Benoît XVI, le Motu Proprio et la
prière pour les juifs |
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VATICAN, le 28 juillet 2007 -
(E.S.M.) - Plusieurs cercles juifs et des
organes de presse ont réagi vivement à l’occasion de la promulgation du
"Motu Proprio Summorum Pontificum" de Benoît XVI sur la Messe ancienne,
en appréhendant la réintroduction de la prière pour les Juifs
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Le pape Benoît XVI rencontre
les Juifs en Pologne
La prière pour les Juifs, affirme Benoît XVI, exprime la conviction que la
rencontre et le dialogue est une « tentative qui est entièrement dans les
mains de Dieu »
Plusieurs cercles juifs et des organes de presse ont réagi vivement à
l’occasion de la
promulgation du "Motu Proprio Summorum Pontificum" de Benoît
XVI sur la Messe ancienne, en appréhendant la réintroduction de la prière
pour les Juifs, celle dont le Pape Jean XXIII avait enlevé l’adjectif « perfidis
».
Certainement, peu de gens savent que les Oraisons solennelles du Vendredi
Saint ont une correspondance dans la « birkat ha-minim » (bénédiction contre
les hérétiques) de la liturgie juive, qui est la suivante : « Qu’il n’y ait
pas d’espérance pour les apostats ; déracine rapidement de nos jours le
royaume de l’orgueil ; et périssent en un instant les nazaréniens (ndlr : les
judéo-chrétiens -
Nazarénisme)
et les hérétiques : qu’ils soient effacés du livre des
vivants, et qu’ils ne soient pas inscrits avec les justes. Béni sois-tu
Yahvé qui plie les orgueilleux ».
C’est ce que récite la XII° bénédiction de la liturgie de la synagogue dans
la forme primitive. Dans le Talmud babylonien plus répandu aujourd’hui, on
trouve ceci : « Afin qu’il n’y ait pas d’espérance pour les calomniateurs et
les hérétiques, et que tous périssent en un instant ; que tous Tes ennemis
soient détruits en un instant, et Toi, humilie-les rapidement de nos jours.
Bénis es-tu Seigneur, qui brise les ennemis et humilie les orgueilleux
».
L’Oraison du Vendredi Saint dans sa version de 1962, déclare : « Nous prions
aussi pour les Juifs, afin que le Seigneur notre Dieu enlève le voile de
leur cœur, de manière à ce que, eux aussi, ils reconnaissent avec nous
Jésus-Christ Notre Seigneur. Prions : Ô Dieu tout puissant et éternel, ne
rejette pas non plus les Juifs de ta miséricorde, exauce les prières que
nous t’adressons pour ce peuple aveuglé, afin qu’il admette que le Christ
est la lumière de ta vérité, et sorte ainsi des ténèbres !».
La version du Missel de 1970 a été ainsi modifiée : « Prions pour les Juifs
: que le Seigneur notre Dieu qui les a choisis comme premiers parmi tous les
peuples pour accueillir sa Parole, les aide à progresser toujours dans
l’amour de son Nom et dans la fidélité à son Alliance ». (¨Prière en
silence) : « Dieu tout puissant et éternel, qui a fait tes promesses à
Abraham et à sa descendance, écoute avec bienveillance la prière de ton
Église, pour que le peuple aîné de ton Alliance, puisse parvenir à la
plénitude de ta Rédemption ».
En comparant les formules, on note que la formule juive se sert des
invectives propres à certains psaumes et textes prophétiques (par exemple le
psaume 58), qui ne sont pas étrangères non plus au Nouveau Testament. La
formule chrétienne de l’ancien Missel rappelle l’invitation de Saint Paul à
la communauté chrétienne à prier pour tous les hommes
(cf 1 Timothée 2, 1),
puis pour les Juifs, et lui rappelle le caractère irrévocable de l’élection
divine d’Israël (cf Romains 11, 25-26). D’après De Clerck, cette prière
pourrait être « d’une grande antiquité des ‘orationes sollemnes’, ou
pourrait remonter à une période où les Juifs étaient nombreux à Rome. Quand
à l’oraison du nouveau Missel, le thème est le peuple d’Abraham, dépositaire
des promesses divines « irrévocables », et appelé de toute façon « à la
plénitude de la rédemption ». Cela a toujours été la conscience de l’Église
qui, dans l’oraison, demande à Dieu de hâter la réalisation de cette
promesse.
