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19 Avril 2005
 

L’Eglise, affirme Benoît XVI, ne doit pas principalement parler d’elle-même, mais de Dieu

 

Vendredi, le 08 décembre 2006 - (E.S.M.) - Nous avons reproduit, hier, la première partie d'un article remarquable de Marie-Anne Vannier, docteur en philosophie et en théologie. Voici la suite de cette étude.

Les frères apôtres se donnent le baiser de paix. Pierre est le patron de Rome, André celui de Constantinople. Cette icône fut offerte par le patriarche Athénagoras au pape Paul VI quand ils se rencontrèrent à Jérusalem en 1964. Après tant des siècles de querelles entre les Églises, eux aussi firent le geste de la paix. Cette icône symbolise depuis la recherche d’unité entre les Églises malgré les obstacles qui demeurent sur le chemin de la communion totale, jusqu’à la table de l’Eucharistie.

LE RAPPORT ENTRE FRÈRES EN CHRIST (2) ET DIEU EST AMOUR

Pour lire la première partie:  Quelle place les Pères de l'Eglise occupent-ils dans la pensée de Benoît XVI ? Benoît XVI

Cette réflexion sur la caritas chrétienne, il l’avait menée d’une autre manière dans son ouvrage : Frères dans le Christ, en 1960 (1962 pour l’édition française), où il montrait que cette "nouvelle fraternité selon l’Esprit" (p. 9) est l’originalité même des chrétiens. Cet ouvrage présente l’avantage de mettre en évidence sa méthode : il part d’une étude sémantique du terme de "frère", où les Pères ont une place importante (comme dans le livre récent de Michel Dujarier, L’Eglise fraternité, Paris, Cerf, 1991) pour proposer, à partir de là, une réflexion synthétique sur la question. Les Pères lui servent ainsi de base pour préciser la nature de la fraternité.

Il commence son ouvrage par une étude du terme de "frère" avant le christianisme : dans l’Ancien Testament et dans le monde grec, ainsi qu’en dehors du christianisme : à l’époque des Lumières et dans le marxisme pour envisager ensuite "l’évolution de la notion de frère dans le christianisme primitif" : dans les Évangiles, chez St. Paul et à l’époque patristique.

Il y souligne que l’apport des Pères est décisif. En effet, "jusqu’au IIIe siècle, l’usage du terme 'frère' reste fréquent, on peut même dire que cela va de soi (…). On reconnaît alors dans le baptême le moment précis où l’on accède à la qualité de frère. En tant que régénération, il est le moyen de l’admission à la 'fraternité' chrétienne, comme se nomme la communauté. Dans cette régénération, l’Eglise est la Mère, Dieu est le Père" (p. 52). La fraternité est l’expression de la vie nouvelle dans le Christ, de la nouvelle création, exprimée dans la communauté chrétienne qui ne vise qu’à s’étendre aux dimensions du monde. A l’issue de la catéchèse baptismale et de la triple immersion baptismale, le nouveau baptisé est accueilli par la communauté chrétienne, qui le formera encore au sens des sacrements par la catéchèse mystagogique. Il sera, alors, membre à part entière de cette communauté.

Cependant, au tournant du IVe siècle, quand l’Empire devient chrétien, la fraternité, en quelque sorte, universelle des chrétiens tend à se réduire. Ainsi le futur pape note-t-il que "Cyprien de Carthage, lorsqu’il s’adresse à un individu, n’applique plus jamais le mot 'frère' aux chrétiens en général, mais le réserve aux évêques et aux clercs. Ce n’est plus la vieille fraternité que ce mot désigne ; il rappelle plutôt le thème profane bien connu de la fraternité des princes entre eux, thème qui devait très nettement paraître dans la hiérarchie des titres que se donnaient réciproquement les évêques, les prêtres et les laïcs. L’autre aboutissement de la notion de 'frère' conduit à un sommet ascétique. C’est dans les communautés claustrales que reste vivante l’idée de 'frère' ou de 'sœur' (…). L’idée se réduit ainsi à la hiérarchie et aux ascètes, en lesquels se concentre alors la vie proprement ecclésiastique. On sait que cette situation est restée en vigueur jusque dans notre siècle, avec toutes les conséquences fâcheuses qui s’ensuivent nécessairement" (p. 54-55). La fraternité n’est plus réservée qu’à quelques-uns, alors qu’elle désigne toute la communauté chrétienne, comme l’ont montré les Pères.

