Giovanni Maria Vian, le nouveau
directeur de L’Osservatore Romano parle de sa vie |
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Cité du Vatican, le 08 novembre 2007 -
(E.S.M.)
- Giovanni Maria Vian, le nouveau directeur de L’Osservatore
Romano parle de sa vie. L’amitié de son père avec le futur Paul VI. Ses
études. Son activité d’historien et de professeur de philologie. Sa
passion pour le journalisme.
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Giovanni Maria Vian, le
nouveau directeur de L’Osservatore Romano
Giovanni Maria Vian, le nouveau directeur de L’Osservatore Romano parle de
sa vie
«La confrontation des idées est toujours positive»
Giovanni Maria Vian, le nouveau directeur de L’Osservatore Romano
parle de sa vie. L’amitié de son père avec le futur Paul VI. Ses études. Son
activité d’historien et de professeur de philologie. Sa passion pour le
journalisme
Interview de Giovanni Maria Vian par Gianni Cardinale
Le 29 septembre a été annoncé le changement de directeur du quotidien
officieux du Saint-Siège. Mario Agnes, 76 ans en décembre, qui était à la
tête de L’Osservatore Romano depuis 1984, a été nommé directeur
émérite. Le nouveau directeur responsable du journal pontifical est Giovanni
Maria Vian, 55 ans. Un vice-directeur a aussi été nommé, en la personne de
Carlo Di Cicco, après 13 ans de “siège vacant”.
Vian, historien du christianisme, occupe la chaire de Philologie patristique
à l’Université de Rome La Sapienza et enseigne également Histoire de la
tradition et de l’identité chrétiennes à l’Université Vita-Salute San
Raffaele de Milan. Il est depuis 1999 membre du Comité pontifical de
Sciences historiques. Auteur d’environ quatre-vingt-dix études spécialisées,
il a publié, entre autres, les volumes Bibliotheca divina.
Filologia e storia dei testi cristiani (Carocci, 2001, trois éditions;
traduction espagnole, Ediciones Cristiandad, 2005, deux éditions) et La
donazione di Costantino (il Mulino, 2004, trois éditions). Il est depuis
1976 rédacteur et consultant scientifique de l’Institut de l’Encyclopédie
italienne. Éditorialiste d’Avvenire et du Giornale di Brescia, il a écrit
dans différents quotidiens et périodiques, et en particulier dans
L’Osservatore Romano (de 1977 à 1987) et dans le bimestriel de l’Université
catholique du Sacré Cœur Vita e pensiero.
A la demande de 30Jours, Vian a accepté de répondre à des questions
concernant sa biographie et son parcours intellectuel et a courtoisement
décliné toute invitation à parler de la ligne éditoriale du futur
L’Osservatore Romano, notamment parce que sa nomination n’est effective qu’à
partir du samedi 27 octobre et que le premier numéro de L’Osservatore Romano
signé par lui ne sortira que le dimanche 28.
Monsieur, vous n’êtes pas le premier de votre famille,
qui a des origines vénitiennes, à avoir affaire à L’Osservatore Romano.
Votre grand-père Agostino, qui était en excellents rapports avec saint Pie
X, avait déjà collaboré à ce journal…
GIOVANNI MARIA VIAN: C’est vrai, il y avait un lien étroit entre mon
grand-père Agostino, qui a collaboré au quotidien du Saint-Siège, et Pie X.
Le mariage de mes grands-parents a été le dernier mariage célébré par le
patriarche Giuseppe Sarto avant qu’il ne parte pour le conclave de 1903. Mon
grand-père était fonctionnaire de l’État italien, mais il a renoncé à une
carrière probablement brillante en raison de son engagement dans le
mouvement catholique.
Votre grand-père, qui a été une personnalité de
l’organisation catholique, l’Opera dei Congressi, respirait l’air
d’intransigeance catholique qui régnait en Vénétie entre le XIXe et le XXe
siècle. Est-il resté dans vos poumons quelque chose de cet air?
