Benoît XVI explique ce qui fait scandale pour notre mentalité moderne
Le 24 mars 2023 - E.S.M. - Aussi l'une des questions majeures soulevées par le dernier article du symbole est-elle celle de l'Église. L'autre grand problème que cet article nous pose est contenu dans l'affirmation de la résurrection de la chair, qui fait scandale pour notre mentalité moderne tout autant que pour le spiritualisme du monde grec, même si les raisons de ce scandale ont changé. Nous essayerons, pour conclure notre périple à travers le Symbole, d'examiner encore quelque peu ces deux questions.


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THEOLOGIE
L'ESPRIT ET L'ÉGLISE


Les réflexions précédentes ont cherché à dégager la richesse et la portée des dernières affirmations du Symbole. L'image chrétienne de l'homme, le problème du péché et de la rédemption y sont encore une fois évoqués ; mais on y trouve surtout ancré le « oui » à l'idée sacramentelle, qui elle-même représente le cœur du concept de l'Église : l'Église et les sacrements tiennent et tombent ensemble ; l'Église sans les sacrements serait une organisation vide et les sacrements sans l'Église seraient des rites sans signification et sans lien interne. Aussi l'une des questions majeures soulevées par le dernier article du symbole est-elle celle de l'Église. L'autre grand problème que cet article nous pose est contenu dans l'affirmation de la résurrection de la chair, qui fait scandale pour notre mentalité moderne tout autant que pour le spiritualisme du monde grec, même si les raisons de ce scandale ont changé. Nous essayerons, pour conclure notre périple à travers le Symbole, d'examiner encore quelque peu ces deux questions.

I. « LA SAINTE ÉGLISE CATHOLIQUE »

Nous ne pouvons évidemment pas envisager de développer ici en son entier la théologie de l'Église. Nous voulons seulement essayer brièvement, en faisant abstraction des questions théologiques particulières, de cerner ce qui fait véritablement problème pour nous lorsque nous prononçons la formule de « Sainte Église catholique », et nous chercherons à découvrir la réponse que le texte lui-même du Symbole nous apporte. Dans cette recherche restent toujours présupposées les considérations que nous avons faites au sujet du contexte théologique de notre formule ; d'une part, elle se réfère à la confession de l'action puissante du Saint-Esprit dans l'histoire, et d'autre part, elle trouve son explication dans les paroles qui suivent, sur la « rémission des péchés » et la « communion des saints », où le baptême, la pénitence et l'eucharistie sont présentés comme les fondements de l'Église, comme son véritable contenu et son vrai mode d'existence.

Peut-être une grande partie des difficultés que nous éprouvons en affirmant notre foi en l'Église se trouve-t-elle déjà surmontée si nous prenons en considération le contexte indiqué. Essayons cependant d'exprimer ce qui nous trouble aujourd'hui sur ce point. Si nous voulons être francs, convient Benoit XVI, nous devons bien reconnaître que nous sommes tentés de dire que l'Église n'est ni sainte ni catholique. Le deuxième concile du Vatican lui-même en est venu à ne plus parler simplement de l'Église sainte, mais de l'Église pécheresse ; et si l'on a critiqué le concile à ce sujet, cela a été tout au plus pour lui reprocher d'avoir été trop timide dans son affirmation, tellement est fort aujourd'hui dans notre conscience à tous, le sentiment de la condition pécheresse de l'Église. Il est fort possible que joue également ici l'influence d'une théologie luthérienne du péché, et donc un présupposé dogmatique. Mais ce qui rend cette « dogmatique » si convaincante, c'est sa correspondance avec notre propre expérience. Les siècles de l'histoire de l'Église sont tellement remplis de défaillances humaines, que nous pouvons comprendre l'effroyable vision de Dante, voyant la prostituée babylonienne assise dans le char de l'Église, et que nous trouvons concevables les paroles terribles de l'évêque de Paris, Guillaume d'Auvergne (XIIIe siècle), qui disait que tout homme, à la vue de la dépravation de l'Église, devait se sentir glacé d'horreur. « Ce n'est plus une épouse, mais un monstre effrayant, difforme et sauvage 2.. »