Pour apporter une solution, le théologien Joseph Ratzinger propose de "synthétiser les éléments objectifs permanents de la notion chrétienne de 'frère'" (p. 57), ce qui l’amène, tout d’abord, à en préciser l’originalité. Celle-ci vient de la double dimension que comporte cette fraternité, car elle est non seulement horizontale, mais aussi et surtout verticale. En effet, "pour que la fraternité chrétienne comme telle devienne une réalité vivante, il est nécessaire avant tout qu’y soient vécues la connaissance de la paternité de Dieu et l’unité par grâce avec le Christ Jésus" (p. 57). "La paternité de Dieu donne à l’idéal chrétien de fraternité une assise solide (p. 58). En effet, voir que les hommes sont frères n’est accordé somme toute qu’à celui qui, dans la foi, a entrevu la plénitude de la paternité divine" (p. 59) que le Christ nous a fait comprendre, tout en nous invitant à venir partager sa vie. "C’est ici le lien dogmatique le plus profond du sentiment fraternel des chrétiens les uns pour les autres. Il est fondé sur notre état d’incorporation au Christ Jésus, sur l’unicité du seul homme nouveau. Comme la paternité de Dieu, la qualité de frère des chrétiens est, elle aussi, dans le Seigneur, élevée par-delà le domaine des idées, à la dignité d’une authentique réalité, qui s’est de fait réalisée et continue à se réaliser dans l’événement qui concerne le Christ. Du coup, on voit tout de suite quelles seront les formes concrètes de réalisation et la source permanente du sentiment fraternel chrétien. Il repose sur le fait de notre incorporation au Christ. L’acte qui produit d’abord cette incorporation est le baptême" (p. 64-65), qui se prolonge par l’Eucharistie, d’où l’unité et la simultanéité dans les premiers siècles des trois sacrements du baptême, de l’Eucharistie et de la chrismation. Ils manifestaient l’entrée concrète dans la communauté fraternelle, fondée sur l’Eucharistie et renouvelée par le don de l’Esprit Saint. A la suite de saint Jean Chrysostome, il souligne le caractère indissociable du sacrement de l’autel et du sacrement du frère.

Il est un autre point sur lequel le théologien Joseph Ratzinger attire l’attention, c’est le commentaire patristique du terme "Notre Père". Ainsi souligne-t-il que Cyprien de Carthage mettait l’accent sur le mot "Notre", auquel nous pourrions ne pas faire attention ou qui pourrait nous sembler aller de soi. "En fait, ce mot est de grande importance. Car un seul a le droit d’appeler Dieu 'mon Père' : Jésus-Christ lui-même, le Fils unique. Tous les autres hommes doivent en définitive dire 'notre Père'. Car Dieu n’est un père pour nous que pour autant que nous faisons partie de la communauté de ses enfants. Il est Père 'pour moi' uniquement parce que je suis dans le 'nous' de ses enfants. Le 'Notre Père' chrétien n’est pas l’appel d’une âme qui ne connaît rien que Dieu et soi-même, mais il est lié à la communauté des frères avec lesquels nous formons ensemble le Christ unique, en qui et par qui seulement nous avons le pouvoir et le droit de dire 'Père', parce qu’en lui et par lui seulement, nous sommes 'enfants' (…). Ce 'notre' situe concrètement la foi et la prière, il en détermine les composantes christologiques" (p. 66-67). En effet, "devenir chrétien, c’est être incorporé au Fils, au Christ et la conséquence en est que nous devenons 'fils dans le Fils'" (p. 69). Comme l’a montré Eckhart, "l’homme s’insère dans le Christ dans la mesure où il devient 'homme en soi' en renonçant à soi-même, à son moi particulier" (p. 70). Il n’y a là aucune espèce d’aliénation, mais, comme le soulignait Eckhart, percée, dépassement de l’individualisme pour aller au centre même de la personne, créée à l’image de Dieu, en relation à son Créateur et aux autres. C’est, alors, cette relation à Dieu et aux autres qui est constitutive de la personne dans la fraternité. Il y a là un apport anthropologique fondamental du christianisme que le théologien Joseph Ratzinger dégage à partir de l’apport des Pères et d’Eckhart et dont il met en évidence l’importance pour notre époque. Sans doute est-il influencé aussi par Karl Rahner qui se demandait pourquoi Dieu, qui est l’amour même, n’a qu’un seul Fils. En fait, c’est pour que tous nous soyons ses enfants dans ce seul Fils, à l’image de qui nous avons été créés. On comprend, alors, mieux pourquoi le théologien Joseph Ratzinger retient cette interprétation du Notre Père de Cyprien. Il la met implicitement en lien avec l’acquis de Constantinople III, qui distinguait les deux volontés humaine et divine dans le Christ. En adhérant à la volonté humaine du Christ, on peut être introduit par grâce à sa volonté divine et incorporé à lui. Ainsi se construit son corps mystique qui est l’Eglise. En effet, tous peuvent dire de Dieu : notre Père. Mais seuls les chrétiens comprennent qu’il en va de l’assimilation au Christ. C’est là le projet de Dieu sur l’homme qu’il devienne fils dans le Fils. Le théologien Joseph Ratzinger a repris la question dans sa thèse, intitulée La théologie de l’histoire chez saint Bonaventure, Paris, PUF, 1988 (éd. all. 1959).

