|
La lune de miel médiatique de François
|
Le 15 mai 2013 -
(E.S.M.)
-
Je ne suis pas seule à m'interroger, car le problème existe;
mais je me suis limitée à observer que Benoît XVI avait bénéficié
(!!) d'un traitement de (dé)faveur. Ces deux articles ouvrent des
pistes, pour comprendre la motivation des médias (benoit-et-moi)
|
|
L'intégrité morale de
Joseph Ratzinger
La lune de miel médiatique de François
Les interrogations de Roberto Paglialonga, sur Vatican Insider
(vaticaninsider.lastampa.it/)
Le 15 mai 2013 - E. S.
M. - La vague d'enthousiasme qui a balayé les médias italiens
et internationaux est palpable.
Venant également de rivages habituellement éloignés, sinon critiques, envers
la politique du Vatican et, d'une façon générale, envers les événements qui
concernent l'Eglise, on a enregistré à partir du 13 Mars, jour de
l'élection du pape François, une faveur surprenante, et à bien des égards
troublante.
La hargne qui s'était accumulée dans certains milieux sans interruption
durant les années du pontificat de Benoît XVI a soudainement disparu, et
même la satisfaction mal dissimulée avec laquelle étaient observées
certaines difficultés dans le gouvernement de Benoît XVI semble avoir fait
son temps.
Une première et nécessaire considération concerne alors les motivations
sous-jacentes au climat de détente entre le système des médias, l'opinion
publique et les Salles Sacrées. Est-il possible que tout cela se
soit passé uniquement par le changement sur le trône de Pierre, comme si le
tempérament jovial du «pape venu du bout du monde» avait soudainement
nettoyé les incrustations formées au fil des ans sur les murs des bureaux de
la Curie et sur de nombreux éminents cardinaux?
En somme, il semble pour le moins suspect que même parmi les plus ardents
accusateurs du comportement du Saint-Siège, parmi les prêtres laïcs
de la morale publique et privée, ait disparu tout d'un coup toute référence
à des "cordées" (ndt: le mot italien est "cordata", intraduisible, qui
désigne des groupes de personnes qui luttent pour s'emparer du pouvoir dans
une entreprise) de cardinaux et d'ecclésiastiques en lutte pour imposer une
ligne plutôt qu'une autre; aux "corbeaux" qui se battent pour le bien de
l'Église, en fait pour la détruire; aux guerres de pouvoir au sein de l'IOR,
capables même de mettre hors-jeu un banquier comme Ettore Gotti Tedeschi,
directement voulu par le pape émérite Benoît XVI.
Le sentiment de plus d'un, au-delà de Porta Sant'Anna (ndt: la porte
d'entrée du Vatican), est que l'on travaille délibérément sur l'"esthétique"
du caractère de François, pour en accentuer l'image débonnaire, ouverte et
disponible (ce qui n'est certainement pas faux, soit dit en passant),
capable de générer l'attente de quelque déclaration du pape sur les
batailles propres à cette culture laïque auto-définie de ces dernières
années; cela va de l'ouverture à la reconnaissance des formes de
cohabitation entre personnes de même sexe, au changement de registre
relativement à la communion pour les séparés, au rôle des femmes au sein de
l'Eglise, à la bioéthique et à la fin de vie... Avec des résultats,
toutefois, au vu la biographie de l'ancien archevêque de Buenos Aires, qu'il
est facile d'imaginer. Comme l'attestent les mots sur «le respect de la vie
humaine depuis le moment de sa conception» au cours du Regina Coeli du
dimanche 12 mai.
Et c'est là qu'entre en jeu le second élément d'analyse, qui concerne la
durée de cette lune de miel présumée. Parce qu'il est inévitable, disent
certaines voix à l'intérieur des murs léonins, qu'aux premiers mots pas
exactement en ligne avec le sentiment du progressisme courant, quelque menue
fissure s'ouvrira. Avec une déception plus grande pour la grande masse des
médias et des réseaux sociaux que pour la figure de François et de toute
l'Église. La prudence dans le jugement se change alors en inquiètude.