Ce n’est donc pas le cas pour nos ‘frères aînés’ de continuer à se
scandaliser de la prière que les chrétiens élèvent à Dieu pour eux, quand
ils devraient veiller à modifier leur prière, étant donné que, dans la
première forme, et dans celle du Talmud Babylonien, la malédiction de Dieu
qui ne se concilie pas avec son amour universel, n’a été enlevée,.
UN PEU D’HISTOIRE
En réalité, la querelle cesserait si l’on se plaçait dans le rapport entre
liturgie chrétienne et liturgie juive, dont l’oraison de louange et
d’intercession a aussi son origine, comme le rappelle
le Catéchisme de l’Église Catholique
(n° 1096). En effet, le correspondant juif de
l’Oratio Fidelium -
mais aussi de l’anaphore d’après certains spécialistes comme Adrien Nocent -
est la prière «Semonèth Esréh» (la Tefilah de la 18° bénédiction). C’est
bien connu, le christianisme des origines, et donc la liturgie, s’est mise
dans un lien de continuité et en même temps de nouveauté par rapport au
judaïsme. Les nazaréens ou chrétiens avaient fréquenté le Temple
(cf Actes
2, 46), mais aussi les synagogues, jusqu’à ce que, deux décennies après sa
destruction en 70, les Juifs n’introduisent dans la Tefilah, la XII° «
bénédiction », précisément la « birkat ha-minim » (elles devinrent ainsi au
nombre de 19, mais le nom de Shemonèh Esréh ne fut pas changé), c’est-à-dire
une malédiction contre la secte considérée comme hérétique, des
judéo-chrétiens (cf Actes 24, 14), soit pour les tenir loin de la synagogue,
soit pour proclamer formellement la rupture définitive entre les deux
religions.
A côté des « minim » (dissidents), on mentionnait les nozrim, les nazaréens
c’est-à-dire les disciples de Jésus de Nazareth, pour qu’ils « disparaissent
aussitôt, effacés du livre de la vie et sans être inscrits avec les justes.
Beni sois-tu qui humilies les superbes » ( cf G. De Rosa, Gesù di Nazareth e
l’Ebraismo di ieri e oggi. Dal rifiuto all’approbazione esclusiva. “La
Civiltà Cattolica”, 15 (2000), n° 12). Dans cette même période, on
prescrivit en effet l’excommunication contre les judéo-chrétiens, qui, tout
en prétendant demeurer dans la synagogue, la divisaient par leur foi,
protégeaient les “païens », les romains surtout, et détruisaient le principe
dogmatique de « habdàlàh », c’est-à-dire la séparation entre circoncis et
non circoncis (cf H. Herts, Daily Prayer Book with commentary. Introductions
and notes, New York 1971, p.142). C’est ce que pensait Maimonide au Moyen
Age, et, de nos jours, le rabbin américain J. Petuchowski (cf S. Ben Chorin,
Il giudaismo in preghiera. La liturgia della sinagoga, Cinisello B. 1988,
p. 80). Toutefois, tous les juifs ne mentionnent pas aujourd’hui les
nazaréens et les dissidents, mais se limitent aux calomniateurs, aux
méchants et aux ennemis.
