Attaques contre Benoît XVI: et ça repart !!!
Le 21 janvier 2022 -
(E.S.M.)
-
« L’ancien
pape Benoît XVI accusé d’inaction face à des prêtres pédocriminels »
récite cet article de l’AFP relayé par le Monde d’aujourd’hui.
Contre un tel tsunami de boue, pour ne pas dire autre chose, nous
proposons à la place deux articles de l’époque, dont l’intérêt
réside principalement dans leurs auteurs: Tornielli, dans sa période
pré-Bergoglio, où il écrivait dans le journal de Berlusconi, et
Peter Seewald, qu’on ne présente pas ; et un passage d’un article
récent d’Andrea Cionci qui traduit parfaitement notre pensée.
Le pape Benoît XVI
Attaques contre Benoît XVI: et ça repart !!!
Le 21 janvier 2022 - E.
S. M. - Cela sert Bergoglio de voir le vrai
pape malmené par les médias hostiles. Il est, en effet, objectif que
le journal libéral Die Zeit, ami de Bergoglio, ait lancé une
opération – un boomerang total – pour tenter de discréditer le pape
Benoît XVI, avec une histoire de dissimulation présumée d’un prêtre
abusif d’il y a – à peine – 40 ans.
Or, que Bergoglio ait laissé faire est un fait objectif, puisqu’il
n’a pas dit UN MOT pour défendre son « prédécesseur » pendant
que les médias déversaient inutilement cette boue préhistorique sur
Benoît XVI. Au contraire, dans le discours sur la cancel culture
(discours
au Corps Diplomatique, 10 janvier, ndt),
Bergoglio a réitéré la nécessité de « faire la lumière, en
examinant les cas individuels, pour établir les responsabilités,
rendre justice aux victimes et empêcher que de telles atrocités ne
se reproduisent à l’avenir ». Mais comment ? Son « grand-père
sage » comme il l’a défini est attaqué, à 94 ans, de cette
manière horrible et le « Pape François » ne dit rien pour le
défendre ? Au contraire, il fait l’inverse: il dit même qu’ « il
est nécessaire de faire la lumière en établissant les
responsabilités ».
Andrea Cionci 11 janvier 2022
***
Un appel aux médias, à l’objectivité, la modération, et au sens de
la mesure
par Peter Seewald 2010,
15 mars 2010 (kath.net) – Beaucoup sont abasourdis. Abasourdis de
honte pour les centaines de victimes. Abasourdis de chagrin, que les
offenses qu’ils ont subies n’aient pas été apaisés. Abasourdis,
aussi, à cause des criminels, tout en priant pour eux. C’est aussi
le Carême, temps de pénitence – pas le temps des cris.
Toutefois, les torts que les prêtres délinquants ont infligés, non
seulement à leurs victimes, mais à l’Eglise et à toute la société
sont immenses. Mais encore une fois, cela fait partie de l’identité
chrétienne, que les pécheurs ne doivent pas être simplement jetés
dehors.
Les cas effroyables des violences sexuelles constituent le pire des
scénarios possibles, de dimensions géantes. Comparable à ce que la
dévastation causée par un krach boursier peut signifier pour
l’économie mondiale.
Quiconque considère l’Eglise comme le Corps mystique du Christ doit
être horrifié de voir à quel point ce Corps-même a été martyrisé. À
quelle distance des origines et du message de l’Evangile une partie
de l’Eglise – prêtres et évêques – s’est égarée, là où les délits
sexuels ne sont qu’une partie de la grande trahison du message de
Jésus.
L’Eglise elle-même – ceux qui la représentent – a souvent commis des
offenses dont les médias ont très justement rendu compte. Nous avons
besoin des médias. Le travail des journalistes est indispensable.
Mais ceux qui pensent que la façon dont les médias ont rendu compte
des abus dans l’Église ne fait pas également partie d’une campagne
contre l’Église, jouent en aveugles.