Parce que si l'idylle devait s'interrompre, ce serait la frustration et la
colère qui la dicteraient, comme conséquence de réponses morales et
théologiques autres que les attentes auto-engendrées autour de la personne
du pape et des questions sur lesquelles il veut ou ne veut pas intervenir
(et si oui, à quelles conditions).
Il est peu probable que la perspective d'une Église qui, tout en changeant
de peau, conserve, inaltérés, son sang et ses organes vitaux, puisse être
acceptée par ceux qui voient dans le nouveau pape une carte à jouer pour
mettre le monde catholique en sourdine, et monter l'image (entièrement
inventée) d'un berger qui, au lieu de conduire ses brebis, se laisse glisser
du troupeau vers une société enfin sécularisé.
Pourtant, la mission de l'Église est la même depuis deux mille ans: le salut
des âmes, la divulgation du message de Jésus Christ, l'évangélisation, la
défense de la vie et des valeurs non-négociables.
Il suffit de s'attarder sur la seconde moitié du XXe siècle, où ont alterné
des figures des papes aux manières plus nobles et réservées, et d'autres
perçus immédiatement comme plus en phase avec la culture populaire. Jean
XXIII a succédé à Pie XII, Jean-Paul II à Paul VI (pas directement...),
François à Benoît XVI.
Et il ne fait pas de doute, au moins pour ceux qui croient, qu'une telle
succession n'est pas le fruit du hasard. La loi mathématique selon laquelle
changer l'ordre des facteurs ne modifie pas le produit, vaut aussi pour
l'Eglise: si le magistère et l'adhésion à la Parole de Jésus sont évidemment
restés inchangés, diverse est apparue la vis (force) communicative
avec laquelle le message de l'Evangile a été et est envoyé au monde. N'en
déplaise aux naïfs, ou pire, aux fourbes. Qui, pensant faire une faveur à la
société dite civile, tellement à la mode aujourd'hui, acquièrent peut-être
la notoriété et une chaire où prêcher. Mais en réalité ne font du tort qu'à
eux-mêmes et à leur propre crédibilité.
L'ombre des maçons... François, comme Pie IX, dans
La Nuova Bussola
L'article qui suit suppose quelques connaissances sur le "Risorgimento"
(la période de l’histoire d’Italie dans la seconde moitié du XIXe siècle
au terme de laquelle les rois de la maison de Savoie unifient la péninsule
italienne par l'annexion de la Lombardie, de Venise, du Royaume des
Deux-Siciles, du Duché de Modène et Reggio, du Grand-duché de Toscane, du
Duché de Parme et des États pontificaux au Royaume de Sardaigne), mais
elles ne sont pas indispensables pour la compréhension du propos.
Vive Pie IX, comme vive François?
Angela Pellicciari
Pie IX (fr.wikipedia.org/wiki/Pie_IX),
le pape au plus long pontificat dans l'histoire, le pape qui a assisté au
démantèlement pièce par pièce des États pontificaux, le pape calomnié,
méprisé et ridiculisé par l'historiographie catholique elle-même, Pie IX,
donc, durant la première année et demie de son pontificat est entouré par
des manifestations extraordinaires d'exaltation publique: «Chaque jour,
applaudissements, chants, sérénades; jubilation quand le Pape sortait, quand
il voyageait, quand il revenait»; gens du peuple, nobles, bourgeois,
dirigeants italiens et étrangers, "protestants, catholiques, Turcs, Juifs",
tous criaient Vive Pie IX».
Voila ce que rapporte l'historien contemporain Cesare Cantù.
