Deuxième Congrès mondial de la
Miséricorde à Lagiewniki du 1er au 5 octobre 2011 |
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Le 30 septembre 2010
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(E.S.M.)
- Du 1 er au 5 octobre 2011, se déroulera le deuxième
Congrès mondial
de la
Miséricorde à
Lagiewniki
(Cracovie –
Pologne). Ce
Congrès débutera
avec la fête de
sainte Thérèse
de l’Enfant
Jésus (1 er
octobre) et
s’achèvera avec
la fête de
sainte Faustine
(5 octobre).
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Deuxième Congrès mondial de la
Miséricorde à Lagiewniki du 1er au 5 octobre 2011
Appelés à la confiance en la Miséricorde Divine
Avec Ste Thérèse de l’Enfant Jésus et Ste Faustine
Le 30 septembre 2010 - Eucharistie
Sacrement de la Miséricorde
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Dans un an, du 1er au 5 octobre 2011, se déroulera le deuxième Congrès
mondial de la Miséricorde à Lagiewniki (Cracovie – Pologne). Il débutera
avec la fête de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus (1er octobre) et s’achèvera
avec la fête de sainte Faustine (5 octobre).
Voici un extrait de la conférence* de Mgr Albert-Marie de Monléon, évêque de
Meaux, coordinateur du Congrès Miséricorde pour la France, donnée à Lisieux
en février 2010, lors du 2e Congrès national de la Miséricorde qui évoque
l’appel à vivre la confiance en la Miséricorde, à l’école de Sainte Thérèse
de l’Enfant Jésus et de Sainte Faustine.
*
« Le Seigneur a suscité sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et sainte Faustine
pour faire découvrir, à l’Eglise et au monde des XXe et XXIe siècles,
l’abîme de son Amour et de sa Miséricorde envers les hommes.
S’il y a des différences distinctives entre elles, Thérèse et Faustine se
ressemblent sur bien des points. Elles sont de jeunes religieuses, habitées
par la simplicité, l’humilité, la droiture, la franchise, un esprit vif et
observateur, une joie de vivre. Elles ont connu, l’une et l’autre, des
moments "des plus épaisses ténèbres". L’une et l’autre sont mortes de
la tuberculose dans de grandes souffrances.
Thérèse, patronne des Missions avec saint François Xavier, n’a jamais quitté
son Carmel, et ses écrits sont connus dans le monde entier. Faustine, Apôtre
de la Miséricorde, n’a pas quitté l’espace limité des quelques maisons de sa
Congrégation où elle a séjourné ou vécu, et son message est en train de se
répandre largement sur les cinq continents.
S’il est un point commun particulièrement significatif et omniprésent chez
nos deux sœurs c’est l’appel à la confiance absolue en la bonté et la
miséricorde de Dieu.
Chez Sainte Thérèse :
Jésus ne demande pas de grandes actions, mais seulement l’abandon et la
reconnaissance (B 1v°).
Ce qui lui plaît (au Bon Dieu) c’est de me voir aimer ma petitesse et ma
pauvreté, c’est l’espérance aveugle que j’ai en sa miséricorde… Voilà mon
seul trésor. (LT 197 r° à Sr Marie du Sacré-Cœur, 17
septembre 1896). C’est la confiance et rien que la confiance qui
doit nous conduire à l’Amour. (Ibid. v°)
Au verso d’une image, la dernière qu’elle ait peinte et qu’elle envoie
quelques semaines plus tard à l’Abbé Bellière (août 1897), Thérèse écrit :
Je ne puis craindre un Dieu qui s’est fait pour moi si petit…je l’aime ! …
car Il n’est qu’amour et miséricorde. (LT 266).
Et Sainte Faustine comme en écho :
Dieu unique en la Sainte Trinité, je désire T’aimer plus que personne ne T’a
jamais aimé, et malgré ma misère et ma petitesse, j’ai ancré ma confiance à
une grande profondeur dans l’abîme de Ta miséricorde, mon Dieu et mon
Créateur. Malgré ma grande misère, je n’ai peur de rien, mais je garde
l’espoir de chanter éternellement mon chant de louange. (PJ 283).
Parmi tant d’autres passages : Ma confiance dans son Cœur très
miséricordieux est sans bornes. (PJ 244). Et le Seigneur lui dit : Je me
complais particulièrement dans l’âme qui fait confiance à ma bonté. (PJ
1541).
Je veux répandre mes grâces inconcevables sur les âmes qui ont confiance en
ma miséricorde. (PJ 687).
Je suis toute petite, je n’ai rien fait de grand pour Lui (Jésus) de toute
ma vie, mais j’ai toujours eu confiance en Son amour. (Lettre à Sœur Ludwina,
1938 ; Les lettres de sainte Faustine, Téqui, 2007, p. 161).
Cet appel à la confiance la plus radicale, la plus inconditionnée en la
bonté et la miséricorde de Dieu, de Jésus, est sans doute ce qui définit le
plus le message commun de Thérèse et de Faustine.
Ce qui caractérise Faustine et Thérèse devant l’immensité et la majesté de
Dieu et de son Amour c’est le sentiment de leur petitesse, de leur
impuissance, et au lieu de se détourner de cette splendeur inaccessible et
pourtant incroyablement attirante, elles se jettent en Lui à corps perdu,
dans l’abandon et la confiance sans cesse renouvelés.
*Enseignement « Miséricorde, osons la confiance à
l’école de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de Sainte Faustine » Mgr A.M.
de Monléon, disponible en CD (contacter : Congrès Miséricorde France : 7 rue
Notre Dame 77334 Meaux Cedex - misericordefr@yahoo.fr)
Sources : Congres
miséricorde France
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 30.09.2010 -
T/Miséricorde Divine
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