La croix se dresse au carrefour où la foi tremble et hésite
Le 26 juillet 2024 -
E.S.M.
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C'est en effet par la croix que passe désormais tout chemin
vers Dieu. Et la voie suivie par le Christ est celle que son Esprit
fait emprunter aux hommes. Il faut affronter le scandale de la croix
et sa folie, pour atteindre la sagesse. Insupportable aux Juifs et
aux disciples eux-mêmes. Sans l'assistance de l'Esprit Saint, que
serait notre foi ? Il faut à notre regard intérieur autre chose que
la raison et le sentiment, pour nous rallier à la croix, pour
qu'elle soit notre espérance et déjà notre joie, pour que notre foi
en soit nourrie, confortée et illuminée dans sa nuit. Cette
assistance qui supplée à notre faiblesse est celle du Don de Dieu,
celle de l'Esprit.
Très Sainte Trinité -
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Jésus a promis le Paraclet à ses apôtres. C'est « son » Esprit (Jn
14.26 - 16.14)
"
théologie monastique"
Dans les perspectives bibliques, la soif et l'eau sont éminemment
évocatrices du temps de l'Exode, de cette marche dans le désert, de ce «
passage » vers la Terre promise, images de la destinée
humaine.
Le Christ, en venant lui-même dans ce désert, nous a permis
d'accomplir ce passage. Il prend la tête de l'humanité, il traverse la vie
en y traçant cette Route qu'il est lui-même, et nous invite à le suivre.
Ici-bas c'est le désert, mais c'est aussi le temps donné par
Dieu à l'homme pour que s'éveille en lui la soif des vérités éternelles :
« Je t'ai conduit dans le désert », disait déjà le prophète (Os 2.16). Le
désert, c'est également le « temps des fiançailles (Os 2.21) ».
On peut dire de ce temps où Jésus est venu « parmi les siens
», qu'il y est demeuré seul. C'est dans un désert de dimensions divines
qu'il effectue sa grande traversée. Il éprouve la soif, lui aussi, mais la
soif de faire connaître le « don de Dieu » aux âmes qui risquent de mourir
de soif et ne le savent pas ; le leur découvrir, leur apprendre à avoir soif
de Dieu, c'est à quoi il va s'efforcer durant ces trois années
d'enseignement. Alors, « la terre altérée deviendra fertile, et la steppe
fleurira (Is 35.1) », alors les hommes « puiseront avec joie aux sources du
salut (Is 12.3)».
Chaque parole du Christ s'épanche sur la terre sèche et
crevassée, et peu à peu lui rend la vie. L'humanité ignore encore qu'elle
possède au milieu d'elle « le rejeton sorti de la souche de Jessé, sur qui
repose l'Esprit de Yahvé, esprit de sagesse et d'intelligence, esprit de
conseil et de force, esprit de science et de crainte de Yahvé (Is 11. 1) »,
que déjà elle commence à renaître « de l'eau et de l'Esprit (3.5) ».
Combien de fois le Christ, durant ces jours, dut-il se
murmurer à lui-même les paroles d'Isaïe :
Les miséreux et les pauvres cherchent de l'eau, et rien...!
Leur langue est desséchée par la soif. Moi Yahvé, je les
exaucerai. Sur des monts chauves, je ferai jaillir des
fleuves et des sources au milieu des vallons. Je
transformerai le désert
en étang, et la terre aride en fontaine.
Dans le désert je mettrai du cèdre, de l'acacia, du myrte et
de
l'olivier. Dans la steppe, je planterai du genévrier,
du platane et du cyprès côte à côte (Is 41.17-19) ;
Au bord du puits de Jacob, Jésus vient dire que le temps
était arrivé où toute soif serait étanchée. «L'heure vient - et
nous y sommes - où les vrais adorateurs adoreront en esprit et en vérité...(4.23)
» « Si tu savais le don de Dieu...(4.10) » Jésus porte en lui ce don,
il l'est en Personne. Sur lui, l'Esprit est descendu et a demeuré. Dieu «
le lui donne sans mesure (3-34) ». N'est-il pas le Christ, l'Oint
du Seigneur ?