Ayant pour modèle la charité du Christ, Pie IX, immédiatement après son
élection au trône de Pierre, concéda une amnistie très large, étendue aux
délits politiques. Ce qui impliquait que les révolutionnaires de toutes
sortes furent remis en liberté en échange d'une déclaration qui les
engageait à ne plus conspirer contre l'Etat. Ce furent justement les membres
des factions sectaires qui, une fois libres, organisèrent la pantomime de
"Vive Pie IX", Pape libéral. Voici ce que recommandait Mazzini
(fr.wikipedia.org/wiki/Giuseppe_Mazzini)
en 1846, écrivant "Aux amis d'Italie": «Profitez de la plus petite
concession pour rassembler les masses, pour simuler la gratitude, quand cela
est le plus avantageux. Les fêtes, les hymnes, les attroupements, les
relations multipliées entre les hommes de toutes opinions, suffisent à
donner une impulsion aux idées, à inspirer au peuple le sentiment de sa
force, et à le rendre exigeant ».
C'est curieux à dire, mais l'explosion révolutionnaire de 1848 est préparée
à Rome par un «complot flatteur et festif», pour reprendre l'expression
efficace de Marco Minghetti, l'un des protagonistes du Risorgimento (fr.wikipedia.org/wiki/Marco_Minghetti
).
Il arrive que dans un temps très court, tout change et que du "Vive Pie IX",
on passe au «Vive Pie IX seul» pour finir par "Mort aux Noirs! Mort aux
Jésuites". Sans le "Vive Pie IX"Qui sait quand les foules italiennes se
seraient pour la première fois agitées dans l'enthousiasme de la vie
nationale», écrit le triumvir toscan Giuseppe Montanelli (fr.wikipedia.org/wiki/Giuseppe_Montanelli
). C'est aussi ce que pensent Jemolo (it.wikipedia.org/wiki/Arturo_Carlo_Jemolo),
et Gramsci, qui voit «le chef-d'œuvre politique du Risorgimento» dans le
fait que les libéraux ont réussi à «susciter la force catholico-libérale
et à obtenir que le même Pie IX se place, quoique brièvement, sur le terrain
du libéralisme».
Mais quel rapport entre Mastai Ferretti (ndt: nom du Pape Pie IX) et
Bergoglio?
Il y a un rapport. Dans un article paru dans la Repubblica vendredi dernier,
Alberto Statera parle d'un livre à paraître (Vaticano Massone. Logge, denaro
e poteri occulti: il lato segreto della Chiesa di Papa Francesco di Giacomo
Galeazzi e Ferruccio Pinotti) et écrit: «Les Grands Maîtres des nombreuses
franc-maçonneries italiennes semblent d'accord dans l'enthousiasme pour
l'avènement de François. Un pour tous: "Avec le Pape François, rien ne sera
comme avant. Clair est le choix de la fraternité pour une Eglise du
dialogue, non contaminée par la logique et les tentations du pouvoir
temporel». Signé: Gustavo Raffi, grand maître de la Grand Orient d'Italie».
(*)
Au moins du point de vue catholique, et quelle que soit l'interprétation
qu'on en donne, le soutien unanime à François n'est pas une bonne nouvelle.
***
L'article suivant peut sembler sentir furieusement la théorie du complot,
il ne doit sans doute pas être pris au pied de la lettre, mais je l'ai
traduit par curiosité. Il ne faut pas perdre de vue que l'auteur de
l'article écrit dans La Repubblica.
L'un des auteurs du livre, Giacomo Galeazzi, est un "vaticaniste" confirmé,
il travaille à La Stampa, et il collabore à Vatican Insider: j'ai souvent
traduit ses articles.
La croix et le compas. Franc-maçonnerie et Vatican
- l'intégrité morale de Joseph Ratzinger
http://ilblogdiraffaella.blogspot.it/
Alberto Statera (La Reppublica)
Les «fumées de Satan » évoquée par Paul VI il y a quarante ans, ont filtré à
travers quelque fissure aussi dans le dernier conclave qui a élu le jésuite
François à la tête d'une Eglise réduite, comme celle prophétisée par
l'évêque Malachie, traversée par des luttes de pouvoir et des guerres entre
bandes.