Samedi (6 Mars) en Allemagne: le Sueddeutche Zeitung (SZ) avait un
nouveau sujet de gros titre: «Le diocèse de Ratzinger nomme un
prêtre pédophile » . La formulation brute du titre montre à quelles
contorsions ils ont dû se livrer pour atteindre leur but. (ndt:
littéralement: la difficulté d’atteindre le coeur avec la main
gauche en passant derrière le genou!)
Ce n’est que dans les petits caractères que le lecteur apprend que
l’ancien archevêque de Munich [le Cardinal Ratzinger] avait
simplement accepté en 1980 de permettre à un prêtre du diocèse
d’Essen de venir à Munich afin de suivre une thérapie [Teresa
précise qu’il n’est pas clair dans la déclaration ultérieure de
l’archidiocèse si le cardinal savait lorsqu’il a accepté le prêtre
pourquoi celui-ci avait besoin d’un traitement].
Spiegel-Online se hâte de conclure: « Abus sexuels découverts dans
l’archidiocèse de Ratzinger » – illustrant l’information avec une
image sinistre du Pape, enveloppé dans un manteau [l’humérus]
«caché» derrière un ostensoir. [De toute évidence, une photo du Pape
élevant le Saint-Sacrement].
En fait, ce cas avait été signalé dans les médias en 1986, lorsque
le prêtre en question avait une reçu une condamnation avec sursis,
accompagnée de probation.
Dans la soirée, les programmes d’informations télévisées en
rajoutaient une couche. Pour le programme Heute-Journal [Le Journal
d’aujourd’hui], « le scandale des abus sexuels avaient désormais
atteint le Vatican ». Sans aucune référence au fait que lorsque le
prêtre avait été reconnu coupable, Ratzinger était à Rome depuis
quatre ans.
A la place, le plan suivant proposait l’inévitable représentant d’un
groupe sectaire d’opposition à l’Eglise du genre « Nous sommes
Eglise » (ndt: Wir sind Kirche).
Les caméras et les micros avaient été en veille toute l’après-midi
devant sa maison. Et il joua son rôle devant la presse, expliquant à
la «base» que son groupe avait aussi peu à voir avec l’Eglise
elle-même, que Heiner Geissler avec la Congrégation pour la Doctrine
de la Foi. [une allusion difficile à comprendre pour un
non-allemand: Heiner Geißler, un homme politique allemand, né en
1930. Il est membre du CDU, ex-ministre fédéral de la jeunesse, la
famille et la santé en 1982-1985.]
Il y a plus. Depuis des semaines, le Pape avait exprimé à plusieurs
reprises sa position sur les méfaits sexuels commis par des prêtres,
mais dans l’affaire impliquant son ancien archevêché, il a laissé
l’archidiocèse faire les déclarations [comme il est juste, parce
qu’ils sont en mesure de vérifier tous les dossiers, et l’archevêque
actuel a la compétence et la responsabilité de de toutes les
révélations faites en ce moment].
Mais lors de la prière de l’Angelus du lendemain, le pape n’a fait
aucune référence à l’affaire de Munich – ce qui était suffisant à
Spiegel-online pour utiliser le titre: « Le pape muet sur les
dernières accusations d’attouchements sexuels ». Ce jugement a été
aussitôt repris par d’autres médias: « Le pape muet sur les cas
d’abus » s’est propagé dans tous les portails des médias, ou une
variante comme « Le pape s’enferme dans une chape de silence ». [En
outre, une claire allusion au «silence de la polémique Pie XII.
comme une manière de dire indirectement que le silence de Benoît XVI
dans ce cas est une forme de lâcheté morale!]
D’autres qui ont repris la nouvelle plus tard, ont suivi avec «
Davantage de silence du pape ». Et lundi, SZ proclamait en lettres
géantes sur la page 1, « Benoît XVI est silencieux », et la
phrase-choc était « Le Pape Benoît XVI a gardé le silence sur le
scandale des abus sexuelsdans l’Église catholique».
