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Les 18 Apparitions de la Sainte Vierge à Lourdes en 1858

 

ROME, le 03 Mai 2007 - (E.S.M.) - A Lourdes, la Sainte Vierge apparaît à une fillette du pays, Bernadette Soubirous. Elle lui apparaîtra 18 fois, et, lors de la seizième apparition, elle lui dira qui elle est. L’agence Fides se propose de présenter le récit de chaque apparition, tel que l’a fait Sainte Bernadette.

La Grotte à l'origine  -  Pour agrandir l'image: grotte ancienne

Les 18 Apparitions de la Sainte Vierge à Lourdes en 1858 (1 et 2)

VATICAN - LE MOIS DE MARIE - "QUÉ SOY ERA IMMACULADA COUNCEPCIOU"

Le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par le Pape Pie IX en 1850. Quatre ans plus tard, à Lourdes, La Sainte Vierge apparaît à une fillette du pays, Bernadette Soubirous. Elle lui apparaîtra 18 fois, et, lors de la seizième apparition, elle lui dira qui elle est : « QUÉ SOY ERA IMMACULADA COUNCEPCIOU". L’agence Fides se propose de présenter le récit de chaque apparition, tel que l’a fait Sainte Bernadette.

JEUDI 11 FEVRIER 1858 : PREMIERE APPARITION

La première apparition a eu lieu ce jour-là, c’est pourquoi la fête liturgique de Notre Dame de Lourdes a été fixée au 11 février. Dès ce premier jour, Bernadette prie le chapelet "avec la Dame".

Ce jour-là, il faisait bien froid. Vers 11 heures, Bernadette Soubirous, sa soeur Marie-Antoinette et une amie, Jeanne Abadie, se dirigèrent vers les bords du Gave du côté de la grotte de Massabielle pour chercher du bois. Pendant que Toinette et Jeanne s'éloignaient de Bernadette, celle-ci avant de passer l'eau glaciale du canal se mit à genoux pour réciter l'Angélus qu'on venait de sonner. C’est alors qu’a lieu la première apparition, comme la raconte Bernadette : "J'avais commencé à ôter mon premier bas, quand tout à coup j'entendis une grande rumeur pareille à un bruit d'orage. Je regardai à droite, à gauche, sur les arbres de la rivière. Rien ne bougeait; je crus m'être trompée. Je continuai à me déchausser, lorsqu'une nouvelle rumeur, semblable à la première, se fit encore entendre. Oh! alors, j'eus peur et me dressai. Je n'avais plus de parole et ne savais que penser, quand, tournant la tête du côté de la Grotte, je vis à une des ouvertures du rocher un buisson, un seul, remuer, comme s'il avait fait grand vent. Presque en même temps il sortit de l'intérieur de la Grotte un nuage couleur d'or, et peu après une Dame jeune et belle, belle surtout, comme Je n'en avais jamais vu, vint se placer à l'entrée de l'ouverture au-dessus du buisson.

Aussitôt elle me regarda, me sourit et me fit signe d'avancer, comme si elle avait été ma mère. La peur m'avait passé, mais il me semblait que je ne savais plus où j'étais. Je me frottais les yeux, je les fermais, je les ouvrais, mais la Dame était toujours là, continuant à me sourire et me faisant comprendre que je ne me trompais pas. Sans me rendre compte de ce que je faisais, je pris mon chapelet dans ma poche et me mis à genoux. La Dame m'approuva par un signe de tête et amena elle-même dans ses doigts un chapelet qu'elle, tenait à son bras droit. Lorsque je voulus commencer le chapelet et porter ma main au front, mon bras demeura comme paralysé, et ce n'est qu'après que la Dame se fut signée que je pus faire comme elle. La Dame me laissa prier toute seule; elle faisait bien passer entre ses doigts les grains de son chapelet, mais elle ne parlait pas; et ce n'est qu'à la fin de chaque dizaine qu'elle disait avec moi: Gloria Patri, et Filio, et Spiritui Sancto. Quand j'eus fini de réciter mon chapelet, la Dame me fit signe d'approcher. Mais je n'ai pas osé. Alors elle rentra à l'intérieur de la roche et le nuage disparut avec elle. "La Dame avait l'air d'une jeune fille de seize à dix-sept ans, aux yeux bleus. Elle était vêtue d'une robe blanche, serrée à la ceinture par un ruban bleu glissant le long de la robe. Elle portait sur sa tête un voile blanc, laissant à peine apercevoir ses cheveux, retombant ensuite en arrière jusqu'au dessous de la taille. Ses pieds étaient nus, mais couverts par les derniers plis de la robe sauf à la pointe où brillait sur chacun d'eux une rose jaune, épanouie. Les grains de son chapelet étaient blancs et la chaîne d'or brillante comme les deux roses des pieds. Je n'en ai jamais vu de semblable, ça brillait comme de l'or et bien plus encore."

DIMANCHE 14 FÉVRIER 1858 : DEUXIEME APPARITION

Le dimanche de la Quinquagésime et des Quarante-Heures, Bernadette,après la grand-messe, descend avec onze ou douze jeunes filles à la Grotte, emportant une bouteille d'eau bénite au cas où l'apparition serait celle d'un mauvais esprit. Elles s'agenouillent et récitent le chapelet. Bientôt la voyante s'écrie avec émotion: "Elle y est! Elle y est! La voilà!" Et Bernadette de se lever, de jeter avec hâte de l'eau bénite dans la direction du rosier en disant: "Si vous venez de la part de Dieu, approchez..."

Le beau sourire de l'Apparition tranquillise totalement l'âme de Bernadette qui se tourne vers ses compagnes en disant: "Elle ne s'en fâche pas, au contraire, elle approuve de la tête et sourit vers nous toutes. Plus je lui en jette, plus elle sourit." Et au nom sacré de Dieu le visage de Marie s'illumina merveilleusement. A ce nom Elle s'inclina à plusieurs reprises. A ce nom Elle s'avança jusque sur le bord du rocher. Et devant l'Apparition qui resplendit d'une beauté céleste et qui est si près d'elle, Bernadette se prosterne et dit instinctivement ses Ave Maria en récitant le chapelet.

Et bientôt elle ne voit que Marie. Elle est dans l'extase qui durera une heure. "Elle semblait un ange", dit Jeanne Abadie qui était parmi les jeunes filles, "nous la croyions morte, nous la regardions et nous pleurions toutes". Et un autre témoin, Antoine Nicolau, dira: "Bernadette était à genoux, blême, les yeux très ouverts, fixés vers la niche, les mains jointes, le chapelet entre les doigts; les larmes coulaient des deux yeux; elle souriait et avait un visage plus beau que tous ceux que j'ai vus."

(à suivre tous les jours du mois de Mai)
 

Sources:  www.vatican.va - E.S.M.

Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel

Eucharistie, sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 03.05.2007 - BENOÎT XVI - Eglise

 

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