De même que la sainteté, la catholicité de l'Église nous paraît elle aussi problématique. La tunique sans couture du Seigneur est déchirée entre des parties adverses, l'unique Église est divisée en une foule d'églises, dont chacune a plus ou moins la prétention d'être seule dépositaire de la vérité. Et ainsi l'Église est devenue aujourd'hui pour beaucoup l'obstacle majeur de la foi. Ils n'arrivent plus à voir en elle que l'ambition humaine du pouvoir, le jeu mesquin de ceux qui, avec leur prétention d'administrer le christianisme institutionnel, semblent constituer le principal obstacle au véritable esprit du christianisme.

Il n'existe pas de théorie qui puisse réfuter péremptoirement de telles idées devant la simple raison, de même d'ailleurs que, à l'inverse, ces idées elles-mêmes ne proviennent pas uniquement de la raison, mais d'une amertume du cœur qui peut-être a été déçu dans son attente et qui maintenant ne ressent plus dans son amour meurtri et blessé que la ruine de son espérance. Quelle réponse donner alors ? En fin de compte, l'on ne peut ici que donner le témoignage de sa foi et dire pourquoi l'on arrive malgré tout, dans la foi, à aimer cette Église, pourquoi l'on ose toujours encore reconnaître à travers les traits défigurés, le visage de l'Église sainte. Mais commençons tout de même par les éléments objectifs. Le mot « saint », comme nous l'avons vu, ne signifie pas d'abord, dans toutes ces affirmations, la sainteté des personnes humaines, mais renvoie au don divin qui apporte la sainteté au milieu du péché de l'homme. L'Église n'est pas appelée « sainte », dans le Credo, parce que tous ses membres seraient des hommes saints et sans péché - ce rêve qui resurgit à toutes les époques, n'a pas de place dans l'univers réaliste de notre texte, même s'il exprime de façon émouvante une nostalgie de l'homme, qui ne le quittera pas, aussi longtemps qu'un ciel nouveau et une terre nouvelle ne lui accordent pas ce que ce siècle ne pourra jamais lui donner. Nous pouvons déjà dire ici que ceux qui critiquent le plus durement l'Église de notre temps vivent aussi, inconsciemment, de ce rêve, et comme celui-ci se trouve déçu, ils claquent la porte de la maison, en la dénonçant comme menteuse. Mais revenons à notre sujet : la sainteté de l'Église consiste dans cette puissance de sanctification que Dieu y exerce malgré les péchés des hommes. Nous rencontrons ici la véritable caractéristique de la « Nouvelle Alliance » : dans le Christ, Dieu s'est lié lui-même aux hommes, il s'est laissé lier par eux. La Nouvelle Alliance n'est plus fondée sur le respect réciproque des clauses fixées ; elle est donnée par Dieu comme une grâce qui demeure en dépit de l'infidélité de l'homme. Elle est l'expression de l'amour de Dieu qui ne se laisse pas vaincre par l'incapacité de l'homme, qui se montre malgré tout et toujours à nouveau favorable à l'homme, qui l'accueille inlassablement comme l'enfant prodigue, qui se tourne vers lui, le sanctifie et l'aime.