Quant aux Oraisons solennelles du Vendredi Saint, et à la Prière Universelle
ou des Fidèles de la Messe, elles se rattachent à la tradition apostolique
de prier pour tous : en particulier pour qu’ils passent une vie calme et
tranquille en toute piété et dignité, comme étant une « chose belle et
agréable au yeux de Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient
sauvés et arrivent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2, 1-3). Des
traces de cette prière se retrouvent chez Clément de Rome, Polycarpe de
Smyrne, Justin, Tertullien et Cyprien, qui soulignent la demande à Dieu de
parvenir à la connaissance de la vérité et au salut éternel. Prosper
d’Aquitaine (390-455) auteur du célèbre « ut legem credendi lex statuat
supplicandi » s’y référera avec le plus d’évidence. L’auteur ne voulait pas
instituer un automatisme, comme si de la prière devait dériver la norme de
la foi, mais dire que devient norme de foi cette prière liée avec la
doctrine catholique qui s’est terminée avec la mort du dernier Apôtre. En un
certain sens, la liturgie doit exprimer la foi catholique et apostolique,
ainsi que l’unité et la sainteté de l’Église.
Toutefois, la description la plus ancienne des « Orationes Sollemnes » se
trouve dans les « Capitula, un document joint à la Lettre du Pape Célestin
I° aux Évêques de Gaule, écrit entre 435-442. En particulier, dans la prière
« pro Judaeis », il déclare : « Ut Judaeis, ablato cordis velamine, lux
veritatis appareat ». la phrase rappelle avec évidence d’une part Saint Paul
(2 Cor 3, 12-16), et d’autre part l’oraison que, par Léon le Grand et les
livres liturgiques romains du haut Moyen Age connus comme « Ordines »,
arrive à la forme du Missel Romain de 1962. Et donc, les sources liturgiques
qui nous transmettent les « Orationes sollemnes » remontent aux traditions
gélasienne, grégorienne et franque, codifiées dans les Sacramentaires et
dans les « Ordines Romani ».
L’Oratio pro conversione Judaeorum, la sixième des Oraisons solennelles,
dans le Missel de 1970, porte le simple titre « Pro Judaeis ». L’expression
« perfidis » a été enlevée, même si elle voulait tout simplement dire «
incrédules, mieux en un certain sens que la formule du « minim », les
dissidents de la « birkat » juive. Pour l’analyse et la traduction de
l’expression, approuvée déjà en 1948 par la Congrégation des rites, nous
renvoyons aux études existantes ; mais en 1936 déjà, le grand exégète
protestant devenu catholique, Eric Peterson, avait publié une étude dans
laquelle il montrait que l’épithète voulait dire « parjure
», en ce sens que
les Juifs avaient fait un pacte avec Jahvé, qu’ils n’avaient pas
respecté. Cette signification, appliquées aux païens également, se trouve
dans plusieurs oeuvres de Cyprien et d’Ambroise. Saint Augustin, se référant
à la justice de la foi en Saint Paul, la traduit par injustice et manque de
foi. On trouve aussi dans la même ligne Gélase et Grégoire le Grand.
A ce point, on peut déduire que la « Oratio pro Judaeis » semble en
un certain sens spéculer sur la "birkat ha-minim" juive, la malédiction
contre les hérétiques ; presque comme une « réponse », parce que le donné
liturgique n’est jamais abstrait, et que tous deux remontent à la même
époque, comme nous l’avons vu. A l’excommunication prononcée contre les
judéo-chrétiens, et à l’accusation « d’hérésie » de la part des Juifs,-
peut-être durant le synode de Jabne en 90 de notre ère
(après
la destruction du Temple) - qui
voulaient de cette manière marquer la rupture définitive du Judaïsme
officiel avec les chrétiens, ces derniers auraient « répondu » par
l’insertion de la « prière pour les Juifs ». Au-delà de toute polémique, «
il est raisonnable de retenir que l’histoire des deux prières, dont le
contenu était certainement connu des juifs et des chrétiens à la fin du I°
siècle, se soit mêlée, donnant ainsi forme au texte liturgique comme il nous
est parvenu, sauf, évidemment, les modifications inévitables que connaissent
en général les textes liturgiques au cours des siècles »
(Annariova Abrusci,
Storia ed evoluzione delle Orazioni sollenni. Il caso della Preghiera Pro
Judaeis, thèse de doctorat à l’ISSR de Bari, 200-2001, p 111-112 pro
manuscritto). Cela montre une fois encore l’influence de la liturgie juive
sur la liturgie chrétienne. La prière ne peut être modifiée en contradiction
avec la doctrine catholique et apostolique. Nous prierons donc aujourd’hui
volontiers également avec les nouvelles formules du Missel Romain de Paul
VI, où l’on demande au Seigneur que « le peuple aîné de ton alliance puisse
parvenir à la plénitude de la rédemption ».