Déjà sa parole se répand. Mais il faudra encore le prix de sa
vie et de sa mort, pour que ce don jaillisse comme un torrent. Par lui, les
hommes « connaîtront Yahvé » (Os 6.3), et leur vie recevra sens et
épanouissement. Il ne s'agit pas d'un choix. Par vocation, l'homme est
ordonné à son Dieu et à la vie éternelle. Par l'Esprit qui lui sera donné,
il la connaîtra dans son Oint, et s'y abreuvera inépuisablement. Il adorera
le Père « en esprit et vérité (3-34) ». La vraie vie de l'enfant de
Dieu n'est pas autonomie, mais dépendance amoureuse d'une Autre Vie qui la
nourrit et la garde près de ses sources. Si Jésus est le Berger, l'Esprit
est la Fontaine où le troupeau se désaltère. Le Bercail est la vie divine
elle-même, et il n'y en a point d'autre pour l'enfant de Dieu. « Ce n'est ni
sur cette montagne, ni à Jérusalem que vous adorerez le Père (4.21). »
L'adoration « en esprit
et vérité » ne connaîtra plus désormais d'autre
Temple que le cœur même du crucifié.
«
Selon le mot de l'Écriture, de son sein couleront des fleuves d'eau vive.
Il parlait — poursuit
l'évangéliste — de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croient en
lui, car il n'y avait pas encore d'Esprit, parce que Jésus n'avait pas
encore été glorifié (7-38,39). »
L'heure de la mort du Christ, heure attendue et non différée
du suprême sacrifice, est aussi l'heure à laquelle commence sa
glorification. « Je dois recevoir un baptême » avait dit Jésus ( Lc 12.50)
et grande était son angoisse, malgré l'ardeur de son désir : « Je suis venu
apporter le feu sur la terre, et comme je voudrais que déjà il fût allumé
(Lc 12.49) ». Le feu descendra effectivement sur les apôtres au Cénacle, et
Jésus avait soif, au-delà de la mort par laquelle il lui fallait passer, de
cette vie brûlante qui allait enflammer les apôtres ; de cet Autre qui
viendrait leur « faire aimer l'Amour ».
«Il est venu chez lui, et les siens ne l'ont pas reçu. Mais à tous ceux
qui l'ont reçu, il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu
(1.12). »
Entre ce refus et la venue de l'Esprit Saint qui fortifiera la foi de ceux
qui l'ont accueilli, il y a la mort du Christ. Ce serait la mort d'un
crucifié comme les autres, si, dans son dernier souffle, il n'avait «
livré l'Esprit ». Il dit : « Tout est achevé, il baissa la tête et
remit son Esprit [19.30, cf. note : Bible de Jérusalem : « L'expression
grecque est singulière : littéralement, « il livra l'esprit ». Ce ne peut
être sans dessein. Pour l'évangéliste le dernier soupir de Jésus prélude à
l'effusion de l'Esprit] », et si encore, de son côté ouvert, n'étaient
sortis « du sang et de l'eau (19-34) ». Ce baptême qu'il souhaitait
ardemment, voici qu'il vient d'en être baptisé. Baptême d'eau, de sang et
d'esprit tout à la fois, comme Jean le note dans son Épître :
C'est lui qui est venu par eau et par sang : Jésus
Christ,
non avec l'eau seulement mais avec l'eau et avec le
sang.
Et c'est l'Esprit qui rend témoignage, parce que
l'Esprit est la vérité.
Il y en a ainsi trois à témoigner : l'Esprit, l'eau, le
sang et ces trois sont d'accord (1Jn 5.8).
Oui, les trois sont d'accord. La mort de l'Agneau de
Dieu sur la croix répond au baptême du Jourdain comme la nuit répond au
jour. Directement, du cœur de Dieu ouvert, l'Esprit passe dans le cœur des
hommes afin de rendre témoignage. Mais du cœur du Christ, l'Esprit remonte
aussi vers le Père, tandis que de la croix où Jésus reste attaché, l'Amour,
d'âge en âge, va déferler sur le monde.