Désormais, en tant que pape, Benoît XVI adopte une autre méthode : il reprend cet apport anthropologique et christologique dans ses homélies, comme on l’a vu dans son homélie pour la Vigile pascale, ou encore dans ses
catéchèses du mercredi, actuellement centrées sur l’homme image de Dieu. Il est vrai que la redécouverte de l’anthropologie chrétienne est l’un des points les plus importants aujourd’hui. Comprendre le sens chrétien de l’être humain, la gloire à laquelle il est appelé permettra aux chrétiens d’être porteurs espérance et de ne pas chercher un bonheur illusoire dans des sectes ou des pseudo-spiritualités.

La compréhension du sens chrétien de la fraternité a une autre conséquence, non moins décisive, que le futur pape a mise en évidence dès 1960, c’est le sens même de la communauté chrétienne. Ainsi écrivait-il : "Il convient de retrouver le sens chrétien fondamental d’ekklesia, qui exprime bel et bien à l’origine, la manière dont l’unique Eglise se réalise dans chacune des communautés locales. La fraternité peut et doit se réaliser d’abord dans la communauté locale, concrètement : dans chaque paroisse" (p. 84). Il en va, dès lors, de la vie même de la paroisse. "Reconnaître que ekklesia (Eglise) et adelphotes (fraternité) sont équivalentes, que l’Eglise qui s’accomplit dans la célébration cultuelle est essentiellement une communauté fraternelle, c’est exiger que l’eucharistie soit célébrée, même concrètement, comme un culte fraternel, dans le dialogue responsial, et qu’on ne laisse pas un pontife isolé en face d’une troupe de laïques, plongés chacun dans son missel, voire dans ses 'exercices de piété pendant la messe'. L’Eucharistie doit redevenir visiblement le sacrement fraternel pour que puisse se développer toute sa force d’édification communautaire" (p. 86). "Cet objectif, à savoir la fraternité vécue dans la communauté paroissiale, devrait être pris très au sérieux" (p. 87). L’apport de l’Eglise des Pères est indéniable et demande à être actualisé aujourd’hui. Sans doute les communautés chrétiennes sont-elles plus grandes que dans les premiers siècles, mais une véritable fraternité peut être vécue, avec une autre dimension que celle d’un parti ou d’un syndicat (p. 88) et elle a valeur de témoignage. Elle montre aussi que toute l’Eglise est présente dans l’Eglise locale et que celle-ci est en lien avec l’Eglise universelle.

Cette étude sur le sens de la fraternité chrétienne, qui a ses racines dans l’Eglise des Pères, demande à être redécouverte et vécue.

Le théologien Joseph Ratzinger l’a prolongée par différents articles, dont l’un, ayant pour titre "La vision de l’unité du peuple chez les Pères" (3), et un article récent, intitulé : "Communio. Eucharistie-communauté-mission" (4), où il développe, à partir des Pères, une ecclésiologie de communion.

Il avait également traité de la question dans son livre sur Le nouveau peuple de Dieu (5), qu’il est en train de reprendre pour l’actualiser et dont il a déjà donné une vision synthétique en 2000. Il y faisait ressortir que "le Concile Vatican II ne fut pas seulement un Concile ecclésiologique, mais que, d’abord et surtout, il a parlé de Dieu, non seulement à l’intérieur de la chrétienté, mais en s’adressant au monde (…). Vatican II a clairement voulu inscrire et subordonner le discours sur l’Eglise au discours sur Dieu : il a voulu proposer une ecclésiologie au sens proprement 'théologique'" (6), comme l’avaient fait les Pères de l’Eglise qui ne dissociaient pas l’Eglise de la théologie, de la liturgie (à laquelle il a consacré son ouvrage L’esprit de la liturgie, Genève, 2001), de la spiritualité. En effet, "l’Eglise ne doit pas principalement parler d’elle-même, mais de Dieu" (p. 28). Aussi l’ecclésiologie est-elle indissociable de la christologie et a-t-elle une dimension trinitaire. C’est fondamentalement une ecclésiologie de communion dont le Christ, vivant dans l’Eucharistie est la pierre d’angle. En la développant, la Constitution
Lumen Gentium actualise l’apport des Pères. Présent au Concile, le futur pape Benoît XVI a joué un rôle actif dans sa rédaction et y a actualisé l’héritage des Pères.

Il a également précisé, à leur suite, la place que joue l’Esprit Saint dans la constitution de la communauté.