VIAN: Pie X était certainement intransigeant sur les questions religieuses,
mais très souple sur les questions politiques. À la différence de ses
prédécesseurs (Pie IX et Léon XIII), il n’était pas né dans l’État
pontifical et il ne manifestait aucune nostalgie du pouvoir temporel. C’est
si vrai qu’il a été le premier Souverain Pontife à assouplir – cet acte
avait aussi une valeur anti-socialiste – le non expedit qui empêchait
les catholiques de participer activement à la vie politique italienne. Il a
été aussi un grand Pape réformateur et il a parfaitement compris ce qui
était en jeu dans la question du modernisme et quels étaient les dangers du
modernisme pour la foi de l’Église. Malheureusement, sa réputation est
désormais essentiellement liée aux façons dont le modernisme a été combattu,
façons souvent indignes de la cause qu’il entendait défendre.
Mais vous, vous sentez-vous l’héritier de cet esprit
d’intransigeance catholique de votre grand-père?
VIAN: Ce qui me relie à mon grand-père est certainement la fidélité
intransigeante au Saint-Siège – naturellement sans tomber dans cet esprit
courtisan qui peut aller jusqu’à des formes douceâtres et idolâtres
d’adulation du pape – et une conscience qui doit toujours rester vigilante.
Votre père Nello a été l’ami personnel de Paul VI.
Vous avez vous-même reçu le baptême de Mgr Jean-Baptiste Montini. Que vous
rappelez-vous de ce rapport d’amitié?
VIAN: Montini avait l’art de cultiver l’amitié. Et celle qu’il a nouée avec
mon père en est l’un des nombreux exemples. C’était une amitié qui se
respirait sans s’exhiber, à laquelle peut-être ma mère seule participait, au
point que de nombreux aspects de ce rapport ne sont venus à la lumière, pour
moi aussi et pour mes frères Lorenzo et Paolo, qu’après la mort de notre
père, à la lecture de ses papiers.
Vous avez été baptisé par Montini à Saint-Pierre.
L’agence Ansa vous a qualifié de “montinien”. Vous reconnaissez-vous dans
cet adjectif?
VIAN: Oui, en un sens principalement: Montini a été surtout un prêtre qui a
rapproché beaucoup d’âmes du Christ et un grand Pape qui a cherché à
témoigner le Christ devant le monde moderne, avec une conscience toujours
claire, et parfois dramatique, de son rôle de successeur de Pierre. En ce
sens, je cherche à avoir toujours devant moi l’exemple de ce grand témoin de
Jésus dans notre temps.
Vous avez fréquenté le lycée classique Virgilio, à
Rome, à une époque de grande effervescence ecclésiale…
VIAN: Oui, c’est exact. Et au lycée Virgilio, via Giulia, l’expérience du
“rayon”, dont allaient naître par la suite Communion et libération et la
Communauté de Sant’Egidio, était très forte. Moi aussi, pendant quelque
temps, j’ai sympathisé avec cette expérience.
Vous êtes professeur de Philologie patristique.
Comment est née votre passion pour cette discipline si spécialisée?
VIAN: Quand je me suis inscrit à La Sapienza je voulais passer ma “laurea”
en Littérature espagnole et latino-américaine. Mais les cours ne me
passionnaient pas et donc, écoutant les conseils de mon père, j’ai commencé
à suivre les cours de Manlio Simonetti, élève d’Ettore Paratore et j’ai été
fasciné par ce professeur. J’ai aussi suivi les très beaux séminaires du
médiéviste Raoul Manselli – il les tenait à huit heurs du matin et n’a
jamais été interrompu par les contestataires qui n’arrivaient jamais à la
Faculté avant onze heures… – et ceux de Clara Kraus Reggiani, spécialiste de
Philon et du judaïsme hellénistique. Simonetti m’a fait tomber amoureux de
la philologie comme méthode de recherche, en m’éduquant à la rigueur, à
l’enquête sur les documents et à l’attention aux textes.