C'est en effet par la croix que passe désormais tout chemin
vers Dieu. Et la voie suivie par le Christ est celle que son Esprit fait
emprunter aux hommes. Il faut affronter le scandale de la croix et sa folie,
pour atteindre la sagesse. Insupportable aux Juifs et aux disciples
eux-mêmes, .
Sans
l'assistance de l'Esprit Saint, que serait notre foi ? Il faut à notre
regard intérieur autre chose que la raison et le sentiment, pour nous
rallier à la croix, pour qu'elle soit notre espérance et déjà notre joie,
pour que notre foi en soit nourrie, confortée et illuminée dans sa nuit.
Cette assistance qui supplée à notre faiblesse est celle du Don de Dieu,
celle de l'Esprit.
A deux reprises Jésus réprimande doucement ses disciples de
leur tristesse : « Si vous m'aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je
vais au Père...(14.28) » ; « Maintenant je vais à celui qui m'a
envoyé et aucun de vous ne me demande : 'Où vas-tu?' mais, parce que je vous
ai dit cela, la tristesse remplit vos cœurs (16.5,6) ».
A ses apôtres désemparés il
ne donne pas seulement l'assurance qu'ils ne resteront pas seuls et
orphelins (14.18), mais encore que dans celui qu'il leur enverra, et qui
leur sera aide et présence, ils le retrouveront fidèlement.
Sous une forme différente, certes, mais très réelle, l'Esprit
leur sera « tout » ce que le Christ était pour eux : défenseur, conseiller,
protecteur, soutien, et à l'égard de ce Père que Jésus leur apprit à aimer :
avocat et intercesseur (14.16).
Afin de le leur montrer Jésus prend lui-même ici le titre de
Paraclet qu'il vient de donner à l'Esprit : «Je prierai le Père, et il
vous donnera un autre Paraclet pour être avec vous à jamais (Idem)».
L'Esprit fera vivre dans leur souvenir les enseignements de
Jésus. Il leur révélera ce qui leur échappe encore, mais ne les entraînera
pas dans des chemins aventureux, car il ne parlera pas de lui-même (16.13).
L'Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous
enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit (14.26).
Ce
serait peu de chose en effet, qu'une croyance traditionaliste. « En
vérité », écrit saint Paul, « nul ne peut dire : Jésus est le Seigneur, que
sous l'action de l'Esprit Saint (1Co 12.3) » ; et nous contenter de ce que
nous avons appris du dogme serait le mépriser :
J'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous
ne pouvez les porter maintenant (16.12).
Quand il viendra, lui, l'Esprit de Vérité,
II vous conduira à la vérité tout entière (16.13).
« Si vous qui êtes mauvais savez donner de bonnes choses à
vos enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l'Esprit à ceux qui
l'en prient (Lc 11.13).» Plutôt que de demander l'Esprit qui nous les
donnerait, justifierons-nous notre négligence sous prétexte qu'elles sont
trop grandes pour nous ? Comment ignorer que l'Esprit n'a d'autre
préoccupation, d'autre désir que de « prendre du bien du Christ, afin de
nous en faire part (16.14) ». Il ne fera que manifester, expliciter,
mettre en lumière et en valeur les richesses inépuisables du Christ. Bien
mieux, en fidèle exécuteur testamentaire, il enverra les siens en possession
de ce don de Dieu que le Christ leur lègue, mais dont ils n'auraient pas su
apprécier la valeur, ni faire usage. En venant à eux, en se donnant à eux,
l'Esprit leur en révélera le sens et la vertu cachés. Ainsi, non seulement
rien de ce qui constitue l'héritage du Christ ne leur sera retiré, mais
encore l'Esprit sera le seul à pouvoir les en faire bénéficier
pleinement.