On pourrait certainement arguer que la gestion de la crise au
Vatican et dans les diocèses d’Allemagne aurait pu être bien
meilleure. Peut-être l’Eglise devrait-elle défendre ses arguments
plus souvent et beaucoup plus fort dans un monde bruyant qui est
devenu dur d’oreille.
Mais rapporter que le pape a « gardé le silence », malgré toutes ses
déclarations dans les semaines précédentes, est tout simplement un
mensonge absolu. Et ce qui reste est l’image d’une Eglise qui est un
«trou noir», ce que SZ considère comme « la honte catholique « .
C’est exactement comme le dénigrement du Pape par les médias l’année
dernière lors de l’affaire Williamson. Cela avait marché. En fin de
compte, peu importe toutes les mises au point que le Pontife avait
faites, la plupart des lecteurs de journaux se sont retrouvés avec
l’impression qu’il était lui-même un anti-sémite clandestin et un
négationniste.
Savoir faire la part des choses, être précis, sont des vertus
particulièrement méritantes dans des moments comme ceux-ci. Mais
trop de gens, dans les médias, pensent qu’ils n’ont plus besoin de
les exercer. Le caractère de « campagne » dans les reportages de ces
derniersjours est basé sur les mécanismes et les dynamiques du monde
des médias lui-même.
Ttous les sujets ne se prêtent à être des points de ralliement, mais
toutes les salles de rédaction, quand quelque chose d’explosif est
en jeu, chercheront à exagérer de tels sujets. Ce pourrait être la
grippe porcine, qui a semé la panique dans le pays tout entier, ou
l’affaire du massacre de Kunduz [polémique sur une attaque aérienne
ordonnée par les allemands en Afghanistan, qui aurait tué de
nombreux civils].
Mais quand vous avez le cocktail sexe-et-Église, c’est comme gagner
le jackpot, pour certains directeurs de journaux. A alimenter, à
marteler, à susciter. Nul ne peut arriver en retard lorsque résonne
le cor de chasse. Et une fois commencé le battage médiatique, alors
l’enfer se déchaîne. « Que savait le Pape » demande le Frankfuerter
Rundschau. « Le pape devrait prendre position sur Odenwald »,
déclare le Aufklaerer, oubliant dans sa frénésie qu’Odenwald (ndt:
l’école où a enseigné Cohn Bendit, et où des affaires de pédophilie
sont avérées ) n’est pas du tout une école catholique mais une
vitrine de la «réforme pédagogique» des écoles publiques!
Mais malheur à celui qui voulait timidement lever la main et
demander si tout ce qui était rapporté , était avéré, car le
puissant rouleau compresseur de la justice journalistique s’abattait
sur lui. L’opposant serait laminé – coupable du crime de lèse-Media!
Parce que, tout comme ces messieurs-dames des médias sont toujours
prêts à envoyer des coups de poing, ils virent au violet dès qu’ils
sont eux-mêmes critiqués.
Mais cette fois, quelle belle occasion pour eux de crier, les yeux
remplis de larmes de crocodile: Couverture (d’actes délictueux)!
Déviances! Mentalité de bunker!
De nombreux journalistes font un bon travail. Mais il est
impardonnable, que les services religieux de journaux embauchent des
journalistes qui ne connaissent pas la différence entre « Ministrant
» (enfant de chœur) et « Minister » (le prêtre lui-même), et qui
considèrent le pape comme une sorte de dictateur comme Idi Amin.
Beaucoup croient que c’est un ennemi contre lequel ils doivent se
battre parce qu’il est encore plus dangereux qu’Oussama ben Laden.
Alors, quand le journalisme va de la divulgation de l’information à
l’assassinat de personnalité, il est temps de prendre position
contre lui.
Chers collègues: Arrêtez, et réfléchissez! Halte à
l’instrumentalisation. Halte à l’analyse à bon marché et à la
psychologie de cuisine, qui ne servent à rien pour résoudre le
problème.
Arrêtez d’être si suffisants. Arrêtez d’imprimer des informations
qui présentent des conclusions fausses. Soyez objectifs, sobres,
avec le sens de la mesure. Revenez à la vraie nature du journalisme
qui était autrefois une profession honorable.