L’ÉGLISE PRIE POUR LA CONVERSION DE TOUS LES HOMMES
12. En possession d'une telle espérance, nous nous comportons avec beaucoup
d'assurance, 13. et non comme Moïse, qui mettait un
voile sur son visage pour empêcher les fils d'Israël de voir la fin de ce
qui est passager.14. Mais leur entendement s'est obscurci. Jusqu'à ce jour en effet,
lorsqu'on lit l'Ancien Testament, ce même voile demeure. Il n'est point
retiré ; car c'est le Christ qui le fait disparaître.
15. Oui, jusqu'à ce jour, toutes les fois qu'on lit Moïse, un voile est posé
sur leur cœur. 16. C'est quand on se convertit au Seigneur que le voile est enlevé.
(2 Corinthiens 3, 12-16)
Ce texte de saint Paul est de façon notoire la source de l’oraison pour les
Juifs jusqu’au Missel de 1962. Aujourd’hui, de nombreux catholiques ont peur
de la conversion, et les Juifs aussi, qui voudraient que l’Église Catholique
ne soit pas elle-même, du moins à leur égard. A présent, la conversion est
l’essence de l’Évangile de Jésus, et a indiqué le chemin vers Lui des
peuples et des nations (cf les études de E. Peterson sur l’interprétation de
Romains 9-11, et la signification de la conversion). En faisant la vérité
dans la charité et dans le respect de la liberté, l’Église a comme priorité
l’annonce de l’Évangile qui est la vérité pleine et définitive sur l’homme
et à laquelle l’homme est appelé à se convertir. C’est le Christ qui l’a
déclaré : « Les temps sont accomplis… convertissez-vous et croyez à
l’évangile » (Marc 1, 15),
et non pas « dialoguez et mettez-vous d’accord
».
Saint Pierre a décrit la conversion comme un parcours irréversible : à
partir de la parole des prophètes, lampe qui brille dans un lieu obscur
jusqu’au lever de l’étoile du matin (cf 2 Pierre 1,19), les Mages avaient
cherché la vérité à la suite de l’étoile, jusqu’au moment où ils trouvèrent
la vraie lumière (cf Mathieu, 2, 2) ; saint Paul, après être allé à tâtons
comme dans un lieu obscur (cf Actes 17, 27)
jusqu’à être investi par le
Christ vérité incarnée, et jusqu’à se convertir à Lui.
L’Église, comme l’a déclaré le Concile, est sacrement aussi par rapport aux
religions, c’est-à-dire qu’elle n’est pas seulement signe mais instrument de
salut pour tous. On comprend ainsi que le christianisme soit une religion
universelle qui fait connaître le vrai Dieu d’Israël
(cf Jean Paul II : «
Varcare la soglia della speranza, Milano, 1994, p. 112).
Le thème du salut en Jésus-Christ, salut nécessaire pour tout homme, a été
réaffirmé dans la Déclaration «
Dominus Jesus ». Le dialogue avec les Juifs
naît de la « conscience du don du salut unique et universel offert par le
Père par Jésus-Christ dans l’Esprit » (n° 13). En montrant précisément dans
le Christ l’accomplissement du Judaïsme, l’Église est arrivée à aborder le
monde païen « qui aspirait au salut par une pluralité de dieux sauveurs »
(Ibid.)
Le dialogue fait partie intégrante de la conscience missionnaire de l’Église, fondé sur la conscience de la dignité égale de tous les hommes, à quelque
religion qu’ils appartiennent, et dans le même temps sur la primauté de
Jésus et de sa doctrine « en confrontation avec les fondateurs des autres
religions » (Dominus Jesus, n° 22).