Ainsi Jésus attirait-il le regard de ses disciples vers ce
qui seul, à ses yeux, le méritait : son retour au Père, la vie en Dieu, et
le don de l'Esprit qui suivrait ce retour.
Jésus a promis le Paraclet à ses
apôtres. C'est « son »
Esprit (Jn 14.26 - 16.14), mais l'Esprit n'est pas en liaison moins intime avec
le Père. Il provient de lui (15.26), il est un don du Père
: « Je prierai le
Père, il vous donnera un autre Paraclet (14.16) ».
En définitive, c'est en union avec son Père que le Christ
envoie l'Esprit [15.16. La théologie exprimera cette réalité en
disant que l'Esprit procède du Père et du Fils comme d'un seul principe]
, comme le laisse entendre cette parole du Maître : Quand viendra le Paraclet que «je»
vous enverrai d'auprès du Père (15.26) ».
C'est donc dans le mystère même de la Trinité, qui est aussi le mystère de
l'unité du Père et du Fils, que le Christ fait entrer ses apôtres, lorsque,
au jour de la Cène, il leur parle de l'Esprit Saint et leur en promet la
venue.
L'appartenance mutuelle du Père et du Fils est clairement
soulignée dans le Discours après la Cène. Appartenance de biens : « Tout
ce qu'a le Père est à moi (17.10) ». Appartenance plus essentielle
encore au plan du don et de l'inhabitation mutuelle : « Toi en moi, moi en
toi (17.21) ». Mais s'agit-il ici d'une nécessité de nature qui obligerait
Dieu au partage de la vie divine et au partage de ses richesses entre les
Personnes ? Que cette nature soit spirituelle écarte déjà la question. Le
vouloir divin échappe à toute exigence qui prendrait la forme d'un « devoir
». La nécessité, là où elle est intériorisée, n'est plus contrainte, elle
est liberté et cette liberté s'exprime dans un acte éternel : la procession
des Personnes divines. Le Père engendre son Fils qui reflue éternellement au
sein du Père.
Le nœud de cette mutuelle relation et qui en exprime l'unité,
c'est l'Esprit, amour du Père incliné vers son Fils, amour du Fils tourné
vers son Père :
Le Père et moi nous sommes un (10.30).
Le Père est en moi, et moi dans le Père (10.38).
Génération ineffable, unité indicible...
Que l'égalité des Trois soit absolue dans la complaisance où
le Père et le Fils sont établis l'un à l'égard de l'autre, nous le percevons
dans les paroles de Jésus :
Je fais toujours ce qui plaît à mon Père (8.29)
manifestant ainsi la communion des volontés. Nous le percevons aussi dans la
parole du Père au baptême et au Thabor, où cette complaisance est soulignée
:
Tu es mon Fils bien-aimé, tu as toute ma faveur
(Lc.3.22).
De cet amour du Père pour lui, Jésus se réclamera pour
affirmer que ce qu'on demandera au Père en son Nom sera accordé (16.23,24) ,
et dans la prière sacerdotale il dira : « Père, je veux...(17.24) »
Quant à l'Esprit, « il prendra de mon bien et il vous en
fera part (16,14) », non comme un serviteur à l'égard de son maître,
mais comme d'égal à égal. Envoyé comme un « autre Paraclet (14.16) »,
l'Esprit achèvera l'œuvre dont ils ont convenu dans un même vouloir.
Tel qu'il nous est proposé par saint Jean, le mystère
trinitaire s'explicite et s'exprime en définitive sous la forme d'un mystère
d'amour, sans antécédent, éternel comme la réalité même de Dieu.
« Dieu est amour (1 Jn 4.8) », mais si nous en avons la
preuve « en ceci qu'il a donné son Fils (1 Jn 4.10) »
afin de sauver le monde, nous sentons bien, avec la scène du baptême
au Jourdain, que l'Esprit est le témoignage suprême de cet amour. En
complément : [
LETTRE ENCYCLIQUE "DIEU EST AMOUR" DU SOUVERAIN PONTIFE BENOÎT XVI
25/12/2005 ]
Esprit du Père et du Fils, II n'est autre que leur mutuelle
et éternelle complaisance, la Flamme jaillissant du foyer de leur amour
toujours en acte.