Les abus sexuels commis par des délinquants monstrueux crient vers
le ciel. Mais ce ne pas des affaires pour des avocats en quête
d’image, mais pour les procureurs de l’Etat, qui peuvent enquêter
objectivement et sérieusement pour évaluer une plainte, la clarifier
courageusement, et instruire le dossier de manière stricte.
En tant que chrétiens et catholiques, nous devrions avoir honte de
tels abus. Nous devons aussi être en colère contre des décisions
erronées et des histoires fausses. Mais cela ne doit pas nous
empêcher de regarder les choses avec précision, de faire la part des
choses, d’utiliser notre raison et de ne pas accepter n’importe
quelle manipulation de la part des faiseurs d’opinion.
La vérité doit rester la vérité. C’est une responsabilité envers
l’ensemble. Et personne ne devrait se réjouir que la honte
rejaillisse sur une institution dont la société, fondamentalement,
ne peut pas se passer.
Chaque année, selon l’UNICEF, plus de 220 millions d’enfants dans le
monde sont contraints à des rapports sexuels. Cela ne se fait pas
dans le «trou noir» de l’Église!
Le réseau de pédophilie en Belgique, qui a causé scandale pendant
des années, n’était pas composé de prêtres et de religieux, mais de
politiciens et d’hommes d’affaires.
Tous les jours, des centaines de milliers d’images pornographiques
d’enfants sont téléchargés à partir d’Internet par des Allemands.
Ces délinquants ne mènent pas une vie de célibataire. Et la
pornographisation de toute la société affecte nécessairement les
écoliers comme les adultes âgés, non pas comme une conséquence de la
morale sexuelle de l’Eglise [30% seulement des Allemands se
considèrent comme catholiques, et beaucoup parmi eux s’opposent à la
morale de Eglise !] mais à cause de la grande disponibilité du
matériel pornographique.
La société ne devrait-elle pas considérer le genre de culture que
nous développons, ce qu’elle fait à nos enfants, ce qui les rend de
plus en plus tordus, incapables d’avoir des relations authentiques?
L’effondrement de la confiance dans l’Eglise, précipité par des
prêtres et des religieux malades et pécheurs, ne peut être ignoré
dans l’ordre du jour. C’est un moment de passion, et ce qui n’est
pas construit sur le roc va s’effondrer.
Mais chaque catharsis est aussi une chance. Le Pape lui-même, au
début de son pontificat, a parlé d’un nettoyage qui est
indispensable pour l’Eglise. Le ménage doit être fait du haut en
bas. Aucune pièce ne doit être laissé de côté, et ce doit être aussi
simple que l’élimination du pain au levain avant la Pâque.
***
Pédophilie: d’Allemagne, nouveaux poisons contre le Pape
Il Giornale Andrea Tornielli
2010
En 1980, un abbé coupable d’abus sexuels fut transféré dans le
diocèse de Ratzinger pour suivre un traitement.
L’Église: « Le Saint-Père n’a rien à voir là-dedans »
Après Georg, on est arrivé à Joseph, en essayant d’impliquer le Pape
sur les scandales de pédophilie: en 1980, durant l’épiscopat de
Ratzinger à Munich, un prêtre qui sera plus tard reconnu coupable
d’abus d’enfants a en effet été transféré.
L’épisode, raconté par le journal allemand Süddeutsche Zeitung, a
été méticuleusement reconstituée par la Curie de Munich qui a mis en
place une commission d’étude sur les documents d’archives: il en
ressort que Benoît XVI est étranger à l’affaire, parce que l’emploi
dans des activités pastorales du prêtre en question était contraire
à sa décision.
En outre, de Janvier 1980 à août 1982, période où le religieux se
trouvait dans cette paroisse, il n’a été signalé aucun cas de
harcèlement ni de cas de présumés abus. Et il est bon de rappeler
que le cardinal Joseph Ratzinger, nommé préfet de la Congrégation
pour la Doctrine de la Foi par Jean Paul II en Novembre 1981, avait
démissionné du diocèse avant de s’installer à Rome en Février
suivant.