Vous êtes en même temps journaliste depuis les années
Soixante-dix…
VIAN: J’ai toujours eu une passion pour les journaux. Chez moi, on lisait le
Corriere della Sera et L’Osservatore Romano auquel nous étions
abonnés et qui arrivait régulièrement vers 17 heures. De mon côté, alors que
j’étais encore lycéen, j’ai introduit dans la “liasse” familiale le journal
nouveau-né Avvenire et Il Giorno, sur lequel écrivait Aldo
Moro. Puis, en 1973, j’ai commencé à collaborer au quotidien catholique. Mon
premier article parlait des manuscrits d’Horace de la bibliothèque vaticane,
souvent transcrits par des moines du Moyen Âge: classiques et chrétiens,
exactement comme le titre du dernier livre de mon maître qui vient juste
d’être édité par Medusa…
N’avez-vous jamais eu la tentation d’abandonner
l’université pour vous consacrer à temps plein au journalisme?
VIAN: On m’a proposé en 1975 de devenir rédacteur d’Avvenire. La tentation a
été très forte. Mon père n’était pas enthousiaste et m’a plutôt encouragé à
poursuivre mes études, en me donnant en exemple des patrologues et des
philologues amis de ma famille, comme le cardinal Michele Pellegrino,
Giuseppe Lazzati, et les bénédictins Jean Gribomont et Henri de
Sainte-Marie, éditeurs de la Vulgata. J’ai écouté son conseil. Mais
l’expérience journalistique m’a appris qu’il fallait parler avec tout le
monde et savoir faire des synthèses: je dois beaucoup à de grands
professionnels et amis comme Silvano Stracca, Angelo Narducci, Angelo
Paoluzi, Pier Giorgio Liverani, Dino Boffo – le directeur qui a profondément
renouvelé le quotidien catholique – et Roberto Righetto, à Avvenire, et
Giacomo Scanzi, l’élève de Giorgio Rumi qui dirige maintenant le Giornale di
Brescia.
Tout de suite après votre “laurea”, vous recevez une
bourse de l’Institut pour les Sciences religieuses de Bologne, dirigé par
Giuseppe Alberigo. Est-il vrai que vous avez décliné son offre d’entrer dans
l’équipe de ses collaborateurs?
VIAN: Je me rappelle encore avec plaisir, et aussi avec un peu de nostalgie,
le mois de septembre passé en 1975, à Bologne. Cela a été une belle et riche
expérience. J’ai connu alors des chercheurs comme Pier Cesare Bori, Mauro
Pesce, Paolo Pombeni, Daniele Menozzi, Lorenzo Perrone, Paolo Bettiolo. À la
fin, Alberigo a proposé à quelques-uns d’entre nous de rester avec une
bourse biannuelle renouvelable. La proposition était très alléchante et
offrait la possibilité de faire des recherches aussi en dehors de Rome. Je
n’étais pourtant pas convaincu par le choix militant d’Alberigo en faveur
d’un Jean XXIII opposé à Paul VI. Aussi n’ai-je pas accepté. Et au mois
d’avril suivant, j’ai obtenu une bourse du Conseil national des Recherches
avec Simonetti et j’ai commencé une collaboration avec l’Institut de
l’Encyclopédie italienne. Les choses ont pris ce cours et je suis content.
Vous avez, par la suite, engagé à plusieurs reprises
une polémique courtoise avec certains représentants de ce que l’on appelle
l’école bolognaise. Vous êtes-vous repenti de ces polémiques?
VIAN: Pas du tout, ni pour la méthode, ni pour le contenu. La confrontation
des idées, même si elle est vive, est toujours positive, à condition qu’elle
reste correcte et qu’elle se fasse dans le respect de l’interlocuteur.
Ensuite, la façon qu’a l’“école de Bologne” de faire du Concile un absolu,
c’est-à-dire sa tendance à séparer Vatican II de la tradition vive de
l’Église, comme s’il s’agissait d’un début radicalement nouveau, ne m’a
jamais convaincu et ne me convainc toujours pas. Cela risque en effet de
masquer la continuité et le développement de l’histoire chrétienne. En ce
sens, sont exemplaires, y compris du point de vue historique, le
discours de Benoît XVI du 22 décembre 2005 et le
Motu Proprio Summorum pontificum. Cela dit, je considère Alberigo comme
un grand historien de l’Église et l’Histoire de Vatican II, qu’il a
dirigée, comme une œuvre importante même si elle n’est pas définitive.