L’ESPRIT SAINT A L’ŒUVRE DANS LA CONSTITUTION DE LA COMMUNAUTE

De nouveau, c’est à partir de St. Augustin qu’il a développé sa réflexion sur la question, comme en témoigne l’article, intitulé : "Le Saint-Esprit comme Communio", datant de 1974 et repris dans les Mélanges qui lui ont été offerts pour ses 75 ans et qui ont pour titre : Weg Gemeinschaft des Glaubens. Kirche als Communio (7) (Le chemin de la communauté de la foi. L’Eglise comme communion). Il y montre qu’en tant que communion, l’Esprit Saint est amour et don de Dieu. Dieu se communique comme amour dans l’Esprit Saint. Il est donné à l’Eglise qui devient, alors, demeure de l’amour, où se réalise l’unité de la communauté. C’est là son œuvre principale, comme dans la première communauté de Jérusalem, à partir de laquelle Augustin a développé son célèbre cor unum, le fait d’être un seul cœur et une seule âme dans le Christ.

Le théologien Joseph Ratzinger développe, alors, l’acquis de sa première étude sur saint Augustin. Si l’Eglise est maison de Dieu, elle est essentiellement, par l’Esprit Saint, demeure de l’amour, temple de la Trinité, ce qui n’est pas sans faire penser au premier chapitre de Lumen gentium, relatif à la dimension trinitaire de l’Eglise. Il en reprend l’essentiel, tout en précisant l’action de l’Esprit Saint dans l’Eglise : il nous donne l’amour et la liberté. Par le don de l’Esprit Saint, l’Eglise devient une maison pour tous. Elle est la caritas, l’expression même de la charité. On voit donc comment, à partir d’Augustin, le futur pape reprend son apport et l’applique à la conception de l’Eglise, ce qui lui permet de donner un relief nouveau au texte des Actes des Apôtres.

On pourrait multiplier les exemples, mais une ligne de fond se dessine dans la grande œuvre du Pape Benoît XVI : c’est à partir de l’expérience de l’amour de Dieu reçu et actualisé dans l’Eglise qu’il développe sa théologie. Les Pères, qui en ont fait l’expérience, lui servent de référence et de source vivante.

Cela apparaît nettement dans la présentation qu’il a faite du Catéchisme et qui est l’expression même de cette communion d’amour qu’est la Trinité, comme les Pères l’ont compris. Il l’explique clairement : "la première partie suit, comme la catéchèse baptismale l’a fait depuis les temps les plus reculés, la profession de foi, à savoir ce qu’on appelle le Symbole des Apôtres. Ce Symbole a été, au premier siècle, la confession baptismale de l’Eglise de Rome qui, à partir de Rome, a servi de norme pour toute la chrétienté occidentale. Mais, dans sa structure essentielle et dans ses affirmations, il coïncide parfaitement avec les Symboles baptismaux de l’Orient (…). Une tradition qui remonte au IVe siècle subdivise le Symbole en 12 articles, à partir du chiffre des Douze Apôtres. Cette subdivision a certainement un sens valable, mais la structure originelle est plus simple : en tant que confession baptismale, le Symbole des Apôtres, de même que la formule baptismale, est tout simplement une confession du Dieu un et trine, Père, Fils et Esprit Saint. C’est à cette structure triple, commune à toutes les confessions baptismales que nous nous en sommes tenus. Ainsi se détache bien la hiérarchie des vérités : en son fond, la foi chrétienne est foi en Dieu trine, tout le reste est développement" (8). En partant de la catéchèse des premiers siècles, le cardinal Ratzinger part de cette source de tout qu’est le Dieu-Trinité.


C’est véritablement à cette expérience fondatrice de la compréhension de l’amour de Dieu que le pape Benoît XVI invite à partir de l’Écriture et des Pères. Ainsi l’Esprit Saint fera de l’Eglise et de chacun de ses membres la maison de Dieu.

Notes :

1. Volk und Haus Gottes in Augustins Lehre von der Kirche, München Münchener theologische Studien, Karl Zing Verlag, 1954, Bd. 7, p. 140-141, rééd. St. Ottilien, 1998.
2. Paris, Cerf, 1961, rééd. 2005.
3. In : Die Einheit der Nationen. Eine Vision der Kirchenväter, Salzburg-Munich, 1971.
4. J. RATZINGER, Schauen auf den Durchbohrten. Versusche zu einer spirituellen Christologie, Einsiedeln, 1984, p. 60-84.
5. Das neue Volk Gottes. Entwürfe zur Ekklesiologie, Düsseldorf, 1969 ; Le nouveau peuple de Dieu, Paris, Cerf, 1971.
6. "L’ecclésiologie de la Constitution Lumen gentium", DC 2005, HS, p. 25.
7. Augsburg, Sankt Ulrich Verlag, 2005.
8. DC HS 2005, p. 68.


 

Sources: théologia.fr - Marie-Anne Vannier, docteur en philosophie et en théologie

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Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 08.12.2006 - BENOÎT XVI - THÉOLOGIE

 

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