Ainsi, durant les trois premières années du séjour du prêtre
pédophile à Munich, celles qui coïncident avec l’épiscopat du Pape,
aucun abus ni soupçon d’abus n’ont été signalés. En outre, celui qui
était alors vicaire général, Gehrad Gruber, a assumé hier l’entière
responsabilité d’avoir laissé le prêtre au service de la paroisse,
tandis que l’archevêque avait consenti à l’accueillir et à
l’héberger à Munich afin qu’il puisse suivre une psychothérapie.
L’abbé H – le nom n’a pas été révélé – vint à Munich en provenance
du diocèse d’Essen. La Curie admet qu’il « devait être connu qu’il
se soumettait à une thérapie pour avoir eu des rapports sexuels avec
des garçons ».
Mgr Ratzinger décida de lui offrir l’hospitalité dans une maison
paroissiale. « Mais, contrairement à cette décision – affirme la
reconstruction publiés sur le site du diocèse de Munich – don « H »
fut chargé par le vicaire général d’aider aussi l’activité pastorale
de la paroisse, sans aucune limitation. De Janvier 1980 au 31 août
1982, il n’y pas eu de plainte ou d’accusations contre lui ».
Donc, même si par l’initiative du vicaire général Gruber et
contrairement à ce qui avait été décidé par Ratzinger, le prêtre a
été affecté à des tâches pastorales, au cours de ces trois premières
années rien n’a été signalé contre lui.
En Septembre 1982, quand le Pape actuel a déjà quitté l’Allemagne
depuis des mois, « H » est transférée à la paroisse de Grafing, où
il reste jusqu’au début de 1985. Accusé de harcèlement sexuel sur un
enfant, alors qu’il fait l’objet d’une enquête policière, l’abbé est
déchargé de ses fonctions. La Cour d’Ebersberg en Juin 1986, le
condamne à 18 mois de prison et une amende de 4.000 DM, et à suivre
une psychothérapie et des contrôles au cours des cinq prochaines
années.
De Novembre 1986 à Octobre 1987, la curie de Munich le destine à
servir comme aumônier dans une maison de retraite et par la suite
jusqu’en Mai 2008, il est nommé vicaire à Garching-Alz.
" Cette nouvelle mission pastorale – lit on encore dans le
communiqué du diocèse – était due au fait que la peine infligée
par le tribunal était assez légère et qu’il avait suivi une
thérapie". Depuis la sentence de 1986 aucun autre incident le
concernant n’avait été rapporté. Don « H » au cours des deux
dernières années, jusqu’à aujourd’hui, a été employé dans la
pastorale du tourisme.
"Les charges pastorales répétées de de Don « H » dans les
paroisses – a déclaré hier Mgr Gruber, le vicaire du diocèse pendant
ces années-là – ont été une grave erreur. J’en assume l’entière
responsabilité, je suis profondément désolé que de cette décision
ait dérivé des abus contre des jeunes. Je présente mes excuses à
tous ceux à qui j’ai causé du tort. "
Le directeur de la Salle de Presse du Vatican, le Père Federico
Lombardi, est intervenu hier après-midi pour souligner que Benoît
XVI était étranger à l’affaire: « Je renvoie à ce qui est dit sur
le site web du diocèse de Munich, qui est compétent et a tous les
éléments pour reconstituer les événements et expliquer quelles sont
les responsabilités de l’affaire, a dit le jésuite ».
« La déclaration – a souligné Lombardi – se conclut avec le vicaire
général de l’époque qui assume toute responsabilité, car c’était lui
qui avait envoyé le prêtre soupçonné de pédophilie dans la pastorale
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Benoît XVI se défend
Sources :Traduction
: benoit
-
E.S.M.
Ce document est destiné à l'information; il ne
constitue pas un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 21.01.2022