Cette fumée a l'odeur âcre de la franc-maçonnerie, un mot qui depuis des
siècles agite jusqu'aux feuilles des jardins du Vatican.
Et pourtant, loges officielles, loges secrètes et lodges illégitimes
s'entremêlent au coeur de Saint-Pierre.
C'est du moins la thèse d'un récent ouvrage de plus de 500 pages de Giacomo
Galeazzi et Ferruccio Pinotti (Vaticano
Massone. Logge, denaro e poteri occulti: il lato segreto della Chiesa di
Papa Francesco- "Vatican maçon. Loges, argent et pouvoir
occulte: le côté secret de l'Eglise du pape François").
Le thème, évidemment, se prête à l'accusation de complotisme, le désir
inepte de voir partout des complots et des conspirations.
Le Cardinal Bertone a ironisé à ce sujet sur les journalistes qui se
prennent pour Dan Brown.
Mais le livre est tellement documenté, rempli de témoignages et de documents
inédits qu'une réfutation avec cet argument ne tiendrait pas.
Entre autres choses, il contient la photocopie (ndt: le terme employé est
"copie anastatique") d'une lettre écrite par Virgile Gaito, ancien Grand
Maître du Grand Orient d'Italie, avec le cardinal Silvio Oddi, au pape
Jean-Paul II pour demander un «grand pacte» de pacification entre l'Eglise
et la franc-maçonnerie, la reconnaissance officielle par le Vatican de la
compatibilité entre la foi catholique et de l'appartenance à la
franc-maçonnerie.
«Pleinement conscients de la finalité poursuivie par la Franc-Maçonnerie
universelle, depuis toujours vouée à l'amélioration de l'individu pour le
bien et le progrès de l'humanité, qui ne peut être atteinte que par l'amour
et la tolérance - écrivent le Grand Maître et le cardinal - nous pensons que
c'est le moment propice pour lancer un appel à la réconciliation qui mette
fin au malentendu séculaire entre l'Église catholique et la
franc-maçonnerie».
Oddi, décédé en 2011, était considéré comme un grand protecteur de l'Opus
Dei, mais aussi un sponsor de l'entrée en lice, en 1994, de Silvio
Berlusconi, carte 1816 de la Loge P2 de Lucio Gelli et, selon le maçon
dissident Joel Magaldi, fondateur de sa propre obédience appelée "Loggia del
Dragone".
Wojtyla, du reste, utilisa en Pologne, en faveur de Solidarnosc et contre le
communisme le "piduista" (ndt: ie membre de la loge P2) Roberto Calvi, qui
finit assassiné selon le rituel maçonnique sous le pont des Frères Noirs à
Londres.
Comme son prédécesseur Paul VI, qui fit réaliser des symboles ésotériques
sur la tombe de sa mère, il avait utilisé les service d'un autre "piduista"
mafieux en faillite, Michele Sindona.
Mais sous le pontificat de Jean-Paul II, en 1983, il y eut la « Déclaration
sur la franc-maçonnerie», élaborée par le préfet de la Congrégation pour la
Doctrine de la Foi, Joseph Ratzinger, qui déclarait inchangée l'interdiction
d'appartenance à la franc-maçonnerie.
Interdiction ignorée durant son pontificat, selon la masse de documents et
de témoignages recueillis par Galeazzi et Pinotti, au point d'avoir
probablement contribué à provoquer la démission de Benoît XVI et peut-être
l'élection de François, le premier pape Jésuite de l'histoire, après que la
Compagnie de Jésus, considérée comme l'un des canaux d'infiltration
maçonnique du Vatican, ait été inspectée (ndt: commissariata = mise
sous contrôle d'un commissaire, ou d'une commission) par Jean-Paul II en
1981.