Vous avez fait allusion précédemment à votre
collaboration avec l’Institut de l’Encyclopédie italienne…
VIAN: C’est là ma troisième école de formation avec l’université et le
journalisme. J’y suis entré en 1976 et j’ai commencé en 1984 à m’occuper des
“matières ecclésiastiques”. C’est à ce moment-là que j’ai connu le canoniste
de référence de l’Encyclopédie, Tarcisio Bertone, alors doyen de la faculté
de Droit canonique de l’Université Pontificale salésienne. J’ai aussi
beaucoup appris à l’Institut de chercheurs et amis comme Vincenzo
Cappelletti, Paolo Zippel, Tullio Gregory, Paolo Mazzantini, Francesco Paolo
Casavola.
Les anciens rédacteurs de L’Osservatore Romano
se rappellent vos chroniques de grand succès sur les rencontres de Taizé.
Qu’est-ce qui vous a fasciné et vous fascine encore dans cette expérience?
VIAN: Durant l’été 1973, de retour d’un voyage en Espagne, je suis arrivé en
auto-stop à Taizé. C’était un samedi après-midi et on célébrait la liturgie
dite de la lumière. J’en ai été ébloui, exactement comme a été éblouie en
2001 une de mes amies qui ne connaissait pas la communauté et qui a été
profondément frappée par le silence que celle-ci cultive dans ses liturgies.
En 1974, à l’ouverture du “concile des jeunes”, j’ai rencontré à Taizé l’un
de mes voisins, l’austère et plutôt taciturne cardinal Johannes Willebrands,
envoyé là par Paul VI. En 1977, j’y suis retourné avec Margarita, que j’ai
épousée en 1984 et qui est morte en 2000. Taizé est une expérience –
commencée par Roger Schutz avec quelques compagnons dont Max Thurian – qui
est née en milieu protestant mais qui s’est vite ouverte au catholicisme.
J’ai toujours été frappé dans la communauté par la présence à la fois de
l’écoute de l’Écriture, de la beauté de la liturgie et de la place centrale
de l’Eucharistie, éléments qui sont le propre des grandes traditions
chrétiennes, à savoir les traditions protestante, orthodoxe et catholique.
Et cela, dans une réalité de rencontre avec Dieu qui n’a jamais voulu
devenir un mouvement.
Avez-vous eu des contacts avec Bose, l’autre réalité
œcuménique?
VIAN: J’y suis allé en 1992 et j’y ai rencontré une cousine de mon père,
sœur dans la communauté. C’est une expérience qui – grâce entre autres à
Enzo Bianchi – me semble incisive du point de vue culturel et spirituel et
qui peut contribuer à la réconciliation dans l’Église et à l’amitié avec
beaucoup de laïcs.
Certains de vos articles sur Il Foglio vous ont
valu la réputation de “teocon” [traduction italienne de theoconservative,
theocon]. Que pensez-vous de cette définition?
VIAN: Elle me fait légèrement sourire. J’ai collaboré très volontiers avec
le quotidien fondé par Giuliano Ferrara, lequel a beaucoup élevé le niveau
du journalisme italien et enrichi le débat culturel. Il est réducteur de
traiter Il Foglio de journal “teocon”. Par ailleurs, j’ai aussi collaboré
avec Europa et je n’ai pas pour autant été qualifié de “teodem” [courant de
catholiques de centre gauche adoptant les positions éthiques et doctrinales
de l’Église]…
Vous avez publié plus de quatre-vingts ouvrages. Quels
sont ceux auxquels vous vous sentez le plus lié?
VIAN: Le livre auquel je tiens le plus est Bibliotheca divina, une
histoire des textes chrétiens, des origines des Écritures au XXe siècle.