Si nous osions emprunter une image aux réalités terrestres,
nous pourrions évoquer l'écume au sommet de deux vagues, qui s'appellent et
se rencontrent. Autre chose qu'elles et pourtant encore elles-mêmes ; à la
fois, pour chacune, l'expression de son mouvement propre, et l'exultation de
la mer entière.
Mais les images ne sont rien auprès de la Réalité divine.
L'Esprit EST en lui-même, comme EST le Père, comme EST le
Fils, éternellement. Et ce que nous savons peut-être le mieux de lui, c'est
ce qu'au bord du Jourdain nous avions déjà pressenti : la dilection
ineffable du Père pour le Fils et du Fils pour son Père. Tout le discours
après la Cène est imprégné à son tour de la suavité du retour du Fils à son
Père.
« Maintenant, Père, je viens à toi, et je dis ces choses
encore présent dans le monde, pour qu'ils aient en eux-mêmes ma joie en sa
plénitude (17.13) ». Or, il avait averti les siens qu'il lui restait
encore, après avoir tout donné, à leur donner l'Esprit.
Du monde leur
viendront la persécution et la haine (15.19-20) ; de Dieu où « ils
demeurent (1Jn 2.24) », leur sera donnée la joie même du Fils « en sa
plénitude (17.13). » Joie et Esprit sont un, et la glorification que le
Christ a déjà reçue sera aussi en eux : « Ce qui est à toi est à moi, et je
suis glorifié en eux (17.10) ».
La glorification du baptême, comme celle du Thabor, avait
consisté dans le témoignage donné par le Père, de sa bienveillance infinie
pour son Fils, et de la joie qu'il trouvait à l'aimer dans l'Esprit reposant
sur lui. Cette « gloire (17.05) » que le Fils a possédée « près de son Père,
avant que fût le monde (17.5) », il la retrouvera à l'heure de sa mort,
suprême glorification de l'amour qui se complaît en son œuvre, et célèbre
son unité dans l'Esprit Saint.
La glorification elle-même est toujours œuvre du Père et du
Fils, du Principe qui crée, et de la Parole qui fait : « Je t'ai glorifié
(17.4) », « Père, glorifie-moi (17.5) », mais c'est l'Esprit qui
témoigne de cette glorification et l'accomplit. Aussi, l'humble témoignage
de notre foi qui par l'Esprit Saint glorifie Dieu, s'adresse tout ensemble
aux Trois, cri de joie dans leur infinie béatitude.
Hors de cette unité et de cette béatitude de Dieu, il n'est
que des ombres. Son Amour est devenu la vraie terre des hommes. L'Esprit
Saint est notre patrie : comme le Christ (Mt 28.20), il est toujours « avec
nous (14-I7) ». Il nous enseigne le goût des choses divines, et lorsque
tressaille en nos cœurs, pauvres ou riches, éblouis ou désespérés, le chant
secret de notre foi, nous pouvons redire avec saint Jean : « «
Nous
savons que Dieu demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné
(1 Jn
3-24) ».
L'Esprit Saint - 1 : Introduction
L'Esprit Saint - 2 :
Le Christ, l'Oint de Yahvé, qui seul reçoit l'Esprit en plénitude et en dispose
L'Esprit Saint -
3 : Toute la scène du Jourdain est trinitaire
L'Esprit Saint -
4 : Nicodème
ironisant un peu lourdement
L'Esprit Saint -
5 : La croix se dresse au carrefour où la foi tremble et
hésite
Sur le même sujet :
Benoît XVI : Le point de départ de la foi en Dieu un et trine
Nous vous proposons quelques réflexions du pape Benoît XVI en rapport avec
le mystère de la Sainte Trinité.
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º E.S.M.
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.Sources :Extraits d'un texte
original des écrits d'un ami, le Père Paul Marie de la Croix O.C.D.-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.)26.07.2024