Grâce au don du Seigneur, qui s'est livré sans plus se reprendre, l'Église est pour toujours la communauté sanctifiée par lui, celle en qui la sainteté du Seigneur est rendue présente au milieu des hommes. Mais c'est vraiment la sainteté du Seigneur qui y est présente et qui, dans un amour paradoxal, choisit sans se lasser, comme réceptacle de sa présence, les mains sales des hommes. C'est une sainteté qui éclate et se manifeste comme sainteté du Christ au milieu du péché de l'Église. Ainsi le visage paradoxal de l'Église, où le divin se présente si souvent dans des mains indignes, où le divin n'est présent que sous la forme du « malgré tout », ce visage devient pour les croyants un signe du « malgré tout » de l'amour de Dieu, qui est toujours le plus fort. L'extraordinaire interférence de fidélité de la part de Dieu et d'infidélité de la part de l'homme, qui caractérise la structure de l'Église, est comme la forme dramatique de la grâce, par laquelle la réalité de la grâce devient continuellement présente et visible dans l'histoire, en tant que pardon accordé à des hommes en eux-mêmes indignes. En ce sens l'on pourrait aller jusqu'à dire que c'est précisément dans sa structure paradoxale de sainteté et de péché, que l'Église est la forme de la grâce dans ce monde.

Faisons encore un pas de plus. La sainteté, dans le rêve que font les hommes d'un monde intègre, est conçue comme une immunité par rapport au péché et au mal, sans mélange aucun; il y a là toujours une certaine façon de penser noir et blanc, qui écarte et rejette impitoyablement le côté négatif des choses (celui-ci pouvant d'ailleurs revêtir des formes très variées). Dans la critique actuelle de la société et dans les actions où cette critique trouve un exutoire, ce caractère inflexible, propre aux idéaux humains, n'apparaît que trop clairement. Aussi ce qui, dans la sainteté du Christ, choquait déjà ses contemporains, c'était l'absence totale de ce caractère raide et tranchant : le feu ne tombait pas sur les indignes ; et aux zélateurs on interdisait d'arracher l'ivraie qu'ils voyaient prospérer. Au contraire, cette sainteté s'extériorisait précisément sous la forme d'une fréquentation des pécheurs, que Jésus attirait auprès de lui, solidaire avec eux au point de devenir lui-même « péché » et de porter la malédiction de la loi dans sa mort : il a vraiment partagé jusqu'au bout le sort de ceux qui étaient perdus (cf. 2 Co 5, 21 ; Ga 3, 13). Il a assumé le péché, l'a fait sien, et révélé ainsi ce qu'est la véritable « sainteté » : non pas séparation, mais union, non pas jugement, mais amour rédempteur. L'Église n'est-elle pas simplement le prolongement de cette insertion de Dieu dans la misère humaine, n'est-elle pas simplement la continuation de la communauté de table de Jésus avec les pécheurs, de cette solidarité qui lui fait partager la détresse du péché, au point de paraître s'anéantir en elle ? Dans cette sainteté si peu sainte de l'Église ne voit-on pas se manifester, en face de l'attente humaine de pureté, la véritable sainteté de Dieu, qui est amour, un amour qui ne se tient pas à distance dans une pureté intouchable, mais qui se mêle à la boue du monde pour la surmonter ? Dès lors, la sainteté de l'Église peut-elle être autre chose que le fait de nous porter les uns les autres, ce qui d'ailleurs n'est possible à chacun d'entre nous que parce que le Christ nous porte tous ?

