Assemblée médicale, sont appelés à trouver les liens de causalité entre les prières adressées au serviteur de Dieu et la guérison, et ils expriment leur avis sur le caractère miraculeux ou non du fait prodigieux. Quand les théologiens ont eux aussi exprimé et rédigé leur vote, l’évaluation passe à la Congrégation ordinaire des évêques et des cardinaux, lesquels discutent tous les éléments du miracle; chacun des membres donne alors son avis à soumettre à l’approbation du Pape, lequel détermine le miracle et décide ensuite d’en promulguer le décret. Le décret est donc le dernier acte du parcours juridique de la vérification d’un miracle. Il est l’acte juridique de la Congrégation pour les Causes des Saints, sanctionné par le Pape, par lequel un fait prodigieux est définitivement reconnu comme un véritable miracle.

La cause du serviteur de Dieu Albino Luciani

La cause de béatification et de canonisation du pape Jean Paul Ier s’est solennellement ouverte le 23 novembre 2003, dans la cathédrale de Belluno. L’enquête diocésaine du procès sur les vertus s’est conclue le 10 novembre 2006. Au cours de l’enquête, ont été recueillies toutes les preuves issues de témoignages et de documents. Au cours des 203 sessions, 170 témoins ont été entendus dans les sièges épiscopaux de Belluno, Vittorio Veneto, Venise et Rome. Le 27 juin dernier, la Congrégation pour les Causes des Saints a signé le décret de validité formelle des actes de l’enquête diocésaine et le rapporteur de la cause a été nommé en la personne du père Cristoforo Bove. Ainsi s’est ouverte la phase romaine de la cause. Dans cette seconde phase, sur la base des actes reconnus et sanctionnés par le décret de validité, sera préparée la Positio super virtutibus, qui devra démontrer l’héroïcité des vertus, ainsi que la renommée de sainteté du serviteur de Dieu. L’achèvement de la Positio sera suivi de deux niveaux d’examen, l’un de la part du Congrès particulier des consulteurs théologiens et l’autre de la part de la Congrégation ordinaire des évêques et cardinaux. La promulgation du décret sur les vertus constituera l’acte juridique de conclusion de l’iter de vérification des vertus héroïques.
 

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Sources :  Stefania Falasca/30 Jours
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 30.10.2008 - T/Église

 

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