L’Église propose le Royaume de Dieu somme Seigneurie universelle de
Jésus-Christ (cf J. Ratzinger - Benoît XVI, « Gesù di Nazaret », Città del
Vaticano 2007, chap III) ; Benoît XVI cite dans son ouvrage le rabbin érudit
Jacob Neusner qui, dans un essai de 1993 avait mis en relief toute la
différence entre la Torah et Jésus. Si et quand tous les hommes entreront
dans la Nouvelle Alliance de l’Église, y compris les Juifs,
c’est une
question à laisser au Saint-Esprit (cf « Varcare… p.112). La prière pour les
Juifs, formule Benoît XVI, exprime la conviction que la rencontre et le dialogue est une «
tentative qui est entièrement dans les mains de Dieu »
(Gesù di Nazaret,
p.248), avec un message : « Alors ils n’abandonneront pas leur obéissance -
(à la Torah qui permet de voir Dieu « de dos », ibid, p. 310-311)
- mais
elle viendra de sources plus profondes , et sera plus grande pour cette
raison, plus sincère et plus pure, mais surtout, plus humble aussi (ibid. p.
249) (Un
rabbin débat avec le pape Benoît XVI)
On comprend mieux ainsi les demandes de pardon et le geste de Jean Paul II
au « Mur des Lamentations », et, auparavant même, l’intervention du Cardinal
Joseph Ratzinger, qui est devenu Benoît XVI, lors de la Conférence Internationale judéo-chrétienne de
Jérusalem en 1994, où il développa le thème de la réconciliation, essence de
deux fois, en rappelant que le sang versé par le Christ ne criait pas
vengeance, mais au contraire réconciliation.
Aucune intention, du côté
catholique, donc, d’enflammer l’anti-judaïsme - et espérons du côté juif pas
non plus d’antichristianisme - mais connaissance et respect réciproque, y
compris des expressions des différentes fois, en priant les uns pour les
autres. "Juifs et chrétiens ont un riche héritage commun" ,
affirmait le Saint-Père Benoît XVI, "ce qui rend nos rapports uniques parmi
les religions mondiales. L'Église n'oubliera jamais le Peuple élu avec
lequel Dieu conclut une alliance sacrée" (Benoît
XVI)
LES PAROLES DE LA DOCTRINE par l’Abbé Nicola Bux et l’abbé
Salvatore Vitiello
Liens :
"En cette circonstance, exprimait Benoît XVI, je veux
aussi confirmer mon désir de poursuivre avec une grande vigueur le
chemin en vue d'une amélioration des relations et de l'amitié avec le
peuple juif, chemin sur lequel le Pape Jean-Paul II a fait des
pas décisifs" (cf.
►
Discours 09.06.05). ►
Relations entre juifs et chrétiens
Le souverain pontife a plaidé pour un rapprochement entre juifs et chrétiens
contre «les forces du mal» et dénoncé l’émergence «de nouveaux signe
d’antisémitisme». Le discours de Benoît XVI a été salué par les 500
personnalités présentes dont l’ambassadeur d’Israël en Allemagne qui se sont
levées pour applaudir le pape. Le président du Conseil des juifs d’Allemagne
s’est déclaré «extrêmement heureux et impressionné» par les propos de Benoît
XVI : ►
Visite à la Synagogue de Cologne
Table
:
Doctrine catholique sur
l'Église
Congrégation pour la Doctrine de la Foi:
►
Réponses à des interrogations concernant certains aspects de la doctrine sur
l'Eglise
Commentaire aux Réponses à des questions concernant
certains aspects de la doctrine sur l'Église
: ►
Rappel explicite de la doctrine catholique sur l'Église
Pour bien comprendre le document de la doctrine de
la Foi qui exprime totalement la pensée de Benoît XVI - Interview de
l'archevêque Angelo Amato :
►
Questions concernant le document de la
doctrine de la Foi
Sources:
www.vatican.va
-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie, sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 28.07.2007 - BENOÎT XVI -
Doctrine - Table doctrine de la Foi |