Le pontificat de Joseph Ratzinger a vu croître, au Vatican, le pouvoir de
groupes intégristes (!!) qui s'opposaient à lui, comme l'Opus Dei, Communion
et Libération, les Focolari, les Légionnaires du Christ, et qui se
disputaient le contrôle des finances et de l'IOR.
Mais l'ex-banquier Cesare Geronzi, intime du cardinal Bertone, lequel parle
rarement au hasard, a révélé récemment avoir trouvé des symboles maçonniques
en évidence sur le bureau d'un cardinal, et que, dans la finance catholique,
l'Opus Dei n'a pas vraiment d'importance car ce sont les francs-maçons qui
comptent. Et à l'intérieur des murs léonins aussi?
Certes, la franc-maçonnerie a eu une place prépondérante dans le procès
du majordome-corbeau de Ratzinger, qui soustrayait des documents sur la
table de l'un des hommes les plus puissants au monde. «Je me suis mis au
service d'une loge maçonnique qui opère à l'intérieur du Vatican - a
témoigné, en larmes, un employé laïc de la Secrétairerie d'État - dont font
également partie des cardinaux. Le but de notre action menée dans la
croyance de faire le bien de l' Eglise, est de mettre un terme à l'anarchie
qui menace le christianisme».
Parmi les milliers de documents saisis le 23 mai 2012 dans la maison du
majordome, «beaucoup concernaient la franc-maçonnerie et les services
secrets», comme l'ont déclaré les officiers de gendarmerie qui enquêtaient.
Avec une attention presque obsessionnelle pour la figure du piduista Luigi
Bisignani, qui était chez lui à l'IOR depuis l'époque du scandale Enimont
(cf.
fr.wikipedia.org/wiki/Montedison).
Le réseau des confidents de l'ex-majordome inclut le vicaire du pape pour la
Cité du Vatican Mgr Angelo Comastri et l'ancien vice-camerlingue Paolo Sardi,
désignés comme appartenant à une loge maçonnique interne; Mgr Francis Cavina,
maintenant titulaire du diocèse de Carpi, mais auparavant à la secrétairerie
d'État; et l'ancienne secrétaire de Ratzinger, Ingrid Stampa (ndt: un
amalgame déplaisant, car le rôle d'Ingrid Stampa n'a rien à voir avec la
maçonnerie).
Bergoglio grandit et se forme en Argentine, une république fondée sur
l'équerre et le compas, où les francs-maçons et l'Eglise sont très forts.
La thèse que le pouvoir excessif des groupes fondamentalistes ait déterminé
en réaction son élection au trône de Pierre est-elle soutenable?
Ou que cette élection soit plutôt le résultat d'un pacte entre la
franc-maçonnerie et les groupes de la droite catholique?
Dans le livre de Galeazzi et Pinotti, on ne trouvera pas une réponse
définitive, mais l'hypothèse pas vraiment farfelue que la décision de
démissionner de Ratzinger aurait été prise en prévision de l'élection du
jésuite sur un trône qu'il ne pouvait plus gouverner entre les scandales et
les luttes intestines entre factions opposées pour le pouvoir et l'argent.
Durant la première phase du conclave de 2005, d'ailleurs, le cardinal
Bergoglio avait recueilli le plus grand nombre de votes, mais renoncé
ensuite, pour céder à Ratzinger (ndt: ceci est une affirmation sans preuve,
et très probablement fausse. En principe, on ne devrait pas y avoir accès) .
Que l'air respiré au Conclave soit la fumée de Satan ou de l'air frais, les
Grands Maîtres des nombreuses maçonneries italiennes semblent d'accord dans
l'enthousiasme pour l'avènement de François. Un pour tous: «Avec le Pape
François, rien ne sera comme avant. Un choix clair de fraternité pour une
Eglise du dialogue, non contaminée par les logiques et les tentations du
pouvoir temporel ». Signé: Gustavo Raffi, Grand Maître du Grand Orient
d'Italie.
Sources : benoit-et-moi
-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 15.05.2013 -
T/Eglise
|