J'avoue que pour moi, cette sainteté si peu sainte de l'Église a quelque chose d'infiniment consolant. Car ne faudrait-il pas désespérer devant une sainteté qui serait immaculée et ne pourrait agir sur nous qu'en jugeant et en brûlant ? Et qui oserait prétendre n'avoir pas besoin d'être supporté par les autres, d'être porté par eux ? Or, comment quelqu'un qui, pour vivre, a besoin d'être supporté par les autres, pourrait-il lui-même se refuser à supporter ? N'est-ce pas la seule chose qu'il puisse donner en retour, l'unique réconfort qui lui reste, de supporter comme on le supporte lui-même ? La sainteté de l'Église consiste d'abord à supporter, pour ensuite porter; mais lorsqu'on cesse de supporter, l'on cesse également de porter, et l'existence qui n'a plus d'appui, ne peut que sombrer dans le vide. L'on dira peut-être que de telles paroles sont l'expression d'une existence faible et sans vigueur ; mais la condition chrétienne implique que l'on accepte l'impossibilité de l'autarcie et la faiblesse de son être propre. Au fond, il y a toujours de l'orgueil caché là où la critique de l'Église revêt cette dureté amère qui commence à être de mode de nos jours. Malheureusement, elle est jointe trop souvent à un vide spirituel, où la réalité propre de l'Église n'est même plus perçue ; on n'y voit plus qu'un instrument politique, dont l'organisation apparaît pitoyable ou alors brutale, comme si la réalité propre de l'Église ne se situait pas au-delà de l'organisation, dans le réconfort de la parole et des sacrements, qu'elle nous procure aux bons et mauvais jours. Les vrais croyants n'attachent pas une trop grande importance à la lutte pour la réorganisation des formes extérieures de l'Église. Ils vivent de ce que l'Église est depuis toujours. Et si l'on veut savoir ce que l'Église est véritablement, c'est auprès d'eux qu'il faut aller. Car l'Église ne se trouve pas d'abord là où l'on organise, réforme, dirige, mais en ceux qui croient simplement et qui en elle accueillent le don de la foi et en vivent. Seul, celui qui a expérimenté comment, par-delà le changement de ses serviteurs et de ses formes, l'Église réconforte les hommes, leur donne une patrie et une espérance, une patrie qui est espérance : chemin vers la vie éternelle, celui-là seul sait ce qu'est l'Église, autrefois et aujourd'hui.

Cela ne veut pas dire qu'il faille tout laisser comme par le passé et supporter les choses telles qu'elles se trouvent être. Supporter peut aussi être une attitude extrêmement active, une lutte pour que l'Église devienne toujours davantage celle qui porte et supporte. Car, l'Église ne vit qu'en nous-mêmes, elle vit de la lutte des pécheurs pour arriver à la sainteté, de même d'ailleurs que cette lutte vit du don de Dieu sans lequel elle ne serait pas possible. Mais une telle lutte ne devient féconde et constructive que si elle est animée par la volonté de supporter, par une charité réelle. Et nous voilà arrivés du même coup au critère qui doit servir continuellement de norme à cette lutte et à cette critique pour une meilleure sainteté, lutte qui non seulement n'exclut pas, mais exige le support mutuel. Ce critère, c'est le caractère constructif. Une dureté qui ne fait que détruire se juge elle-même. Une porte que l'on claque peut devenir, il est vrai, un signe qui réveille ceux qui sont dedans. Mais l'illusion qui consiste à croire que l'on pourrait construire davantage dans l'isolement que dans la communion, n'est justement qu'une illusion, exactement comme l'idée d'une Église de « saints » au lieu d'une « Église sainte », qui est sainte parce que le Seigneur prodigue en elle le don de la sainteté sans aucun mérite 3.

Par là, nous sommes déjà arrivés à l'autre expression que le Credo emploie pour désigner l'Église : elle est appelée « catholique ».

Les nuances de sens que ce mot doit à son origine sont variées. On peut dégager toutefois une idée principale qui est décisive dès le départ : ce mot renvoie, dans un double sens, à l'unité de l'Église ; il y a d'une part l'unité locale : seule la communauté unie à l'Évêque est « Église catholique », non les groupes particuliers qui, pour quelque raison que ce soit, s'en sont séparés. Il y a ensuite l'unité des nombreuses églises locales entre elles, qui ne doivent pas se renfermer en elles-mêmes et qui ne demeurent Église qu'en étant ouvertes les unes aux autres, en formant une unique Église par le témoignage commun de la parole et la communauté de table eucharistique ouverte à tous et partout. Dans les commentaires du Credo, l'Église « catholique » est opposée à ces églises qui ne subsistent que dans « leurs provinces respectives 4» et qui contredisent ainsi la véritable essence de l'Église.