Mais j’ai aussi été très attiré par la proposition d’Ernesto Galli della
Loggia de reconstituer pour la collection “L’identité italienne”, éditée par
Il Mulino, l’histoire de la donation de Constantin et, grâce à elle,
l’histoire du rapport entre religion et politique du début du christianisme
à Jean Paul II. Et j’espère revenir un jour ou l’autre sur le très long
article que j’ai consacré à Paul VI dans l’Enciclopedia dei Papi. En
attendant, j’ai composé une anthologie d’écrits de Montini sous le titre
Carità intellettuale (Edizioni Biblioteca di via Senato, 2005), qui,
sans publicité, a eu deux éditions.
Vous faites partie depuis 1999 du Comité pontifical de
Sciences historiques.
VIAN: J’ai été appelé dans ce comité par Mgr Walter Brandmüller et je suis
fier de faire partie de ce petit organisme du Saint-Siège, peu connu mais de
grand prestige.
Une dernière curiosité. Est-il vrai que vous avez revu
la liste des Souverains Pontifes romains qui se trouve au début de chaque
édition de l’Annuaire pontifical ? Dans ce travail quelle a été votre
intervention la plus significative?
VIAN: J’ai effectué une première révision pour l’édition de 2000 et mon
intervention la plus voyante a été de rendre à Rome le pape Damase,
considéré traditionnellement jusqu’en 1999 comme espagnol.
Journaliste d’expérience et salésien d’adoption
par Gianni Cardinale
Carlo Di Cicco, le nouveau vice-directeur de L’Osservatore Romano,
est journaliste professionnel de puis le début des années Soixante-dix. Il
est né il y a 63 ans à Valleluce, hameau très peuplé et de riche histoire
dépendant de S. Elia Fiumerapido, dans la province de Frosinone, et
appartenant au diocèse de l’Abbaye territoriale de Mont Cassin. Il a été
objecteur de conscience – il a été parmi les derniers à choisir l’objection
avant sa dépénalisation et la loi sur le service civil. Aussi a-t-il été
détenu pendant quelques mois à Forte Boccea. Il a ensuite dirigé pendant une
dizaine d’années le bulletin de Pax Christi, quand cette réalité
ecclésiale avait à sa tête les évêques Luigi Bettazzi et Tonino Bello. Il a
été rédacteur chef à l’Agence Asca, responsable de l’information sociale et
vaticane. Il a collaboré avec de nombreux journaux, quotidiens ou
périodiques, et avec des revues spécialisées. Il a lancé et réalisé, pour la
partie journalistique, Vidimus Dominum, le premier quotidien
international on line sur la vie consacrée. Très proche de la
spiritualité de don Bosco, il s’est occupé de l’une des rubriques de pointe
du Bollettino Salesiano, intitulée “Il punto giovani”.
Il a réalisé
en Italie, avec l’Asca, la première expérience d’information quotidienne sur
la politique sociale, sur celle de l’environnement et sur le volontariat.
Marié et père de deux enfants, il est l’auteur des livres I guardiani dei
sogni con il dito sul mouse. Educatori nell’era informatica
(livre-interview de Juan Edmundo Vecchi, alors recteur majeur des Salésiens,
Elledici, 1999, traduit en espagnol, portugais, slovène) et Don Luigi
Della Torre (Queriniana, 2007). Il a collaboré en outre au dictionnaire
La comunicazione: dizionario di scienze e tecniche, dirigé par Lever,
Rivoltella, Zanacchi (Eri-Elledici-Las, 2002). Son livre
Ratzinger-Benedetto XVI e le conseguenze dell’amore (Memori, 2006) a
connu un grand succès et a été particulièrement apprécié. |
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Repères:
Lettre de Benoît XVI au nouveau directeur de l'Osservatore Romano
Benoît XVI exprime “ses sentiments de sincère considération” au Professeur
Mario Agnes
Le pape Benoît XVI remercie Mario Agnes,
Directeur émérite de l 'osservatore Romano
Sources: 30giorni.it
Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas
un document officiel
Eucharistie sacrement de la miséricorde -
(E.S.M.) 08.11.2007 - BENOÎT XVI |