Ainsi le mot « catholique » exprime la structure épiscopale de l'Église et la nécessité de l'unité entre tous les évêques. Le Symbole ne contient pas d'allusion à une cristallisation de cette unité dans le siège épiscopal de Rome. Ce serait une erreur d'en conclure qu'un tel point d'orientation de l'unité ne serait qu'une évolution secondaire. A Rome où notre Symbole est né, cette idée était devenue très tôt une composante de catholicité, sous-entendue comme allant de soi. Il est vrai cependant que ce point n'est pas à compter parmi les éléments primaires du concept de l'Église et ne peut à plus forte raison être considéré comme sa véritable clé de voûte. Les éléments fondamentaux de l'Église sont bien plutôt : le pardon, la conversion, la pénitence, la communauté eucharistique et à partir d'elle, la pluralité et l'unité : pluralité des églises locales, qui cependant ne demeurent Église que par leur insertion dans l'organisme de l'unique Église. L'unité est constituée d'abord par la parole et le sacrement : l'Église est une, grâce à l'unique parole et à l'unique pain. L'organisation épiscopale apparaît à l'arrière-plan comme un moyen de cette unité. Elle n'est pas là pour elle-même, mais appartient à l'ordre des moyens ; sa position doit être définie par le petit mot « pour » : elle sert à la réalisation de l'unité des églises locales en elles-mêmes et entre elles. Et dans le même ordre des moyens, le service de l'évêque de Rome constitue encore un stade ultérieur.

Une chose est claire : l'Église ne doit pas être conçue à partir de son organisation, c'est l'organisation qui doit être comprise à partir de l'Église. Du même coup il est clair que pour l'Église visible, l'unité visible est plus qu'une « organisation ». L'unité concrète de la foi commune attestée dans la parole, et de la table commune de Jésus-Christ, est partie essentielle du signe que l'Église est appelée à instaurer dans le monde. Ce n'est qu'en étant « catholique », c'est-à-dire visiblement une malgré la pluralité, qu'elle correspond à l'exigence du Symbole 5. Elle doit être, dans notre monde déchiré, signe et moyen de l'unité, elle doit dépasser et unir les nations, les races et les classes. Nous ne savons que trop à quel point elle a souvent failli à ce devoir. Déjà dans l'antiquité, elle avait du mal à être à la fois l'Église des Barbares et l'Église des Romains ; dans les temps modernes, elle n'a pas pu empêcher la lutte entre les nations chrétiennes, et aujourd'hui encore, elle ne réussit toujours pas à créer entre les riches et les pauvres des liens tels que le superflu des uns serve à rassasier les autres : le signe de la communauté de table est loin d'être réalisé. Et malgré cela, on n'a pas le droit de méconnaître tout ce que la prétention à la catholicité n'a cessé de poser comme exigences impératives. Mais avant tout, nous devrions, au lieu de faire le procès du passé, entendre l'appel du présent et nous efforcer aujourd'hui de faire de la catholicité non pas seulement l'objet de notre confession de foi dans le Credo, mais une réalité concrète dans la vie de notre monde déchiré.


Notes :

2. Cf. le grand article de H. U. VON BALTHASAR, « Casta meretrix », dans Sponsa Verbi, Einsiedeln, 1961, pp. 203-305; - les textes cites pp. 204-207; - également H. REIDLINGER, Die Makellosigkeit der Kirche in den lateinischen Hoheliedkommentaren des Miltelalters, München, 1958.
3. Cf. H. DE LUBAC, Méditations sur l'Église, Paris, 1953, pp. 241-271.
4. KATTENBUSCH, II, 919. - On trouvera également là pp. 917-927, l'histoire de l'insertion du mot « catholique » dans l'Aposiolicum, et l'histoire du mot en général ; - cf. aussi W. BEINERT, Um das drltte Kirchenattribut, 2 vol., Essen, 1964.
5. Sur le problème « Église et Églises » ainsi soulevé, j'ai exposé mon opinion dans J. RATZINGER, Das Konzil auf dem Wes, Köln, 1964, pp. 48-7

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Sources :Texte original des écrits du Saint Père Benoit XVI - E.S.M.
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Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 24.03.2023